Pour Israël, les Etats-Unis n’hésitent pas à se transformer en pyromanes, à se transformer en ennemis de la paix et de la justice, en violation de leurs obligations internationales en tant que membres du Conseil de sécurité de l’ONU.
Décidément, Emmanuel Macron aime l’anarchie, le désordre. Il vient de le prouver encore une fois lors d’une visite au Maroc. Il a répété ce qu’il a dit dans une lettre adressée au roi Mohammed VI.
L ’Amérique, et avec elle le monde entier, retient son souffle pour le 5 novembre. Le pays a à choisir entre Donald Trump, du parti républicain, qui a déjà occupé la Maison-Blanche entre 2016 et 2021 avant d’en être évincé par Joe Biden, et la vice-présidente Kamala Harris, première femme noire à briguer ce poste.
Le 5 novembre prochain, les regards du monde entier seront braqués sur les Etats-Unis. Ceux-ci doivent élire leur 47e Président.
Le Maroc aurait bien pu se passer de la mauvaise publicité qui lui faite ces jours-ci. L’essayiste français Michel Onfray, connu pour son franc-parler, a mis les pieds dans le plat sur Europe 1 et CNews. Il traite ce pays de «narco-Etat» et «Etat voyou». Michel Onfray désigne le roi Mohammed VI comme le pourvoyeur du cannabis pour toute l’Europe.
Israël est devenu une machine froide à assassiner massivement et détruire tout aussi massivement. Mercredi, l’armée israélienne a rasé purement et simplement un village du Sud-Liban et, le même jour, l’aviation a détruit le siège de la commune de Nabatyeh, tuant tout, le Conseil municipal y compris.
Israël est devenu un véritable Etat voyou qui ne respecte ni les lois internationales, ni le droit des Etats à vivre en paix, ni la vie humaine. Il fait preuve d’une barbarie et d’une cruauté qui ont révolté jusqu’aux citoyens israéliens.
L’armée israélienne a commis mardi dernier un terrible crime à Ghaza. Elle a totalement détruit une mosquée célèbre, connue sous le nom d’Al Omari. Au départ, c’était une église construite au Ve siècle sur 40 m2, c’est dire son immensité. Au XIIe siècle, elle a été transformée en mosquée. Vu à la télévision mardi dernier, tout était ruine et il ne reste qu’une partie du dôme pour rappeler qu’il y avait là un lieu de culte. Vendredi passé, l’armée israélienne a bombardé et détruit une mosquée et une école mitoyenne.
Avec Israël, l’Amérique semble avoir perdu tous ses ressorts. Elle est humiliée, menée par le bout du nez par la bande de criminels de guerre qui sont en train de faire la loi au Proche-Orient. Ghaza, la Cisjordanie, la Syrie et le Liban sont devenus les cibles permanentes des agressions israéliennes avec leur lot de massacre quotidien des innocents, qui se compte désormais par milliers, depuis octobre dernier.
Le Liban et son peuple risquent de sombrer dans l’horreur absolue. C’est Benyamin Netanyahu qui le dit et on ne peut pas en douter parce qu’on a affaire à un psychopathe sanguinaire. «Libérez votre pays du Hezbollah pour que cesse la guerre», a t-il dit à l’adresse des Libanais, «sinon votre pays connaîtra le sort de Ghaza», a-t-il ajouté hier.
Staffan de Mistura, l’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU pour le Sahara occidental, vient d’effectuer une troisième visite dans les camps de réfugiés sahraouis, depuis sa nomination à ce poste en 2021. Cela fait 3 ans que M. de Mistura fait des efforts louables dans le but de relancer le processus d’autodétermination du peuple sahraoui, conformément aux résolutions des Nations unies et de l’Union africaine.
L’armée de terre israélienne est entrée cette semaine au Liban. Paradoxalement, c’est Washington qui, le premier, a donné l’information, devenant pour la circonstance le porte-parole de Tsahal. Les chars ont envahi le Sud libanais, rappelant les mauvais souvenirs de 1982 quand Ariel Sharon est entré au pays du Cèdre. Auparavant, Benyamin Netanyahu avait informé le monde, avec son arrogance coutumière, que l’armée israélienne allait agresser ce pays dans une «opération limitée», malgré les appels de la communauté internationale.
Benyamin Netanyahu est certainement le plus grand criminel de guerre du XXIe siècle. Il est en train de livrer la guerre à plusieurs pays à la fois, à Ghaza, en Cisjordanie, au Liban, en Syrie et au Yémen, c’est-à-dire plusieurs fronts simultanément et qui étaient programmés bien avant le 7 octobre.
Récemment, la chaîne française LCI a présenté un débat sur les relations entre l’Algérie, la France et le Maroc suite à un message adressé par le président Emmanuel Macron au roi Mohammed VI dans lequel le premier affirme au second que la France soutient le plan d’autonomie marocain au Sahara occidental sans manifester toutefois un quelconque appui à la «marocanité» de l’ancienne colonie espagnole.
558 morts. C’est le prix qu’a payé lundi le peuple libanais au besoin de sang des dirigeants israéliens. Les femmes et les enfants du Liban, déjà meurtri par les agressions israéliennes récurrentes, subissent à nouveau les pulsions sanguinaires de Netanyahu.
Tous les enfants du monde prennent actuellement le chemin de l’école. Les enfants de Ghaza, eux, prennent le chemin des cimetières. La journée de samedi n’a pas échappé à la règle. Les écoliers palestiniens ont leur rendez-vous quotidien avec la mort.
Israël a décidé de mettre toute la région proche-orientale à feu et à sang. La guerre totale contre les peuples de la région est engagée sous le regard impuissant de la communauté internationale mais avec la complicité active des Etats-Unis, devenus totalement partie prenante d’un conflit aux conséquences imprévisibles.
Pour la énième fois, la barbarie israélienne a plongé le malheureux peuple palestinien dans l’horreur. Encore une fois, ce sont des écoliers qui sont principalement visés. Ghaza n’en finit pas de pleurer et de verser son sang. Mercredi dernier, c’était un 11 septembre, date terrible s’il en est.
I sraël a envoyé un message plein de mépris et d’arrogance vis-à-vis des Arabes à la veille de la réunion des ministres des Affaires étrangères de la Ligue du même nom. «Oui, nous continuerons à exterminer les Palestiniens jusqu’à extinction de cette race», semblait dire Tel-Aviv dans un nouveau défi en exterminant au moins plus de 40 réfugiés du camp de Khan Younès, dans le sud de Ghaza. C’est Israël lui-même qui a obligé les Palestiniens à se rendre dans cette «zone humanitaire», soi-disant pour leur sécurité : il a utilisé pour cela des bombes très puissantes au vu des cratères qu’elles ont provoqués et que Joe Biden a gracieusement offertes à l’armée israélienne en même temps qu’il balançait des sacs de farine pour les femmes et les enfants palestiniens.
Benyamin Netanyahu est dans de sales draps. S’il a résisté jusqu’à ce jour, l’affaire des six otages trouvés morts dans un tunnel de Ghaza pourrait précipiter sa chute. Lui accuse le Hamas d’avoir abattu froidement les prisonniers. Le Hamas répond qu’ils sont morts dans des bombardements de l’aviation israélienne.