La 11e édition du Festival national de musique andalouse s’est tenue du 20 au 24 mai dernier à Souk Ahras. Placée sous le signe de la vulgarisation de l’identité et du patrimoine culturel, avec une approche scientifique et académique, cette édition se voulait inclusive en s’ouvrant aux différentes «écoles».
La participation à l’événement Croisement est soumise à une inscription préalable, à effectuer en ligne via le formulaire suivant : https://forms.gle/2ZLxBo1dmsnsmo9AA Les dossiers de candidatures devront être transmis exclusivement via ce formulaire, entre le 4 et le 30 juin 2025.
Le décret exécutif nº25-148 du 2 juin 2025, portant dissolution de l’Office Riadh El Feth (OREF) et le transfert de ses biens, droits, devoirs et employés à la wilaya d’Alger a été publié sur le Journal officiel no 34, dernier numéro en date.
Un accord de coopération et de partenariat a été signé entre l’Université des Frères Mentouri (Constantine1) et le Musée national public des arts et des expressions traditionnelles palais-Ahmed Bey, a-t-on appris du recteur de l’Université.
La short-list des participants à la première édition du Prix du roman amazigh organisé par la chaîne Berbère Télévision a été dévoilée, hier, lors d’une conférence de presse animée à l’hôtel Le Relais Vert de Oued Aïssi, à Tizi Ouzou.
Elle est à la fois écrivaine, poétesse et dramaturge dans les deux langues qu’elle maîtrise le mieux : tamazight et le français en plus de l’arabe, mais sa préférence va pour la seconde, du fait qu’y écrire relève, pour elle, d’un «combat» qu’elle a choisi de mener à sa manière.
Au cœur de la ville méditerranéenne de Skikda, anciennement appelée Rusicada, se tiendra la première édition de la Rencontre cinématographique Rusicada, du 21 au 25 juin, sous le thème «De l’écriture à l’écran».
Les participants à la troisième réunion consultative avec le comité d’experts chargé de la préparation de l’étude initiale et la mise en œuvre de la première mouture du scénario du film sur l’Emir Abdelkader ont convenu de la nécessité d’adopter une approche artistique dans le cadre d’une vision cinématographique respectueuse de l’authenticité des faits historiques, selon un communiqué publié mardi par l’institution publique Al Djazairi.
A contre-courant des multiplexes du Caire saturés de superproductions et de comédies locales, Zawya défend dans la capitale égyptienne un cinéma alternatif, tremplin pour les jeunes réalisateurs. Né dans l’élan artistique qui a suivi la révolution de 2011 ayant renversé l’autocrate Hosni Moubarak, Zawya reste l’un des derniers bastions de la scène underground de cette époque.
Longtemps réprimée mais jamais réduite au silence, la musique palestinienne incarne un art de vivre, de résister et de transmettre. De l’orgue sacré d’Augustin Lama aux beats engagés du groupe DAM, cette musique plurielle, enracinée dans la terre du Levant, accompagne les rêves d’un peuple dispersé mais uni par sa mémoire sonore.
Le Musée public national des arts modernes et contemporains (MAMO) d’Oran accueille une exposition de peinture intitulée «Touches du souvenir», à l’occasion de la célébration de la Journée nationale de l’artiste, coïncidant avec le 8 juin de chaque année.
Les deux artistes présentent des toiles riches et variées en couleurs.
Le 3 juin 1974 à Gouvieux, en région parisienne, décédait, en exil, Ahmed Messali Hadj, fondateur du Parti du peuple algérien (PPA), du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD), du Mouvement national algérien et de l’Etoile nord-africaine. Le 7 du même mois, son corps a été rapatrié et inhumé au cimetière Cheikh Senouci de Tlemcen, sa ville natale.
L’homme de culture et artiste à plusieurs facettes, Mokrane Ait Lounes, était à l’honneur à Agouni Fourrou, dans la région des Ouacifs où il a partagé avec l’assistance son parcours singulier à bien des égards.
Les activités de la 11e édition du festival culturel local La lecture en fête ont été lancées, dimanche à la maison de la culture et des arts Zeddour Brahim El Kacem d’Oran, avec une participation remarquable d’enfants.
Dans la région de Bouira, berceau de traditions et de paysages époustouflants, Feriel Guellaz se distingue par une passion rare et précieuse : celle de la culture, de l’architecture traditionnelle et de la littérature.
Lorsque je me lance dans la création, je ferme les portes du mental et de la raison et j’ouvre les portes de l’imagination. Une sentence, on ne peut plus perspicace de la plasticienne, Hamida Chellali, qui tient, à travers une collection d’œuvres accrochées sur les cimaises de la galerie de la Fondation Ahmed et Rabah Asselah, à exhumer ses tréfonds non sans susciter chez le spectateur quelques frémissements.
L’ouverture des journées nationales théâtrales pour enfants a eu lieu jeudi, en fin d’après-midi, au théâtre antique de la ville de Guelma. C’est à l’initiative de l’association pour la promotion des arts et des distractions au profit des jeunes et enfants de la wilaya de Guelma «Saânii El Besma» (faiseur de sourire) sous le patronage de Mme le wali, qu’un programme a été concocté pour cette frange «avide» de distraction.
Production algéro-française, le long métrage, Première ligne, a déjà été présenté au Toronto International Film Festival (TIFF 5-15 septembre 2024) pour sa première mondiale et au 4e Festival international du film de la mer Rouge (Djeddah/Arabie Saoudite).
Un coup de feu retentit sur l’île sénégalaise de Fadiouth faisant écho aux tambours. Tout de blanc vêtu, un homme franchit le seuil de sa maison. C’est le jour de son sacre comme «roi de la mer», chargé de protéger les espèces. A 94 ans, Antoine Diogoy Samal Thiakane est le 25e roi de la mer de Fadiouth, une commune d’une dizaine de milliers d’habitants, à quelque 120 km au sud de Dakar, peuplée de musulmans et de chrétiens et d’adeptes de croyances locales.