Lidia Thorpe avait vivement interpellé le monarque au Parlement australien le 21 octobre dernier et dénoncé ce qu’elle a qualifié de «génocide» des aborigènes à l’époque de la colonisation européenne de l’Australie.
Le souci de la paix s’est manifesté à Paris où, à l’initiative du Parti communiste français, une conférence internationale s’est tenue en son siège, place du colonel Fabien. Avec un appel au cessez-le-feu à Ghaza et la reconnaissance de l’Etat palestinien.
En ce 30 mars, marquant la commémoration de la Journée de la Terre, ou de la Nakba, des dizaines de Palestiniens ont été tués dans des raids, exécutés froidement par des tirs d’armes de guerre, écrasés par des chars ou arrêtés sommairement et transférés vers des lieux inconnus.
Betsalel Smotrich, ministre ultra-nationaliste israélien, a qualifié l’approbation de la construction de 3000 logements en Cisjordanie de «réponse sioniste appropriée».
La voix de la Palestine a résonné durant trois heures au Palais de la Paix, à La Haye (Pays-Bas), siège de la Cour internationale de justice (CIJ), où des audiences publiques consacrées aux conséquences juridiques de la pratique coloniale d’Israël sur les Territoires palestiniens, y compris Jérusalem-Est, ont été ouvertes hier.
ls sont désormais nombreux les intellectuels israéliens qui ont eu le courage de briser le mur du silence et dénoncer les exactions commises par l’armée sioniste envers les Palestiniens. Des crimes qui avaient commencé quelques jours seulement après l’entrée en vigueur du plan de partage de la Palestine et la déclaration d’indépendance d’Israël le 15 mai 1948.
Il a suffi de quelques mots pour écorner à Périgueux la mémoire consensuelle de Thomas-Robert Bugeaud, marquis de la Piconnerie, duc d’Isly (1784-1849), natif de cette région où il a laissé l’empreinte d’un homme proche des ruraux, loin des ravages perpétrés sans état d’âme lors de la colonisation de l’Algérie.
Les Palestiniens commémorent ce lundi le 75e anniversaire de la Nakba qui a vu l’expulsion d’environ 800 000 citoyens de leurs terres par l’entité sioniste, dans un contexte marqué par une multiplication des crimes de l’occupation, alors que le peuple palestinien demeure attaché à sa terre, à ses racines et à tous ses droits nationaux inaliénables.
La commission mixte d’historiens algériens et français, décidée par le président de la République algérien, Abdelmadjid Tebboune, et son homologue français, Emmanuel Macron, à l’occasion de la visite officielle de ce dernier en Algérie, en août 2022, a tenu, mercredi 19 avril, sa première réunion, a annoncé un communiqué de la Présidence française.
Durant la colonisation française, au cœur de La Casbah, noyau historique de la capitale, je garde le souvenir, enfant, d’une ambiance festive durant le mois sacré du ramadan.
Après plusieurs publications dans des domaines variés, Mostéfa Khiati présente dans Génocides coloniaux, publié en mars dernier, aux éditions Anep, une recherche assez fouillée sur l’extermination physique et intentionnelle de milliers d’Algériens suite aux enfumades, emmurements et gazage de grottes lors de la lutte de libération nationale. Ainsi, avec ses deux précédentes publications Les exactions coloniales en Algérie et Les irradiés algériens, un crime d’Etat, l’auteur tend à parfaire une trilogie mémorielle de référence.
Le livre de Laure Demougin L’empire de la presse (Presses universitaires de Strasbourg) figure cette année dans la liste des nommés pour le Prix du livre Recherche sur le Journalisme des Assises internationales du journalisme de Tours, qui se dérouleront du 9 au 13 mai. Un ouvrage passionnant sur la naissance de la presse coloniale entre 1830 et 1880.
Le dernier samedi du mois de mars 2022 avait eu lieu à la grande salle de réunion du siège de l’APC de Hadjout un événement culturel et historique destiné d’abord à mieux connaître la tribu des Hadjoutes et ensuite à mettre en relief ses révoltes.
Je ne les vois pas comme un tournant car elles ne changent pas radicalement le cours de la guerre
Je suis arrivé sur ce projet il y a trois ans lorsque l’unité documentaire d’Arte m’a contacté. Ils avaient déjà choisi Raphaëlle Branche comme historienne co-auteure de la série. Arte avait aussi choisi de travailler avec l’Institut national de l’audiovisuel (INA). Je ne suis bien sûr par historien.
C’est un documentaire d’une durée de presque six heures d’antenne, en six épisodes, que diffusera mardi 1er et mercredi 2 mars, la chaîne Arte, en collaboration avec l’Institut national de l’audiovisuel.
L ’Association nationale des pieds-noirs progressistes et leurs amis qui a répondu à l’invitation de l’Elysée, avait préparé un texte à l’intention du président Macron dont voici la teneur «Notre mémoire n’est pas figée et doit au contraire se caler sur les travaux des historiens, se nourrir du progrès des connaissances de ce que fut la colonisation et la guerre d’Algérie.
Dans l’impossibilité de restituer la trentaine de communications du colloque, nous avons choisi de reprendre les grandes lignes de quelques -unes d’entre elles, exprimant la diversité, sinon les divisions des intellectuels sur le colonialisme.
Dans cette édition, nous revenons sur le colloque les «Oppositions intellectuelles à la colonisation et à la guerre d’Algérie», qui s’est tenu les 20, 21 et 22 janvier 2022, correspondant à l’une des préconisations du rapport remis au président Macron par Benjamin Stora, et avec le soutien de l’Elysée. Organisé par l’historien Tramor Quemeneur et l’anthropologue Tassadit Yacine, il a été l’occasion d’interventions et de débats intenses et animés, mettant au jour des intellectuels aux positionnements sur la question coloniale divergents. Un colloque dont le contenu et l’intitulé ont soulevé des interrogations, des réserves, des incompréhensions, voire un certain malaise. Autant de réactions qui ont appelé des clarifications de la part des organisateurs.
Dans cette édition, nous revenons sur le colloque les «Oppositions intellectuelles à la colonisation et à la guerre d’Algérie», qui s’est tenu les 20, 21 et 22 janvier 2022, correspondant à l’une des préconisations du rapport remis au président Macron par Benjamin Stora, et avec le soutien de l’Elysée l Organisé par l’historien Tramor Quemeneur et l’anthropologue Tassadit Yacine, il a été l’occasion d’interventions et de débats intenses et animés, mettant au jour des intellectuels aux positionnements sur la question coloniale divergents l Un colloque dont le contenu et l’intitulé ont soulevé des interrogations, des réserves, des incompréhensions, voire un certain malaise l Autant de réactions qui ont appelé des clarifications de la part des organisateurs.