Le Premier ministre a réagit ce week-end au rapport de la Banque mondiale sur la situation économique du pays et ses perspectives à l’orée de la nouvelle année.
Il est symptomatique de la dégradation de la qualité du débat national quand un secteur aussi névralgique que celui de l’éducation ne soit évoqué qu’à l’occasion des vacances scolaires ou de l’enclenchement des mouvements de grève des enseignants. Vidée de son contenu pédagogique et des questionnements que cela soulève, l’année scolaire est vouée aux joutes syndicales et à la perpétuelle préoccupation liée à la programmation des examens.