La transcription d’un grand livre sur la musique malouf constantinois a été lancée récemment par le Festival international culturel du malouf, a indiqué hier à l’APS son commissaire, Ilyès Benbakir.
l L’événement, qui a pour objectif de réunir toutes les voix qui chantent ce genre musical, en Algérie, au Maghreb et même dans le monde, demeure une des meilleures voies pour préserver ce patrimoine.
La 15e conférence du Comité international pour la conservation des mosaïques (ICCM), qui vient de se tenir à Athènes, en Grèce, en octobre, a sélectionné et accepté le document algérien relatif au déploiement de l’intelligence artificielle dans le domaine de la mosaïque, en particulier, et l’archéologie, en général.
La sixième édition du Salon national du livre s’est ouverte, samedi après-midi, à la salle des expositions Assihar de la ville de Batna, sous le thème «Les univers de la créativité et la magie de la lecture» en présence d’un public nombreux.
l L’association de wilaya pour la promotion des arts de la jeunesse et de l’enfance de Guelma organisera, du 17 au 20 décembre, des journées du court métrage au cinéma Le Triomphe.
Le programme de la manifestation «Vacances au théâtre» d’Oran, dédiée aux enfants, adoptera un nouveau format en mettant l’accent sur l’animation théâtrale de proximité, a-t-on appris, jeudi auprès du Théâtre régional Abdelkader-Alloula d’Oran.
Jusqu’au 28 décembre, l’espace de la Fondation culturelle Ahmed et Rabah Asselah accueille une exposition d’œuvres picturales de l’artiste Selma Zerrouki Chitour l Une plasticienne qui, à travers les compositions qu’elle décline dans la technique de l’acrylique, reste rivée à deux écoles : l’art natif et le courant de l’art abstrait.
Réalisateur légendaire aux tournages dantesques, homme des paris les plus fous, Werner Herzog n’a peur de rien. Surtout pas de l’intelligence artificielle, «trop stupide» pour faire de bons films, confie-t-il à l’AFP à l’occasion d’une rétrospective de son œuvre à Paris.
Si les crises économiques et socio-sanitaires liées à la Covid-19 ont profondément bouleversé les sociétés durant les années 2021-2022, il est important de rappeler que le quotidien et ses routines invisibles n’effacent pas les enjeux importants mis en exergue par les acteurs sociaux, qui accordent une valeur suprême à leur vie de tous les jours» (Algérie, crises au quotidien, 2024).
l La chanteuse tunisienne Nawel Benkraiem s’est déjà produite sur scène en Algérie, à Oran en particulier, mais c’était dans un cadre collectif, notamment avec «l’Armée mexicaine», le concept qui a débarqué il n y a pas si longtemps pour rendre hommage à Rachid Taha (1958-2018).
Un nouveau court métrage intitulé En plein cœur a été projeté en avant-première, mercredi, à la maison de la culture Ali Souaihi de Khenchela, à l’occasion de la commémoration du 64e anniversaire des manifestations du 11 Décembre 1960.
Cette année, 180 candidats sont en lice pour prétendre à décrocher le Prix du président de la République de littérature et langue amazighes, nous a précisé, jeudi, Si El Hachemi Assad, secrétaire général du Haut-Commissariat à l’amazighité (HCA), qui rappelle que cette distinction sera décernée le 12 janvier prochain, dans le cadre des festivités de la célébration nationale de Yennayer 2975 qui aura lieu dans la nouvelle wilaya de Timimoun.
Avec un décalage de quelques mois, le festival de la musique et de la chanson oranaise, placé sous le slogan «Notre patrimoine, notre identité», honore son rendez-vous annuel à El Bahia pour l’année 2024.
La littérature qui emprunte à tant de domaines et d’abord à la vie et à la réflexion est une voie privilégiée pour expliquer le monde et ses transformations, tant à l’échelle des individus qu’à celle des sociétés, des peuples et des nations. Elle emprunte à l’histoire et à la philosophie, pour donner à lire et à voir, par exemple en un récit romanesque, le destin d’un être ou d’une entité.
A Thivaouanine, un village perché sur les hauteurs d’Ath Laâziz, dans la wilaya de Bouira, deux frères ont façonné une légende musicale qui traverse le temps et les générations.
Le poète Akli Ait Boussad estime qu’un poète est un «éternel insatisfait» qui se doit de se remettre en cause continuellement, en piochant dans les œuvres des autres et en tenant compte des opinions de ses lecteurs et auditeurs.
Ce grand artiste discret, désintéressé et surtout modeste, n’ayant jamais cherché à se mettre sous les feux de la rampe, était estimé de la part de tous ceux qui l’ont connu et apprécié ce qu’il avait fait pour la culture algérienne.
Le coup d’envoi de la 13e édition du Salon Djurdjura du livre a été donné hier par le wali de Tizi Ouzou, Aboubakr Seddik Boucetta, et le président de l’APW, Mohamed Klalèche, qui ont visité les espaces réservés à cette manifestation au niveau à la maison de la culture Mouloud Mammeri et de la bibliothèque principale Si Mohand Ou M'hand du chef-lieu de wilaya.
L’un des aspects les plus marquants de cet événement, le premier du genre dans la région, réside dans la diversité des participants aux ateliers, réunissant toutes les tranches d’âge.
Cette édition du festival du malouf verra la participation de 20 artistes, algériens et étrangers répartis sur cinq soirées thématiques débutant à 18h