Culture

Touggourt : Plus de 30 personnes en formation sur la conservation des manuscrits

05/03/2024

Pas moins de 35 personnes ont pris part aux ateliers de formation scientifique sur la conservation et le catalogage des manuscrits, initiés dans la wilaya de Touggourt par l’association locale El Témacini pour la culture et les arts, a-t-on appris dimanche des organisateurs.

Musée Ahmed Zabana d’Oran : Le braille pour faire connaître les pièces muséales aux non-voyants

05/03/2024
APS

Le musée national public Ahmed Zabana d’Oran a initié l’introduction du braille sur les étiquettes détaillant les pièces du musée pour faciliter aux non-voyants la visite de cet établissement, a-t-on appris de cette structure culturelle.

Arts et Culture : De nouveaux festivals culturels locaux, nationaux et internationaux

05/03/2024
APS

l Le secteur de la culture et des arts s’est renforcé par de nouveaux festivals culturels, locaux, nationaux et internationaux, suite à la publication de plusieurs arrêtés ministériels au Journal officiel (JO) visant la valorisation du patrimoine culturel algérien et la promotion de la scène culturelle et artistique du pays, notamment dans les nouvelles wilayas, a indiqué dimanche un communiqué du ministère.

30e anniversaire de la mort d’Abdelkader Alloula : Un riche programme prévu à Oran

04/03/2024

En signe de commémoration et par devoir de mémoire, le théâtre régional d’Oran a décidé de dédier toute sa programmation du mois de mars au grand dramaturge algérien Abdelkader Alloula lâchement assassiné en 1994 par des terroristes intégristes.

Terminus Babel de Mustapha Benfodil : Un livre (ktab) raconté avec toute la tendresse humaine

04/03/2024

Terminus Babel est un roman qui raconte l’histoire d’un livre condamné au pilon.

Littérature : Parution de la traduction en ourdou de Lorsque la vie te désire de Fadila Malhag

04/03/2024

Lorsque la vie te désire, un roman en langue arabe de l’écrivaine algérienne Fadila Malhag a été traduit en ourdou, langue officielle du Pakistan, où il a été publié, rapporte la presse pakistanaise.

Batna : La pièce Les souliers du Tambour ravit les tout-petits

04/03/2024
APS

Les petits amateurs de théâtre, à Batna, se sont délectés de la nouvelle pièce, produite spécialement pour eux par le théâtre régional de Batna, intitulée Les souliers du tambour, présentée samedi à la maison de la culture Mohamed-Laïd Al Khalifa.

Le théâtre atelier : Une «véritable pépinière pour la découverte des talents»

04/03/2024
APS

Le théâtre atelier, abrité par les maisons de la culture, constitue «une véritable pépinière pour la découverte des jeunes talents et leur formation», a assuré, samedi à Djelfa, le directeur central au ministère de la Culture et des Arts, Smaïl Inzaren.

Concours national universitaire du film mobile : Trois jours à Ghaza sacré meilleure œuvre

04/03/2024
APS

Le film Trois jours à Ghaza, réalisé par un groupe d’étudiants de l’université Abderrahmane Ibn Kheldoun de Tiaret, a été sacré meilleure œuvre de la 2e édition du Concours national universitaire Film mobile à Mila, organisée du 29 février au 2 mars par la Direction locale des œuvres universitaires sous le slogan «Créativités estudiantines par des objectifs modernes».

En Cisjordanie, une exposition pour préserver l'art palestinien de Ghaza

03/03/2024

À Bir Zeit, en Cisjordanie occupée, un musée expose actuellement une collection d'œuvres d'art et d'artefacts provenant de la bande de Ghaza.

Le destin surréaliste d’un musicien amérindien happé dans la course aux Oscars

03/03/2024

Scott George, résidant dans l'État de l'Oklahoma, alterne entre la recherche de logements abordables pour des familles amérindiennes en semaine et la participation à des festivals du peuple Osage le week-end.

Istiqlal : Les martyrs reviennent (enfin) cette semaine

03/03/2024

Demain, 4 mars, sera diffusé à 19h le film enfin autorisé de Bachir Derraïs Ben M’hidi, projection confidentielle à l’Opéra d’Alger et événement de l’année, une quinzaine de ministres et une foule de cadres de ministères et d’ayant-droits étant annoncés. Première pénurie d’avant-Ramadhan, celle des cartons d’invitation.

Bachir Derraïs, producteur et réalisateur de Ben M’hidi : «Je suis un montagnard, pour me décourager il faut des missiles S-400.»

03/03/2024

-Le film va être projeté à l’Opéra, que va-t-il se passer après ? Une fois que l’administration me libérera de tous les obstacles, je prendrai en charge toute l’histoire pour bien préparer la sortie du film là-bas et ici. Nous avons signé un accord en ce sens, maintenant ce qui compte c’est de donner une carrière à ce film, le passé ne m’intéresse plus

Mois du théâtre au TRO : A la mémoire du dramaturge défunt Abdelkader Alloula

03/03/2024

Le coup d’envoi du Mois du théâtre, organisé en hommage au dramaturge Abdelkader Alloula à l’occasion de la commémoration du 30e anniversaire de sa mort, a été donné vendredi soir au Théâtre régional d’Oran (TRO).

Institut Cervantès d’Alger : Hommage aux femmes vaillantes et courageuses

03/03/2024

Dans le cadre de la célébration de la Journée internationale des droits des femmes, l’ambassade d’Espagne en Algérie et l’Institut Cervantès d’Alger présentent leur programme pour ce rendez-vous annuel qui permet, entre autres, de réfléchir à la situation des femmes et à leurs droits, mais aussi de rendre hommage à celles et ceux qui contribuent à leur amélioration.

Le film suédois «Triangle of sadness» clôture les 8es Journées du film européen à Alger : Le royaume flottant de l’égoïsme, de l’insignifiance et de la cupidité

02/03/2024

Les 8es Journées du film européen d’Alger ont été clôturées, jeudi 29 février au soir, à la Cinémathèque algérienne avec la projection du film suédois «Triangle of sadness» (Le triangle de la tristesse).

Spectacle : «Parfums d’Algérie», une mosaïque de musiques animée à l’Opéra d’Alger

02/03/2024
APS

Organisé dans le cadre du programme culturel de la 7e édition du Sommet du Forum des pays exportateurs de gaz (GECF) qui se tient à Alger, cet évènement culturel est le fruit d’une collaboration entre l’Orchestre symphonique et le ballet de l’Opéra d’Alger, sous la direction artistique du maestro Lotfi Saidi, outre la participation du ballet de l’Office national de la culture et de l’information (ONCI).

Arezki Metref présente les Gens du Peuplier à Oran : «Les écrivains de la génération d’aujourd’hui s’intéressent aussi à la période coloniale»

02/03/2024

Le roman intitulé Les Gens du Peuplier (Editions Casbah, 2023) a été présenté mercredi au TRO en présence de son auteur, l’écrivain et journaliste Arezki Metref. La rencontre, suivie d’une vente-dédicace, a eu lieu dans le cadre des journées littéraires d’Oran qui se tiennent désormais à la mémoire du défunt Hadj Meliani, chercheur universitaire et enseignant en littérature, maghrébine notamment, dont un hommage particulier lui sera rendu le 21 mars.

La chronique littéraire / Les mémoires ou les couleurs de la vie

02/03/2024

Au mois de décembre dernier s’est tenu, à l’université de Batna, un colloque national autour du genre littéraire des mémoires. Cette rencontre a eu le mérite de mettre en avant l’importance et peut-être la singularité d’une production littéraire, empruntant tant à l’autobiographie qu’à l’essai historique. Les mémoires étant, toutefois, plus consacrés à dépeindre une époque vécue, qu’à peindre un portrait de sa vie personnelle comme le ferait une autobiographie. D’autant que les mémoires sont particulièrement prisés par le lectorat algérien, friand de témoignages directs sur l’histoire récente de notre pays, en particulier lorsque les auteurs de celles-ci sont des acteurs historiques de premier plan, appartenant le plus souvent au monde politique, outre la fascination que peut inspirer pour certains le pouvoir et ses hommes quand il s’agit d’œuvres signées par ces derniers. C’est ainsi que les mémoires du militant révolutionnaire Lakhdar Ben Tobbal, du Président Chadli Bendjedid, du Président Ali Kafi, d’Ahmed Taleb El Ibrahimi, de Réda Malek, du général Khaled Nezzar, d’Ali Haroun ou de Mohamed Saïd Mazouzi ont connu le plus grand succès en librairie. Un succès qui traduit tout l’intérêt qu’accordent les Algériens à la connaissance, par de multiples voies, de leur histoire et des questions qui s’y rattachent, comme en témoigne, au-delà des mémoires, l’attention portée aux ouvrages historiques en général quand ils touchent à des problématiques encore vivaces. En fait, cet engouement pour les mémoires n’est pas le seul apanage du paysage éditorial algérien et se vérifie aussi, soit d’autres latitudes. En France, les mémoires du général de Gaulle sont une œuvre incontournable et aux Etats-Unis de nombreuses personnalités écrivent leurs mémoires, sans qu’on puisse faire la part du témoignage et du business, puisque la palette des auteurs est assez large pour aller des hommes ou femmes d’Etat, à l’instar de Nixon,Bush père et fils, Obama ou Hillary Clinton, jusqu’aux acteurs et sportifs de renom, ces derniers confondant le genre avec celui de l’autobiographie. En Algérie, les mémoires, de par leur inscription historique et la diversité des points de vue qu’elles mettent en avant, s’avèrent être un excellent exercice pour, non seulement, appréhender l’histoire mais aussi faire valoir la portée humaine de celle-ci, toute en l’inscrivant dans une perspective plurielle de liberté et de démocratie, puisque les mêmes événements peuvent faire l’objet de lectures différentes selon les témoignages et les optiques. Par ailleurs, les événements tus par les uns peuvent être révélés par d’autres et donner ainsi lieu à des recoupements éminemment importants pour la vérité historique. Les questions mémorielles étant d’une importance majeure, les mémoires sont aussi une voie privilégiée et des voix polyphoniques précieuses, pour révéler et préserver la mémoire d’un pays. Une mémoire portée par ses propres acteurs. C’est pourquoi les mémoires rattachés aux périodes cruciales pour l’histoire d’une nation sont des sources vives où il s’agit de s’abreuver, tout en prenant garde qu’elles se tarissent. A ce titre, les mémoires rattachés à la guerre de Libération rédigés ou à rédiger par des moudjahidine sont d’une importance capitale. Ces mémoires, au-delà des aspects personnels qu’on y retrouve et qui sont aussi des éléments qui (re)donnent vie, sens et exemplarité aux faits, sont un fonds de recherche pour l’historien et un legs patrimonial pour les nouvelles générations. La dimension humaine confère, elle, une portée identificatoire, à la relation historique et rappelle l’importance central de l’élément humain dans toute entreprise d’aussi grande envergure soit-elle. Bien sûr, cette même dimension peut mener à relativiser certains faits, des faiblesses toutes aussi humaines peuvent même donner lieu à des polémiques ou controverses, qui, à notre sens, ne changent en rien à la portée profonde des événements relatés, lesquels s’insèrent dans une perspective plus large qui dépasse, de loin, les contradictions individuelles pour construire la signification transcendante des faits et leur portée symbolique. Ecrire ses mémoires s’avère, ainsi, un devoir ou, du moins un exercice louable, pour ceux, qui ont eu, à un moment ou à un autre de leur vie, à tutoyer l’histoire, car ils se font l’écho, pour la postérité, d’une aventure qui les dépasse pour appartenir à la collectivité dont ils relèvent. Une collectivité qui comprendra mieux, ainsi, l’agencement des faits et le propre des hommes, le hasard et l’histoire, pour reprendre le titre des mémoires sous forme d’entretiens de Belaïd Abdesslam et en retiendra les ressorts et la portée. Les mémoires se poseront alors comme un matériel didactique de choix, pour connaître l’histoire et marquer les esprits, d’autant qu’elles sont, le plus souvent, outre leur caractère de témoignage sur la vie publique, par des acteurs de premier plan de celle-ci, des œuvres de maturité qui se veulent des guides pour les novices ou des leçons à méditer pour les plus expérimentés. Les mémoires sont aussi un lieu idéologique par excellence, où se donnent à lire les convictions de chaque auteur et à s’expliquer les positions de chaque camp, proposant ainsi des grilles, sinon des pistes, de lecture tout à fait dignes d’intérêt pour asseoir une histoire nuancée et exhaustive. C’est ainsi que les mémoires apparaissent comme des œuvres participant pleinement de la préservation de la mémoire et de sa transmission, non pas seulement au plan du contenu historique, proprement dit, mais aussi comme ensemble de valeurs, de principes et de vision du monde, à même de se constituer comme modèle et idéal pour la conscience collective. La puissance des symboles en histoire est connue et les mémoires, par leur contribution personnalisée au récit national, aident à l’ancrage et à la promotion de la portée symbolique de celui-ci, tant il apparaît que chaque ligne de témoignage redonne vie et corps aux événements et en exalte la signification, grâce à l’esthétique littéraire dont se pare le mémorialiste. La profondeur de la dimension historique d’une nation se mesure aussi à l’aune de ses mémorialistes empruntant à la littérature ses lettres de noblesses, à l’histoire sa lettre et à l’homme son cachet. Les mémoires n’en constituent pas pour autant une lettre de cachet, bien au contraire, elles sont une clé commode, pour celui qui sait s’en servir, pour ouvrir grand les portes de la forteresse.

Médias : Ahmed Halli lauréat du prix Benzine

02/03/2024

Le prix Abdelhamid Benzine de journalisme est décerné cette année à Ahmed Halli, journaliste au long cours. La cérémonie de remise du prix par l’association «Les amis de Abdelhamid Benzine» sera organisée aujourd’hui 2 mars, au Karakoia (Alger).


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