L’adoption généralisée du captage, stockage et valorisation du dioxyde de carbone, en anglais - Carbon Capture, Utilization and Storage (CCUS) -, se heurte, selon le Forum des pays exportateurs de gaz (GECF), à de nombreux défis, en dépit de la reconnaissance du rôle de cette action dans la réalisation des objectifs climatiques mondiaux.
Dans cet entretien, Nordine Ait Laoussine, expert international et ancien ministre de l’Energie, analyse la situation du marché pétrolier. Une situation qu’il qualifie de «confuse et très incertaine». Il estime que les facteurs géopolitiques n’ont plus le même impact sur les prix du pétrole avec un contexte différent.
Une réunion consacrée au projet du SoutH2Corridor regroupant les différents partenaires européens ainsi que l'Algérie et la Tunisie se tiendra dans les prochains mois, en vue d’une déclaration d'intention visant à mettre en œuvre le projet.
Le Nigeria, premier producteur de pétrole d’Afrique avec 1,46 million de barils par jour, selon l’enquête Platts Opec de S&P Global Commodity Insights, ne développera son économie que de 2,9% en 2024 et de 3,2% l’année prochaine, selon le FMI.
Goldman Sachs a laissé jeudi ses prévisions de prix du pétrole inchangées, entre 70 et 85 dollars le baril de Brent en 2025, s’attendant à ce que l’impact d’une éventuelle relance chinoise soit modeste par rapport à des facteurs plus importants, tels que l’approvisionnement en pétrole du Moyen-Orient.
«Les pays du Sud, en Asie, en Afrique et en Amérique latine, devraient connaître une croissance significative de la demande de pétrole pendant une longue période», a indiqué le PDG de Saudi Aramco.
TaqatHy est mis en œuvre par GIZ Algeria mandatée par le ministère allemand de la Coopération économique et du Développement, en collaboration avec le ministère de l’Energie et des Mines.
Alnaft mise, entre autres axes de travail, sur l’exploitation du potentiel offshore, jusqu’à présent totalement inexploré, mais dont les possibilités ont été révélées par plusieurs études, confiées il y a quelques années à de grandes compagnies étrangères d’hydrocarbures, dont l’italien ENI et le français Total.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) révise légèrement à la baisse ses prévisions de croissance de la demande mondiale de pétrole pour 2024 et 2025.
Le groupe Sonatrach a procédé hier, à la signature d’un mémorandum d’entente avec la société espagnole Cepsa, pour la réalisation conjointe d’une étude de faisabilité pour le développement d’un projet intégré de production d’hydrogène vert et de dérivés, en Algérie, en vue d’approvisionner principalement le marché européen.
La demande de gaz naturel a nettement augmenté en 2024, et devrait rester sur une courbe ascendante en 2025, alors que l’offre ne cesse de décliner, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), qui avertit que cela pourrait conduire à une situation de pénurie d’approvisionnement en gaz à court terme.
L’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) a démenti les informations faisant état de l’exclusion «délibérée» des fournisseurs français de blé, suite au dernier appel d’offres.
Dans un tweet sur la plateforme X (ex-Twitter), le secrétariat de l’Opep a «réfuté catégoriquement» les affirmations formulées dans l’article publié par le journal américain, à quelques heures de la réunion du Comité de suivi de l’Opep (JMMc).
Des régions russes ont déclaré l’état d’urgence en raison de conditions de sécheresse extrême.
Les analystes prédisent qu’une agression contre l’Iran pourrait retirer 1,5 million de barils par jour de brut iranien du marché, tandis que des perturbations dans le détroit d’Ormuz pourraient faire progresser les prix du pétrole de plus de 20 dollars le baril.
Les prix du pétrole, qui étaient tombés en dessous de 70 dollars le baril en septembre, pour la première fois depuis fin 2021, ont depuis nettement rebondi. Hier, le Brent s’échangeait au-dessus de 75 dollars le baril, soutenu par des facteurs géopolitiques. Depuis le début de la semaine, les prix ont augmenté d’environ 5% en raison des craintes d’une éventuelle escalade au Moyen-Orient.
L’Europe se prépare à la fin potentielle des approvisionnements en gaz russe via l’Ukraine, l’accord de transit de cinq ans entre les deux pays devant expirer cet hiver.
Une réunion de coordination aura lieu prochainement entre les ministres de l’Energie de l’Algérie, du Niger et du Nigeria, les trois pays concernés par le projet du gazoduc transsaharien TSGP (Trans-Saharan Gas-Pipeline), afin de faire le point sur l’état d’avancement de ce projet «stratégique», selon les déclarations du ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab.
L'Accord historique d'Alger, signé par les pays membres de l'OPEP en 2016, a été un moment important dans l'histoire de l'industrie pétrolière, estime l’Opep par la voix de son Secrétaire général. Haitham Al Ghais a ainsi déclaré, à l’occasion de la célébration de la huitième année de l’accord d’Alger, que la signature a «non seulement posé les bases de ce qui est devenu plus tard une force vitale pour la stabilité et l'équilibre du marché mondial du pétrole - la Déclaration de coopération historique - mais il a également démontré l'approche sacrificielle, responsable et inclusive de l'OPEP qui prend en compte toutes les parties prenantes de l'industrie».
Un accord mettant fin au conflit sur le contrôle de la Banque centrale libyenne devrait permettre la reprise de la production de pétrole et des exportations qui ont chuté à 400 000 barils par jour ce mois-ci, contre plus d'un million de barils le mois dernier.