La population de Cisjordanie occupée vit un climat de guerre, aggravé depuis le début du mois en cours, durant lequel plus de 25 Palestiniens ont été tués. Ce qui fait dire à la rapporteuse onusienne Francesca Albanese : «Ce qui se passe en Palestine est indescriptible, c’est plus qu’un génocide.»
Après l’avoir accablé de tous les maux, Israël a officialisé sa rupture avec le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, en le déclarant «persona non grata» sous prétexte qu’il n’a pas condamné l’Iran.
La population de et de nombreuses autres villes du nord d'Israël vit au son des sirènes, des tirs de missiles et des bombardements par des drones. Un climat de guerre qui a suscité de nouvelles restrictions au nord et au centre du pays, y compris à Tel-Aviv, le nord de la Cisjordanie occupée, où les rassemblements, les activités éducatives et les lieux de travail ont été interdits, et la prière devant le mur des Lamentations, prévue hier en présence de dizaines de milliers de personnes, annulée.
Depuis son éviction inattendue de son poste, le 8 janvier dernier, dans le sillage d’une banale affaire concernant la découverte, le 28 décembre 2023, à l’aéroport d’Orly, en France, d’un Algérien caché dans le train d’atterrissage d’un avion d’Air Algérie, en provenance d’Oran, l’ex-directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), Farid Zinedine Bencheikh, n’a pas fini de faire parler de lui.
Une semaine à peine après avoir fait exploser des milliers de téléavertisseurs et les talkies-walkies piégés, tuant des centaines de cadres et militants du Hezbollah à Beyrouth, la capitale libanaise, Israël exécute Hassan Nasrallah, le plus protégé et le plus discret des chefs du mouvement de la résistance libanaise, en larguant sur l’immeuble, où il prenait part à une réunion avec plusieurs de ses cadres, 85 bombes anti-bunker, qui pénètrent 30 m sous terre et 6 m dans le béton avant d’exploser, ne laissant aucune chance de survie aux cibles.
Dans deux lettres distinctes adressées au ministre de la Santé, deux parlementaires, le sénateur Khafi Akhmadou de Tamanrasset et le député du RND Mohamed Mansouri, d'In Guezzam, ont, chacun de son côté, interpellé le ministre de la Santé sur la situation épidémiologique dans les communes frontalières du sud du pays, qui connaît, selon eux, une flambée de cas de contamination de paludisme, de diphtérie et de rougeole, notamment parmi les enfants non vaccinés et les population nomades.
Contacté pour en savoir plus sur la situation épidémiologique dans le sud du pays, notamment sur les cas de paludisme et de diphtérie, le docteur Ilyes Akhamouk, chef du service infectieux de l’hôpital de Tamanrasset, explique que «la diphtérie reste une maladie très contagieuse liée à la couverture vaccinale, alors que le paludisme est moins contagieux et reste lié à l’environnement dans lequel vit la population».
Depuis sa mise à la retraite, l’ancien ambassadeur de France à Alger ne rate aucune occasion pour tirer à boulet rouge sur l’Algérie.
D’Alger à Paris, puis à Beyrouth ou encore à Dubaï, l’ancien ministre de l’Industrie et des Mines Abdessalem Bouchouareb a, durant plus de cinq années de cavale, laissé planer le doute sur son lieu de résidence, alors que son nom était sur la liste des personnes recherchées par Interpol, en vertu des nombreux mandats d’arrêt internationaux lancés contre lui par la justice algérienne, après sa condamnation à plusieurs peines de prison pour des affaires de corruption.
Alors que le vote de l’Assemblée générale de l’ONU s’acheminait, hier en fin de journée, vers un oui massif, pour la résolution palestinienne exigeant la fin de la colonisation d’Israël, dans un délai d’un an, quelque 90 intervenants se sont succédé durant la journée de mardi dernier jusqu’à une heure tardive, pour s’exprimer, lors de cette session extraordinaire d’urgence, tenue à la demande du Groupe des Etats arabes, de l’Organisation de la conférence islamique et du Mouvement des pays non alignés.
L’Assemblée générale de l’Onu a repris hier les travaux de sa dixième session extraordinaire d’urgence, consacrés aux mesures illégales prises par Israël dans les Territoires palestiniens occupés.
Pendant que les Ghazaouis sont broyés par la machine de guerre génocidaire à Ghaza, les Palestiniens de Cisjordanie occupée font face à des offensives militaires violentes, des campagnes d’arrestation systématiques à grande échelle et à l’extrême violence des colons qui multiplient les assauts contre l’esplanade de la mosquée d’Al Aqsa.
Les Israéliens de Tel-Aviv ont été réveillés, hier matin, par une forte explosion d’un missile tiré par les Houthis, depuis le Yémen, faisant de nombreux blessés et causant d’importants dégâts matériels. Le tir a été précédé par des sirènes d’alerte dans tout le centre du pays, forçant les habitants à affluer vers les abris.
Les représentants de la Ligue arabe et de l’Union européennes (UE) se sont engagés, vendredi, à l’issue de leur réunion à Madrid, à «faire avancer la solution à deux Etats», en précisant avoir formé un «groupe uni» pour «inciter la communauté internationale à une action concertée».
Pendant que l’Afrique du Sud répondait aux pressions exercées sur elle pour abandonner la plainte pour génocide contre Israël devant la Cour internationale de justice (CIJ), le procureur en chef de la Cour pénale internationale (CPI) réclamait publiquement à la chambre préliminaire l’émission «en toute urgence» des mandats d’arrêt internationaux contre les dirigeants d’Israël.
Le nouveau mandat du président Tebboune s’ouvre dans un contexte d’énormes défis géopolitiques et de conflits armés à nos frontières sud, qui pèsent lourdement sur la sécurité du pays. La présence et les activités de membres de groupes paramilitaires russes au nord du Mali, les mouvements vers la frontière algérienne de troupes libyennes du général Haftar, la présence de l’entité sioniste à la frontière ouest, les tensions dans les relations avec certains partenaires risquent de bousculer la doctrine de «non-ingérence» jusque-là adoptée par l’Algérie et mettront le Président face à des défis sécuritaires aussi complexes que multiples durant son 2e mandat.
Après plus de onze mois de guerre génocidaire contre la population de Ghaza et de destructions massives, la Ligue arabe a enfin décidé de prendre des mesures contre Israël.
Nous travaillons en coordination. Nous suivions les résultats annoncés par l’Anie durant la journée et qui passaient de 6% à 15 puis 16% avant de stagner à 26%. Subitement, nous avons entendu un chiffre irréel de 28%, présenté comme étant la moyenne des taux de participation dans certaines wilayas. Comment l’Anie a-t-elle fait pour donner cette explication ?
L’armée sioniste poursuit son offensive contre plusieurs secteurs de Ghaza, dont une école à Jabaliya, tuant de nombreux Palestiniens, parmi lesquels des enfants brûlés vifs, alors qu’un responsable de la Défense civile a été assassiné avec 4 membres de sa famille à la suite d’une frappe aérienne contre sa maison, portant le nombre des victimes parmi les éléments de ce corps de secours à 83 tués et 200 blessés depuis 11 mois de guerre.
Alors qu’un nouveau rapport de l’Onu avertit que près de 2,2 millions de personnes ont toujours besoin de nourriture et d’aide à Ghaza, l’armée israélienne a bombardé hier matin une école.