Paris s’est réveillée hier matin sur une alerte au sabotage qui a ciblé le réseau ferroviaire à travers le pays, les lignes TGV en particulier.
Désillusion et panique chez Netanyahu. A son arrivée à Washington, il a été confronté à de violentes manifestations y compris de juifs américains organisant des sit-in au sein même du Congrès, qui l’a invité à prendre la parole.
L'élection présidentielle aura lieu le 6 octobre prochain en Tunisie. L’ISIE a déjà présenté, le 4 juillet passé, le calendrier électoral. Ils sont déjà, et jusqu’au 23 juillet à 14h, 88 potentiels candidats à vouloir participer à la course pour la magistrature suprême. Ces prétendants doivent d’abord récolter les parrainages requis. Munis de ces sésames incontournables, les postulants auront à présenter les documents nécessaires pour déposer chacun son dossier auprès de l’ISIE du 29 juillet au 6 août.
Les cartes de l’élection pour la Maison Blanche sont complètement rebattues maintenant que Joe Biden s’est décidé à lâcher prise en se retirant de la course.
Depuis le lancement en 2002 des premiers travaux d’une station de dessalement de l’eau de mer en Algérie, d’énormes progrès ont été réalisés pour la maîtrise de cette technologie.
Une autre victoire morale vient d’être arrachée par le peuple palestinien, à travers l’avis formulé ce 19 juillet par la Cour de justice internationale (CIJ).
Il suffisait de trois centimètres pour que la balle qui a traversé une oreille de Donald Trump ne lui fracasse le cerveau, ce qui aurait entraîné sa mort immédiate.
Cinq auteurs ont harmonisé leurs travaux de recherche pour rendre un hommage amplement mérité à une sommité du théâtre algérien Ould Abderrahmane Abdelkader, dit «Kaki», à travers un nouvel ouvrage qui vient d’être publié aux éditions Dar El Qods El Arabi.
La maison d’édition MIM a annoncé hier cesser son activité après des jours de campagne violente et haineuse sur les réseaux sociaux. Le texte du communiqué accompagnant cette mesure extrême reflète toute l’amertume et l’abattement de cette partie du milieu culturel qui résiste encore à l’hostilité ambiante et à ce nouveau fascisme décomplexé s’exerçant au nom de la religion et de la tradition contre la liberté de création.
Les sillages de Donald Trump sont décidément délétères et imprévisibles. L’ancien président américain, qui mène une agressive campagne pour un retour à la Maison-Blanche le 5 novembre prochain, a échappé de justesse avant-hier à un attentat.
La crise en Libye perdure depuis plus de dix ans, impliquant les divers belligérants libyens et la majorité des puissances internationales, aux dépens du petit peuple libyen. Il suffit de rappeler que les deux Chambres représentantes des Libyens se maintiennent respectivement depuis 10 et 12 ans, pour s’interroger sur la légitimité de leurs élus rémunérés pendant tout ce temps par les contribuables locaux.
Il ne lui manquait plus que cela : un lapsus ravageur, en plein sommet de l’OTAN, qui lui fait confondre le président ukrainien Zelensky et son pire ennemi Poutine. Elégamment et diplomatiquement minimisée par les dirigeants alliés présents, retenant plutôt l’énergie de l’homme et le «leadership» dont il a fait montre à l’occasion, la méprise très malvenue illustre toute la précarité de l’assurance que peut afficher Joe Biden, candidat à 81 ans à sa propre succession le 5 novembre prochain.
Avec la nouvelle configuration de son Assemblée nationale, la France sortira-t-elle de son ambigüité vis-à-vis de la question palestinienne ? Sera-t-il mis un terme au «soutien inconditionnel à Israël», tel qu’exprimé par l’ancienne présidente du Parlement, Yaël Braun Pivet, faisant ainsi l’impasse tant sur la guerre génocidaire menée à Ghaza que sur le droit des Palestiniens à vivre en paix sur leur terre spoliée.
L’Algérie cumule, ces derniers temps, les indicateurs laissant présager un éclaircissement du ciel économique. Il y a au moins trois baromètres qui sont passés dans le vert
La gauche a réussi son pari au-delà de ce que laissait espérer la configuration des rapports de force lors du premier tour des législatives françaises, il y a plus d’une semaine.
Chronique quotidienne des massacres, de plus en plus lacunaire, déclarations de moins en moins audibles des humanitaires de l’ONU sur le désastre sur place, images chocs émoussées désormais par la boucle de la routine, palabres fastidieux et sans lendemain sur un cessez-le-feu…
La course à la Maison-Blanche, version 2024, n’est pas seulement une grosse compétition politique avec d’inédits enjeux planétaires, mais aussi une rude bataille d’images et de procédures. Joe Biden et Donald Trump rejoueront en novembre prochain un match plus tendu encore que celui qui a fini par tourner à l’avantage du premier il y a quatre ans, et qui a poussé le second à tenter une contestation des résultats à la limite de la subversion.
Dimanche prochain, ce sera une autre France qui surgira et pas seulement au niveau des équilibres politiques. Toute la société pourrait être affectée profondément par la montée en puissance de l’extrême droite dont on ne sait, à l’heure actuelle, si elle régnera en maître absolu au niveau du Parlement et de l’Exécutif avec le poste de Premier ministre ou si elle se contentera d’une majorité relative qui lui conférera, en tout état de cause, une forte emprise sur le Parlement aidée en cela par une frange de la droite alliée.
La saison estivale a toujours été la période de l’année la plus attendue par les Algériens en quête de détente et de loisirs après des mois de labeur, mais aussi de stress au quotidien.
Un fort niveau d’investissement en faveur du développement dans les villages est constaté dans les assemblées communales, qui remettent ainsi dans leurs priorités l’amélioration des conditions de vie dans les localités les plus retirées.