D’Alger à Paris, puis à Beyrouth ou encore à Dubaï, l’ancien ministre de l’Industrie et des Mines Abdessalem Bouchouareb a, durant plus de cinq années de cavale, laissé planer le doute sur son lieu de résidence, alors que son nom était sur la liste des personnes recherchées par Interpol, en vertu des nombreux mandats d’arrêt internationaux lancés contre lui par la justice algérienne, après sa condamnation à plusieurs peines de prison pour des affaires de corruption.
Alors que le vote de l’Assemblée générale de l’ONU s’acheminait, hier en fin de journée, vers un oui massif, pour la résolution palestinienne exigeant la fin de la colonisation d’Israël, dans un délai d’un an, quelque 90 intervenants se sont succédé durant la journée de mardi dernier jusqu’à une heure tardive, pour s’exprimer, lors de cette session extraordinaire d’urgence, tenue à la demande du Groupe des Etats arabes, de l’Organisation de la conférence islamique et du Mouvement des pays non alignés.
L’Assemblée générale de l’Onu a repris hier les travaux de sa dixième session extraordinaire d’urgence, consacrés aux mesures illégales prises par Israël dans les Territoires palestiniens occupés.
Pendant que les Ghazaouis sont broyés par la machine de guerre génocidaire à Ghaza, les Palestiniens de Cisjordanie occupée font face à des offensives militaires violentes, des campagnes d’arrestation systématiques à grande échelle et à l’extrême violence des colons qui multiplient les assauts contre l’esplanade de la mosquée d’Al Aqsa.
Les Israéliens de Tel-Aviv ont été réveillés, hier matin, par une forte explosion d’un missile tiré par les Houthis, depuis le Yémen, faisant de nombreux blessés et causant d’importants dégâts matériels. Le tir a été précédé par des sirènes d’alerte dans tout le centre du pays, forçant les habitants à affluer vers les abris.
Les représentants de la Ligue arabe et de l’Union européennes (UE) se sont engagés, vendredi, à l’issue de leur réunion à Madrid, à «faire avancer la solution à deux Etats», en précisant avoir formé un «groupe uni» pour «inciter la communauté internationale à une action concertée».
Pendant que l’Afrique du Sud répondait aux pressions exercées sur elle pour abandonner la plainte pour génocide contre Israël devant la Cour internationale de justice (CIJ), le procureur en chef de la Cour pénale internationale (CPI) réclamait publiquement à la chambre préliminaire l’émission «en toute urgence» des mandats d’arrêt internationaux contre les dirigeants d’Israël.
Le nouveau mandat du président Tebboune s’ouvre dans un contexte d’énormes défis géopolitiques et de conflits armés à nos frontières sud, qui pèsent lourdement sur la sécurité du pays. La présence et les activités de membres de groupes paramilitaires russes au nord du Mali, les mouvements vers la frontière algérienne de troupes libyennes du général Haftar, la présence de l’entité sioniste à la frontière ouest, les tensions dans les relations avec certains partenaires risquent de bousculer la doctrine de «non-ingérence» jusque-là adoptée par l’Algérie et mettront le Président face à des défis sécuritaires aussi complexes que multiples durant son 2e mandat.
Après plus de onze mois de guerre génocidaire contre la population de Ghaza et de destructions massives, la Ligue arabe a enfin décidé de prendre des mesures contre Israël.
Nous travaillons en coordination. Nous suivions les résultats annoncés par l’Anie durant la journée et qui passaient de 6% à 15 puis 16% avant de stagner à 26%. Subitement, nous avons entendu un chiffre irréel de 28%, présenté comme étant la moyenne des taux de participation dans certaines wilayas. Comment l’Anie a-t-elle fait pour donner cette explication ?
L’armée sioniste poursuit son offensive contre plusieurs secteurs de Ghaza, dont une école à Jabaliya, tuant de nombreux Palestiniens, parmi lesquels des enfants brûlés vifs, alors qu’un responsable de la Défense civile a été assassiné avec 4 membres de sa famille à la suite d’une frappe aérienne contre sa maison, portant le nombre des victimes parmi les éléments de ce corps de secours à 83 tués et 200 blessés depuis 11 mois de guerre.
Alors qu’un nouveau rapport de l’Onu avertit que près de 2,2 millions de personnes ont toujours besoin de nourriture et d’aide à Ghaza, l’armée israélienne a bombardé hier matin une école.
Le Royaume-Uni a annoncé avoir suspendu 30 sur les 350 licences d’exportation d’armes vers Israël, en excluant de cette mesure les composants des redoutables avions de combat F-35, utilisés par l’armée israélienne dans sa guerre génocidaire à Ghaza.
Les imposantes marches de contestation populaire dans de nombreuses villes israéliennes, réclamant un accord pour la libération des otages, ont suscité de nombreuses réactions et démasqué les intentions du Premier ministre, Benyamin Netanyahu, accusé par le président américain, Joe Biden, de ne «pas faire assez» pour libérer les otages.
La découverte, samedi dernier, des corps de six otages israéliens à Ghaza a accentué la grave crise politique qui secoue le gouvernement extrémiste de Benyamin Netanyahu.
Tandis que l’armée israélienne poursuivait sa guerre génocidaire contre Ghaza et son offensive militaire en Cisjordanie occupée, les institutions internationales peinaient à s’entendre sur une action commune pour alléger les souffrances des Palestiniens. Aussi bien le Conseil de sécurité de l’Onu que l’Union européenne n’ont pu sortir avec une décision exécutoire d’arrêt des bombardements israéliens en Cisjordanie, ni à imposer des sanctions contre les colons extrémistes qui exercent les violences contre les Palestiniens et font l’apologie de l’épuration ethnique.
L’armée d’occupation israélienne a lancé, hier à l’aube, une grande offensive militaire contre de nombreux camps des villes de Jénine, Tubas, Tulkarem et Nour Shems en Cisjordanie occupée, tuant 11 Palestiniens et en blessant 18 autres. Des hôpitaux encerclés, des ordres d’évacuation de la population donnés, des dizaines d’arrestations opérées par les unités de l’armée sioniste malgré la riposte des combattants de la résistance, pendant que de nombreux colons s’attaquaient à des maisons palestiniennes à l’ouest dans la ville d’Hébron. La situation a poussé le président de l’Autorité palestinienne à interrompre sa visite en Arabie Saoudite et suscité une condamnation internationale.
La situation en Cisjordanie occupée est explosive. Hier, des centaines de colons ont pris d’assaut la mosquée Al Aqsa, sous la protection des forces de sécurité israéliennes.
Pour le Dr Elias Akhamouk, infectiologue, spécialiste des maladies tropicales et chef de service des maladies infectieuses à l’hôpital de Tamanrasset, le nouveau variant de la Mpox est plus contagieux que l’original et trois fois plus mortel que le virus Covid-19. Dans l’entretien qu’il nous a accordé, il avertit qu’un cas de Mpox «peut venir d’Alger comme de In Guezzam», en signalant qu’au Niger, deux cas suspects viennent d’être signalés. Il revient aussi sur les cas de contamination d’enfants par le virus West Nile In Salah et Adrar avant de plaider pour «un organisme de veille sanitaire opérationnel à tout moment comme l’est notre ANP, en matière de sécurité. C’est-à-dire, détecter toute menace partout en Algérie et y répondre immédiatement».
Durant le 1er semestre de l’année en cours, le volume des échanges entre l’Etat hébreu et les Emirats arabes unis, Bahreïn, la Jordanie, le Maroc ainsi que l’Egypte a connu une hausse considérable, estimée à 10 milliards de dollars. C’est ce qu’affirme le dernier rapport de l’Institut des accords d’Abraham pour la paix, se basant sur les statistiques officielles.