La situation apocalyptique que vivent les Palestiniens de Ghaza et de la Cisjordanie occupée depuis le début de la guerre, qui entre dans son cinquième mois, contraste dramatiquement, outrageusement avec la démarche institutionnelle de fausse bonne conscience dans laquelle se drape la riposte internationale face à cette tragédie du siècle.
Doublement acculé, sur le front politique, avec le repositionnement déroutant opéré par certains de ses alliés, dont la France, et sur le terrain militaire, avec les lourdes pertes enregistrées dans les rangs de l’armée israélienne, entre soldats tués ou blessés et destruction de la logistique de guerre, le cabinet de guerre de l’entité sioniste n’a pas résisté longtemps à la tentation imposée par le cours des événements de renouer le fil des négociations avec le mouvement Hamas, via les mêmes canaux de médiation, de la troïka : Etats-Unis d’Amérique, Qatar, Egypte, pour trouver une issue heureuse à sa politique aventurière et suicidaire de la gestion de la crise des otages détenus par le Hamas.
Qui arrêtera la folie meurtrière de l’armée israélienne contre les populations palestiniennes de l’enclave de Ghaza soumises, depuis près de deux mois, à un plan diabolique d’extermination et de terre brûlée élargi aux Territoires palestiniens occupés de la Cisjordanie ?
Le changement opéré samedi à la tête de l’Exécutif avec la nomination, par le président Abdelmadjid Tebboune, de Nadir Larbaoui, ex-chef de cabinet à la présidence de la République, au poste de Premier ministre, en remplacement de Aïmene Benabderrahmane, a surpris les observateurs politiques autant que l’opinion nationale, aussi bien par son timing que par le choix du nouveau locataire du Palais du gouvernement.
Pour les esprits crédules qui se sont laissé abusés consciemment ou non, dans la guerre d’extermination livrée par l’entité sioniste au peuple palestinien, à Ghaza et dans les territoires palestiniens occupés depuis un mois, nourris par la propagande sioniste de la rhétorique victimaire invoquée par ses alliés, avocats commis d’office, pour justifier les crimes et l’impunité dont jouit l’entité israélienne, il apparaît de plus en plus difficile de continuer à se draper du voile de la duplicité face au projet sioniste, revisité, de reconquête des territoires concédés aux Palestiniens à la faveur des accords dits «de paix» d’Oslo de 1993.
La guerre menée par l'entité sioniste contre la population de Ghaza depuis voilà trois semaines, les moyens disproportionnés mobilisés par l'armée d'occupation israélienne pour se venger de l’humiliation subie sur le terrain, le 7 octobre, suite à l'attaque des combattants du mouvement Hamas, cachent mal les véritables desseins poursuivis par cette énième agression sauvage perpétrée par l'armée de Tsahal contre les populations civiles palestiniennes de Ghaza et de Cisjordanie occupée.
En dépit de la mobilisation d’une partie des syndicats autonomes, rejoints par l’Ugta, contre le projet de loi sur l’exercice syndical, rejeté dans la forme et dans le fond et jugé attentatoire aux libertés syndicales garanties par la Constitution, le texte a été adopté hier par l’Assemblée populaire nationale après un débat en plénière de deux jours.
Dans le sillage de la dynamisation de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf), l’Algérie abrite, depuis hier et jusqu’à mardi prochain au Palais des expositions, aux Pins maritimes, à Alger, la deuxième édition du Salon africain des affaires, Sada 2023, sous le thème «Ensemble pour une Afrique forte».
Intervenant à l’occasion de la 52e session du Conseil des droits de l’homme des Nations unies, le représentant permanent de l’Algérie auprès de l’Office des Nations unies à Genève et des organisations internationales en Suisse, l’ambassadeur Lazhar Soualem, a interpellé, vendredi, la communauté internationale et les organisations de l’Onu chargées de la défense des droits de l’homme à assumer leurs responsabilités concernant les graves violations de la situation des droits de l’homme dans les territoires sahraouis par les forces d’occupation marocaines.
La République islamique d’Iran est de nouveau sous les feux des projecteurs suite aux informations fuiteés d’un rapport confidentiel, selon lequel des particules d’uranium enrichi à 83%, soit un niveau proche de 90% nécessaires à la fabrication d’une bombe atomique, ont été décelées dans l’usine souterraine de Fordo, à une centaine de kilomètres au sud de Tehéran.
Le défi de l’indépendance alimentaire rime avec celui de la souveraineté nationale. Le pari de l'autosuffisance alimentaire est inscrit dans l’agenda présidentiel pour 2025.
Le peuple sahraoui a célébré, hier, le 47e anniversaire de la proclamation de la République arabe sahraouie démocratique (Rasd), le 27 février 1976.
Après des années de rupture de dialogue et de contacts entre l’Autorité palestinienne et l’entité israélienne, une rencontre «politico-sécuritaire» entre des représentants des deux parties a eu lieu, hier, dans la ville jordanienne d’Aqaba, pour examiner les moyens à mettre en œuvre pour apaiser les tensions suite aux violences meurtrières de ces dernières semaines dans les Territoires palestiniens occupés.
Lors de son entrevue avec des représentants de la presse nationale ce vendredi, le président Abdelmadjid Tebboune est apparu contrarié, décontenancé par le rythme de réalisation des projets sectoriels de développement du pays et les entraves à la concrétisation de ses décisions et directives données aux différents agents et représentants de l’Etat à tous les niveaux, dans les secteurs aussi bien économique que dans l’administration publique.
Deux dossiers sensibles ont été examinés, dimanche, par le Conseil des ministres, sous le sceau de l’urgence.
Les travaux du 36e Sommet de l’Union africaine (UA) se sont poursuivis, hier, au siège de l’organisation panafricaine à Addis-Abeba pour la seconde et dernière journée.
Les travaux du 36e Sommet de l’Union africaine (UA) se sont ouverts, hier, à Addis-Abeba, en présence de 35 Présidents et quatre Premiers ministres, dont Aïmene Benabderrahmane, en qualité de représentant du président Abdelmadjid Tebboune à ce sommet.
Coup de théâtre dans le traitement judiciaire de corruption présumée des eurodéputés en relation avec les scandales du Marocgate et du Qatargate.
Issue de l’Organisation de la coopération islamique ( OCI), le Comité d’Al Qods, créé en application de la résolution n° 1/6-P de la sixième Conférence islamique des ministres des Affaires étrangères tenue en juillet 1975 à Djedda, en Arabie Saoudite, dans sa composante actuelle, sa présidence assurée par le roi du Maroc, Mohammed VI, et au regard de la conjoncture actuelle que traverse la question palestinienne, est-il qualifié pour remplir les missions historiques pour lesquelles il a été fondé ?
Le sujet a longtemps été ignoré dans le débat public en France. En Algérie, même s’il est abordé lors des dates commémoratives, des interrogations sont restées sans réponses, notamment concernant la poursuite des essais nucléaires français après l’indépendance, jusqu’à 1966, dans les régions du sud du pays, à Reggane et In Ekker.