Selon Osmane Dione, vice-président de la Banque mondiale pour la région MENA, la banque est «prête à renforcer le partenariat avec l’Algérie». Objectif : parvenir à des résultats concrets, à même d’«accélérer la dynamique positive dans laquelle l’Algérie s’est engagée».
Le Mercosur (Brésil, Argentine, Uruguay, Paraguay) et l’Union européenne ont conclu «les négociations en vue d’un accord» de libre-échange, a annoncé hier à Montevideo la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. «Nous avons conclu les négociations pour l’accord UE-Mercosur.
Selon les chiffres fournis sur la ville d’Alger pour le mois d’octobre 2024, les prix du café ont reculé de -16,5%. En revanche, ceux des produits agricoles frais affichent une variation de +1,2%, traduisant une hausse des prix des légumes (+6,8%), des fruits (+2,1%) et à un degré moindre de la viande et des abats de mouton (+1,3%). En outre, les prix du poulet et de la pomme de terre affichent respectivement des baisses de 6,3% et 10,2%.
Le Système intégré de gestion budgétaire (SIGB) permettra une meilleure gestion des budgets publics, basée sur les droits constatés, une sécurisation des données financières face aux menaces de plus en plus sophistiquées…
Ali Benouari, ancien ministre sous le gouvernement Ghozali dans les années 1990 et expert en finances, s’est singularisé ces dernières semaines par des sorties médiatiques pour le moins remarquées sur le très hermétique sujet des Brics qui continue de susciter en Algérie – quoiqu’on puisse dire - un intérêt grandissant.
L es pays en développement ont affiché leur déception hier à l’issue des travaux de la conférence de l’ONU en Azerbaïdjan. Le chef des négociateurs du groupe africain, le Kenyan Ali Mohamed, a regretté un engagement financier «trop faible» et «trop tardif» après l’accord prévoyant que les pays riches fournissent 300 milliards de dollars par an de financement climatique aux pays en développement.
Aussitôt le nouveau gouvernement installé, le président Tebboune a organisé, jeudi, une réunion de travail dédiée à l’importante question des exportations hors hydrocarbures.
Vingt-cinq pays, riches pour la plupart, se sont engagés hier à la COP29 à ne plus ouvrir de centrales au charbon, tout en espérant que d’autres pays les suivront. Le Royaume-Uni, qui vient de fermer sa dernière centrale au charbon, le Canada, la France, l'Allemagne et l'Australie, très gros producteurs de charbon, ont, selon l’AFP, signé cet appel volontaire pendant la Conférence sur le climat de l'ONU en Azerbaïdjan.
M. Kaoubi attire l’attention, dans cet entretien, sur l’ampleur du déficit budgétaire en 2025 qui augmente de 17% par rapport à 2024 et prévient contre «le poids des déséquilibres» alors que les finances publiques pourraient connaître des difficultés dans les prochaines années compte tenu des tendances du marché pétrolier.
L’Algérie a-t-elle franchi le premier pas dans le cadre des velléités de démantèlement de son large et névralgique système de subventions ? La question, n’étant pas unique bien sûr, mérite en tout cas d’être posée, puisque le gouvernement vient de décider, contre toute attente, de supprimer la subvention systématique et généralisée des prix du gaz naturel cédé aux industriels, qu’ils soient nationaux ou étrangers.
Le Fonds monétaire international, qui s’est intéressé à la contribution de l’emploi à la croissance du PIB par habitant, a recensé «une baisse» dans de nombreux pays. La part de la population en âge de travailler a crû moins vite, ce que les augmentations du taux d’activité et de la part des actifs ayant un emploi n’ont pu entièrement compenser.
Après l’Union européenne, qui s’inquiète du retour de Trump à la Maison-Blanche, en raison de ses menaces visant à instaurer des taxes douanières, la Chine, à son tour, tente de se prémunir contre d’éventuelles surprises quant à l’accès à son marché d’exportation américain.
Le président américain ne fait pas mystère de sa volonté de s’attaquer aux excédents commerciaux de l’UE en taxant les importations de produits européens.
Le ministre des Finances, Laaziz Faid, a indiqué que le taux d’inflation globale a reculé pour atteindre le niveau de 4,25% durant les neuf premiers mois de l’année en cours.
Comme presque chaque année, la réévaluation des projets accapare une part importante de budget de l’Etat.
Au cours de l’année écoulée, le conflit au Moyen-Orient a entraîné une forte volatilité des cours du pétrole, en raison notamment de la crainte de dommages aux infrastructures pétrolières et gazières des principaux producteurs si le conflit venait à s’intensifier.
L’Algérie a vu son inflation refluer grâce à l’appréciation du dinar et au recul des prix des produits frais et des prix à l’importation (…)», a annoncé ce jeudi le Fonds monétaire international (FMI) dans sa dernière livraison, édition du mois d’octobre, sur les perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et Afrique du Nord (MOAN).
Selon l’ONS, la dépense de consommation finale totale a progressé de 3,6% au deuxième trimestre 2024, contre 4,4% en 2023. Quant à la dépense de consommation finale des ménages, elle a enregistré une augmentation de 4,1%, marquant une décélération par rapport à la hausse de 4,6% enregistrée au deuxième trimestre de l’année 2023.
Malgré la baisse des prix des hydrocarbures, les volumes d’exportation ont légèrement augmenté de 0,8% durant le premier semestre 2024 alors que les importations ont connu une hausse significative de 14,4%.
Les projections tendent systématiquement à sous-estimer les niveaux d’endettement : les ratios dette/PIB réalisés trois ans plus tard sont, en moyenne, supérieurs de 6 points de pourcentage du PIB aux projections, note le FMI.