L’objectif principal du WP1 est la collecte de données relatives aux paramètres physico-chimiques du sol, de l’eau et des produits du sol.
Dans cet entretien, Dr Mourad Preure analyse l’évolution du marché gazier et le contexte géopolitique mondial dans lequel se déroulera le Sommet du GECF à Alger. Les transformations structurelles, qui touchent l’industrie du gaz, devraient, selon l’expert des questions énergétiques, «renforcer la solidarité entre pays producteurs en valorisant les convergences et les synergies et créer les conditions de partenariats stratégiques…». Le GECF est mis au défi de «maîtriser la complexité des transformations en cours et réunir les pays exportateurs pour en tirer avantage». Mourad Preure rappelle d’ailleurs l’exemple de la réunion d’Alger en novembre 2016, qui avait regroupé les pays producteurs de l’OPEC et dix pays producteurs de pétrole non OPEC et qui avait conduit à la création de l’OPEC+, devenu «un efficace élément stabilisateur du marché et des prix».
L’intérêt de Clinica expo est de mettre en avant les cliniques privées algériennes. Ce salon vise d’ailleurs à mettre en avant l’infrastructure, la compétence algérienne et la formation algérienne mais pas que !
Les malades algériens ont tendance à ignorer les mesures préventives avant d’entamer le jeûne. Généralement, ils ne prévoient pas de se rendre chez leurs médecins traitants. Pourtant, il est impératif de consulter six à huit semaines avant le début du ramadan, et ce, afin de connaître leur état clinique.
Observateur averti et assidu des évolutions de la géopolitique mondiale et leur impact sur le monde arabe notamment, le politologue Hasni Abidi ne croit pas trop à la possibilité d’une révision significative par la Maison- Blanche de sa façon de traiter avec Tel-Aviv, malgré les tensions générées par la guerre de Ghaza. Auteur entre autres des ouvrages Le Moyen Orient, le temps des incertitudes et Le Moyen-Orient selon Joe Biden, il recentre dans l’entretien qui suit les enjeux des relations entre Washington et l’Etat hébreu, dans un contexte marqué par la proximité d’une présidentielle américaine décisive et une rivalité internationale exacerbée.
L’ambassadeur de l’Etat de Palestine à Alger, Fayez Abou Aïta, s’est exprimé, hier, sur les derniers événements sanglants qui déchirent Ghaza. C’était dans le cadre du lancement d’une semaine commémorative initiée par l’association Mechaâl Echahid pour marquer la «Journée nationale du Chahid», une action placée sous le signe de la «solidarité avec nos frères palestiniens».
Défenseur des causes sahraouie et palestinienne, Maître Gilles Devers, du barreau de Lyon, mène, depuis 2009, une rude bataille judiciaire pour faire condamner les dirigeants israéliens par la Cour pénale internationale (CPI) pour les crimes de guerre, contre l’humanité et le génocide commis à Ghaza. Au bout de la troisième plainte déposée le 9 novembre 2023, il se déclare «optimiste», parce que toutes les étapes de la procédure «ont enfin abouti» après «des rejets, du déni et du mépris». Dans l’entretien qu’il a bien voulu nous accorder, il revient sur les obstacles, la méfiance, le désespoir qui ont marqué plus d’une décennie de lutte juridique, mais aussi sur son «prochain combat», devant la CPI, pour le droit de retour de plus de 5 millions de Palestiniens à Jérusalem-Est, leur capitale, reconnue comme telle par le droit international.
Le changement climatique a eu des effets négatifs sur le verger algérien d’une manière général. On peut corriger cela via un apport hydrique avec l’irrigation.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a affirmé maintes fois son engagement en faveur de la transformation numérique du pays, plaçant la numérisation et la digitalisation au centre du programme ambitieux du gouvernement. Cette initiative stratégique vise à moderniser l’administration publique, à stimuler l’économie et à renforcer la connectivité numérique à travers l’ensemble du territoire. En août 2023, le Haut Commissariat à la numérisation a été créé, mettant en évidence le rôle crucial que jouera ce secteur dans la régulation de l’économie algérienne. La stratégie de numérisation des différents secteurs repose désormais sur ce haut commissariat. Il est chargé de concevoir la stratégie nationale de la numérisation et d’en assurer le suivi et la mise en œuvre. Djallal Bouabdallah, expert en transformation digitale, explique les enjeux inhérents à ce secteur.
Dans cet entretien, l’ambassadeur des Etats-Unis en Algérie fait le bilan des deux premières années de son mandat. Elle revient sur l’état de la coopération bilatérale dans divers domaines, à la fois économique et sécuritaire. Elle a également évoqué la situation en Palestine, au Sahara occidental, au Mali et en Libye. L’ambassadeur se réjouit de la convergence de vues sur plusieurs dossiers d’intérêt commun.
Il est préférable de rester dans les normes et les repères internationaux.
Tout d’abord, j’aimerais vous informer que notre établissement public à caractère industriel et commercial assure l’entretien du réseau éclairage public dans la wilaya de Blida, et ce, à travers des contrats avec les 25 communes que compte la wilaya de Blida.
Dans cet entretien, Nassima Khouader revient sur l’introduction de l’intelligence artificielle dans le domaine de la pharmacie, ses avantages mais aussi ses inconvénients.
Dans l’entretien accordé à El Watan, Johann Lounis Soufi, avocat spécialisé en droit international, revient sur la plainte déposée par l’Afrique du Sud devant la Cour internationale de justice (CIJ). «L’initiative sud-africaine permet (…) de mettre en exergue l’hypocrisie généralisée qui existe depuis des décennies vis-à-vis de la Palestine et qui est encore plus flagrante depuis quelques semaines», note cet ancien responsable du bureau des affaires juridiques de l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA) à Ghaza. «La violation du droit international et du verdict de la CIJ doit entraîner des mesures fortes, telles que des sanctions économiques et politiques sévères, pour contraindre Israël à respecter le droit international», estime-t-il.
Dans cet entretien à El Watan, Salam Kawakibi, chercheur syrien établi à Paris, note que les signataires des accords d’Oslo en 1993 comme ceux qui se félicitent aujourd’hui de la mort des dizaines de milliers de civils palestiniens ont en commun le «refus catégorique» du droit du peuple palestinien à l’autodétermination et à l’établissement d’un Etat viable. Il souligne également que la tâche des démocrates arabes sera désormais rude pour essayer de convaincre les jeunes de la région d’assimiler les «valeurs universelles» et de ne pas développer un sentiment de haine à l’égard de ceux qui les considèrent comme des sous-humains.
Dans l’entretien accordé à El Watan, le SG du HCA revient sur les activités célébrant le Nouvel An amazigh. Il évoque aussi l’évolution de l’enseignement de tamazight qui, regrette-t-il, «reste précaire moins dans la pertinence des textes officiels régissant la politique de l’Etat en la matière que (…) dans la gestion scolaire institutionnelle de ce fondement et attribut de la nation».
Pour Arezki Rabah, ancien économiste en chef de la Banque mondiale pour la région Mena (Afrique du Nord/Moyen-Orient) et ancien vice-président de la Banque africaine de développement (BAD), la réussite de l’Afrique passe par la réforme de la gouvernance. Il estime, en effet, dans cet entretien, que l’Afrique ne réussira pas si on ne remet pas la gouvernance au cœur de la réforme et si on ne redonne pas confiance aux investisseurs. Il s’agit aussi pour notre économiste de dépasser la levée des barrières tarifaires dans le cadre de la Zone de libre-échange continentale africaine et de prendre en compte les véritables entraves qui bloquent le monde africain des affaires.
Le phénomène est indécent moralement et toxique sur le plan pédagogique.
Dans cet entretien, le gynécologue Farid Benaibouche revient sur l’endométriose, une maladie gynécologique fréquente, qui concerne en moyenne une femme sur dix dans le monde. Il expose ses symptômes, ses facteurs de risque et explique la façon de la diagnostiquer.
En dehors des deux années de Covid, nous avons organisé plusieurs journées portes-ouvertes relatives aux risques de maladies professionnelles qui sont les accidents du travail et les maladies professionnelles.