Depuis sa création, le cadre du DoC vise à faciliter la coopération et le dialogue, y compris aux niveaux technique et de recherche, entre ses participants dans l’intérêt de la stabilité du marché pétrolier.
Le secrétaire général du ministère de l’Energie, Abdelkrim Aouissi, a souligné que les contrats énergétiques à long terme représentent un «outil stratégique pour renforcer la sécurité énergétique (...)».
A l’issue des discussions, les ministres des huit pays ont décidé que la baisse volontaire de production de 2,2 mbj, décidée en novembre 2023 est prolongée jusqu’à la fin du premier trimestre 2025.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) se réunissent aujourd’hui, dans un contexte d’instabilité du marché pétrolier, en vue d’affiner leur stratégie, à l’orée de la nouvelle année.
Les stocks de gaz en Europe ont chuté plus de quatre fois plus vite que la moyenne au cours des dix dernières années.
Le PDG de Sonatrach, Rachid Hachichi, a affirmé : «Le lancement de ce projet énergétique majeur concerne un gisement géant qui, historiquement, a toujours été l’une des principales sources de production de gaz en Algérie et qui représente une source de fierté pour notre pays».
Le PDG du groupe Sonatrach a effectué samedi une visite sur le site du complexe de traitement de gaz «Alrar» relevant de la région de production Stah, wilaya d’Illizi, suite au départ d’incendie survenu le 27 novembre au niveau du train -1- de l’usine qui en compte quatre.
Des échos de presse font d’ores et déjà état de la possibilité d’une nouvelle reconduction des coupes en vigueur actuellement, afin de soutenir les prix qui évoluent pour le Brent, autour de 73 dollars le baril.
La demande mondiale de pétrole est en nette progression, selon le PDG du groupe britannique British Petroleum (BP) qui prévoit une forte consommation de pétrole dans les cinq à dix années à venir.
Les prix du pétrole étaient en nette progression hier, dans le sillage de tensions géopolitiques en Europe, suite à la riposte russe aux attaques ukrainiennes avec des armes fournies par la Grande-Bretagne et les États-Unis.
Le groupe Sonatrach expose, à l’occasion de la Semaine européenne de l’hydrogène (European Hydrogen Week), le potentiel de l’Algérie dans ce domaine, les perspectives de développement de la filière, ainsi que la stratégie mise en place pour développer ce segment, et plus globalement le secteur des énergies renouvelables.
La reprise de la production d’hydrocarbures en 2025, dans le cadre de la politique des quotas de l’Opep, augmenterait les recettes d’exportations d’hydrocarbures de l’Algérie et soutiendrait un rebond de la croissance en du pays 2025 selon les prévisions de la Banque mondiale (BM), incluses dans le dernier rapport semestriel consacré à l’Algérie.
Selon le document exposé, hier, dans les locaux de l’Institution à Alger, les économistes en charge du dossier de l’Algérie ont mis en évidence les bonnes performances de l’économie de notre pays qui a enregistré une croissance de 3,9% au premier semestre 2024 par rapport à la même période de l’année précédente, malgré la baisse de la production d’hydrocarbures.
Le marché accumule des inquiétudes à l’approche de l’expiration de l’accord de transit de gaz entre la Russie et l’Ukraine, prévu à la fin de l’année, alors qu’aucun nouvel accord n’est en vue.
L’arrêté prévoit un abaissement progressif du seuil de consommation, concernée par la négociation libre des prix. Il s’agit 200 millions de mètres cubes de gaz naturel par année pour la période 2025-2026 ; 100 millions de mètres cubes de gaz naturel par année pour la période 2027-2028 et 40 millions de mètres cubes de gaz naturel par année à partir de 2029.
Une réunion consacrée au projet du SoutH2 Corridor reliant l’Algérie à l’Italie, regroupant les différents partenaires, est prévue dans les prochains mois, en vue d’une déclaration d’intention visant à mettre en œuvre le projet, selon une déclaration du ministère italien de l’Environnement et de la Sécurité énergétiq
Les prix du pétrole brut étaient en voie de terminer la semaine en hausse, malgré un léger recul plus tôt dans la journée. Les marchés attendent de savoir quelles mesures prendra concrètement le nouveau président américain, Donald Trump, et quelles seront les répercussions sur l’offre de pétrole et sur la courbe des prix de l’or noir.
Les prix du pétrole étaient en nette hausse hier, en réaction à la décision de l’Opep+ de prolonger les réductions volontaires de huit de ses membres, dont l’Algérie, jusqu’à la fin de l’année.
L’adoption généralisée du captage, stockage et valorisation du dioxyde de carbone, en anglais - Carbon Capture, Utilization and Storage (CCUS) -, se heurte, selon le Forum des pays exportateurs de gaz (GECF), à de nombreux défis, en dépit de la reconnaissance du rôle de cette action dans la réalisation des objectifs climatiques mondiaux.
Dans cet entretien, Nordine Ait Laoussine, expert international et ancien ministre de l’Energie, analyse la situation du marché pétrolier. Une situation qu’il qualifie de «confuse et très incertaine». Il estime que les facteurs géopolitiques n’ont plus le même impact sur les prix du pétrole avec un contexte différent.