La réduction de la pollution plastique et de ses effets néfastes sur l’environnement constitue l’une des priorités du secteur. D’ailleurs, une série de mesures significatives ont été prises en faveur de la santé du consommateur et du citoyen», c’est ce qu’a déclaré Nadjiba Djilali, ministre de l’Environnement et de la Qualité de la vie, lors d’une plénière, tenue jeudi, consacrée aux questions orales au Conseil de la nation.
Bien que les variations entre laboratoires soient souvent faibles, dans certains cas, elles peuvent avoir des conséquences dramatiques sur la santé du patient.
Les résultats peuvent être un peu différents en fonction des techniques et du matériel utilisés. Les normes aussi peuvent être différentes.
Dans le but de limiter la transmission et de diminuer le risque de complications de la grippe, le ministère rappelle que la campagne de vaccination antigrippale 2024-2025 est toujours de rigueur, et ce, jusqu’à la fin de la saison hivernale.
Non, il n’y a pas lieu de s’inquiéter pour le moment. L’Organisation mondiale de la santé a confirmé que les maladies respiratoires signalées en Chine, y compris celles causées par le métapneumovirus humain (HMPV), restent dans des niveaux habituels pour la saison hivernale.
Toutes les dispositions ont été prises pour accueillir les étudiants dès le 5 janvier. Pour rattraper le retard accumulé durant les deux mois de grève, les doyens des facultés de médecine ont assuré que des efforts considérables ont été faits pour établir un planning de rattrapage des enseignements.
l Il est impératif de savoir que seuls les médecins sont autorisés à injecter de l’acide hyaluronique ou du botox et de pratiquer des gestes de médecine esthétique l D’ailleurs, ces pratiques, qui se multiplient dans les salons de beauté, chez les coiffeuses ou même dans certains Spa, relèvent de l’exercice illégal de la médecine et sont contraires aux mœurs de la population.
Le partenariat entre Novo Nordisk Algérie et le ministère de la Santé vient d’être renouvelé.
Il est vrai que les derniers jours, le pays a connu une activité plus importante que les jours précédents.
La récente découverte du Martin triste en Algérie a provoqué beaucoup de réactions sur les réseaux sociaux. Si cet oiseau est originaire d’Asie, les spécialistes ont alerté quant au potentiel danger de cet oiseau lorsqu’il se retrouve hors de son aire d’habitation. Explications.
Tenue cette année à Dubaï, la quatrième édition d’ILD Summit, organisée par Boehringer Ingelheim, a réuni pas moins de 140 professionnels, à savoir pneumologues, rhumatologues et radiologues, venus de toute la région du Moyen-Orient et d’Afrique.
Trois nouvelles formations spécialisées post-universitaires, destinées aux médecins des établissements publics, seront bientôt lancées, a annoncé, hier, le ministère de la Santé.
Si dès le début de l’épidémie de l’infection VIH/sida, l’Algérie s’est investie dans la riposte au sida de façon volontariste et déterminée à travers un engagement politique régulièrement réaffirmé et traduit par un financement conséquent avec plus de 95% du budget alloué par le Trésor public qui garantit, à titre gratuit et universel, toutes les prestations, certains tabous persistent, ce qui dissuade beaucoup de personnes à se faire dépister. C’est pourquoi les spécialistes estiment important que les facteurs sociaux soient pris en compte dans les stratégies de prévention et de sensibilisation, afin de créer un environnement où les personnes se sentent soutenues et en sécurité pour se faire dépister et suivre un traitement. Explications !
Si les gens sont toujours si réfractaires au dépistage, c’est pour plusieurs raisons. Selon M. Bourouba, il y a d’abord la peur de la maladie elle-même et les tabous qui entourent le VIH/sida
«Il existe une véritable juxtaposition de deux épidémies : celle de la toxicomanie et celle du VIH», affirme Othmane Bourouba, président de AIDS Algérie. C’est pourquoi il estime que la lutte contre la drogue est un élément crucial dans la réduction des cas de contaminations par le VIH.
«La meilleure stratégie pour mettre un terme au VIH/sida doit être globale et holistique, c’est-à-dire qu’elle doit prendre en compte les défis et réalités du terrain, tout en étant centrée sur les populations-clés, en répondant spécifiquement à leurs besoins», explique M. Bourouba.
Plusieurs actions de prévention combinées sont organisées tout au long de l’année au profit des jeunes ainsi que des autres populations-clés et vulnérables (PCV).
Le plastique est omniprésent dans notre environnement. Ce qui n’est pas sans conséquences sur l’environnement ainsi que sur la santé. En effet, ce produit, qui est en continuelle interaction avec l’environnement des individus, finit par s’infiltrer dans le corps humain, et cela, soit par ingestion, inhalation ou contact direct. D’ailleurs, de plus en plus de microparticules plastiques sont retrouvées dans le corps humain. Et les effets sur la santé peuvent être divers. L’environnement n’est pas épargné non plus. Il subit les conséquences de la croissance exponentielle de la production mondiale du plastique de plein fouet. Sachant que la production mondiale de plastique a explosé passant de 2 millions de tonnes en 1950 à plus de 400 millions aujourd’hui. Plus loin encore, les experts ont même estimé que cette production devrait doubler en 2040 et tripler en 2060. Dans ce dossier, El Watan revient sur les principales études réalisées au sujet de l’impact du plastique sur la santé et l’environnement qui a fait réagir des experts, chacun dans sa spécialité. Explications !
Selon Karim Ouamane, la migration des additifs des emballages vers les aliments est un phénomène complexe, influencé par une multitude de facteurs.
Sachets en plastique, barquettes en aluminium, boîtes de conserve, boîtes en carton... Les emballages sont beaucoup utilisés dans l’agroalimentaire et sont aujourd’hui largement décriés pour leur impact et dangers sur la santé. Certains composants chimiques de ces emballages représentent des contaminants potentiels. En effet, ils peuvent migrer vers les aliments et les boissons.