D’après les visiteurs de ces marchés, les prix sont excessivement élevés.
L’OPEP+ pompe environ 40% du brut mondial et a réduit son objectif de production d’un total de 3,66 millions de bpj, soit 3,6% de la demande mondiale.
Une virée dans les marchés locaux des fruits et légumes dans la commune de Béchar renseigne amplement sur l’absence quasi-totale des normes d’hygiène et de salubrité censées être de rigueur toute l’année et pas seulement en période de jeûne.
Les services de la wilaya d’Alger ont pris une série de mesures pour assurer la disponibilité des produits alimentaires de base et réguler les marchés pendant le mois sacré de Ramadhan, a affirmé mardi dernier le directeur du commerce et de la promotion des exportations de wilaya, Lakhdar Teriaa.
Credit Suisse doit trouver les moyens de rassurer coûte que coûte les marchés avant leur ouverture lundi matin, même si la deuxième banque de Suisse est l'une des 30 banques au niveau mondial considérée comme trop grosse pour faire faillite.
A environ deux semaines de sa prochaine réunion d’évaluation de sa stratégie pétrolière, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) donne une fois de plus des indices sur son intransigeance sur le maintien de sa politique, exécutée depuis des mois, pour rééquilibrer le marché selon les fondamentaux, et dans l’intérêt des pays producteurs et de l’économie mondiale, et non en fonction de facteurs conjoncturels liés à la géopolitique.
Il y a un manque en marchés de proximité qui influe négativement sur les prix. Pour Akli Moussouni, expert agronome, cette situation va encore perdurer et rien ne semble l’arrêter. Selon lui, les intervenants dans ce secteur ne sont identifiés qu’à travers les aides de l’Etat mais jamais organisés en filières autour de leurs productions. Le marché national n’est pas normalisé et n’est pas planifié. Il y a absence d’un circuit de distribution qui puisse servir de plateforme de réception et de programmation annuelle des productions.
Les prix du pétrole ont reculé hier, dans le sillage d’informations faisant état d’avancées dans les pourparlers de paix entre la Russie et l’Ukraine, entamés en Turquie. Les cours de l’or noir étaient déjà en proie à une forte volatilité, suite aux nouveaux verrouillages en Chine pour freiner la propagation du coronavirus, ce qui a nui à la demande de carburant.
Le pétrole poursuivait mardi 15 mars sa chute, les deux références de l'or noir perdant plus de 5%, entraîné vers le bas par les espoirs suscités par les négociations russo-ukrainiennes et les inquiétudes d'un ralentissement de l'économie chinoise.
Les prix du pétrole se maintenaient à la hausse hier, dans un contexte de fébrilité, autour des valeurs énergétiques qui risquent de connaître de nouveaux pics inédits, dans le sillage de la crise ukrainienne.
La Russie a mis en garde contre des "conséquences catastrophiques" pour le marché mondial de la mise en place d'un embargo occidental sur le pétrole russe, discuté par Washington et l'Union européenne comme mesure de riposte au conflit militaire en Ukraine.
L a courbe des prix du pétrole continuait hier sa progression, lors de la séance de clôture de la semaine qui a connu la plus forte hausse en une décennie dans le sillage de la crise ukrainienne.
Déjà lourdement affectés par des récoltes réduites en raison des perturbations climatiques et par une forte demande en Chine et au Moyen-Orient, les prix du blé subissent de plein fouet les conséquences de la crise actuelle entre la Russie et l’Ukraine.
Cédé à un privé pour un montant de 17 milliards de centimes, le marché de voitures de la commune de Tidjellabine a connu une activité en dents de scie au gré des confinements et des fermetures pour cause de pandémie. Il a finalement été repris par l’APC après le gel de l’activité du concessionnaire depuis l’été dernier.
L’anarchie est de retour dans plusieurs communes de la capitale, en raison d’un relâchement manifeste de la part des pouvoirs publics. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, la pandémie de Coronavirus n’a pas empêché le retour du commerce informel.
Le wali d’Alger, Ahmed Maabed, a présidé, lundi au siège de la wilaya, une réunion pour l’examen d’un projet d’affectation d’espaces au niveau des structures relevant des collectivités locales pour la réalisation des marchés de la Rahma en prévision du mois sacré (Ramadhan).
«Le marché pétrolier continue d’être très réactif aux développements sur le front de la pandémie – nous ne sommes encore sortis d’affaires –, mais nous sommes proches des niveaux de demande mondiale d’avant la pandémie», déclare à Reuters, John Kilduff, analyste associé chez Again Capital Management.
Un automobiliste sexagénaire originaire de Médéa, venu vendre sa vieille voiture au souk hebdomadaire de Mesra, a eu la mauvaise surprise, vendredi dernier, de voir son véhicule totalement calciné. Cela dit, les citoyens sur place ont fait preuve d’un immense élan de solidarité en parvenant à lui récolter un montant de plus 170 millions de centimes, ce qui lui a permis de s’acheter tout de suite une nouvelle voiture !