Près d’un mois après les fortes inondations du 7 septembre qu’à connues la région, les caravanes de solidarité continuent d’arriver à Béchar. Ainsi, le groupe Sonatrach a lancé au cours de cette semaine une caravane de solidarité au profit des populations sinistrées de Béchar et de Nâama.
L’Université de Béchar Tahri Mohamed est-elle en train de se mettre en harmonie avec la réalité des futures offres d’emploi ?
La rentrée scolaire 2024-2025 à Béchar s’est ouverte dans des conditions particulières en raison des fortes crues qui ont secoué la région ces dernières semaines.
Une semaine de pluies sans discontinuer, au début du mois de septembre, a engendré d'importants dégâts matériels et plongé la région dans l'inquiétude avec un difficile retour à la normale, qui se fait quand même lentement et progressivement.
Le marché des fruits et légumes dit Bouhlal, situé au centre-ville de Béchar, réputé hélas pour son manque d’hygiène et d’insalubrité, a été dévasté par les fortes crues de la semaine dernière.
Phénomène insolite et rarissime, les fortes intempéries qui se sont abattues sur la région de Béchar ont infiltré, creusé en profondeur le sol et expulsé des ossements des tombes dans l’ancien cimetière de Lala Aïcha, à Kénadsa (18 km au sud-ouest de Béchar).
Avec les averses orageuses, enregistrées cette semaine, autant dire que l’optimisme semble gagner toute la population de Béchar qui s’est accoutumée, pendant des années, à cette situation de sécheresse.
Plusieurs riverains manifestent le souhait de voir les travaux d’embellissement en cours à Béchar englober le boulevard Colonel Lotfi. La rénovation doit comprendre, disent-ils, un revêtement de pavés, des réverbères, la plantation d’arbres adaptés aux conditions du Sud, des façades de devantures enjolivées, des enseignes lumineuses neuves et l’élimination des plateformes hideuses érigées en béton à l’entrée de plusieurs magasins.
A Béchar, l’hôpital souffre en ce moment d’un manque de spécialistes. Les patients qui sont dans l’incapacité d’être consultés en urgence sont souvent renvoyés chez les médecins ou cliniques privés.
L’entreprise Epic Saoura Net en charge du ramassage et de l’enlèvement des ordures ménagères est au cœur, depuis quelques mois, d’une polémique au sein de la population locale. La raison en est que plusieurs quartiers de la commune sont privés du passage, au quotidien, des camions de ramassage des ordures par l’entreprise.
Le train assurant la liaison Oran-Béchar via Sidi Bel Abbès a failli basculer dans une catastrophe qui a été heureusement évitée de justesse dans la soirée de samedi à dimanche dernier. Entre Sidi Bel Abbès et Mecheria, les wagons ont déraillé de la voie ferrée pour aller se coucher sur des amas de sable qui ensevelissent les rails. Une catastrophe évitée de justesse.
D’importants travaux de réaménagement des places publiques et en particulier la réfection et agrandissements des trottoirs dans la quasi-totalité des trente quartiers de la ville de Béchar ont été lancés depuis un mois.
Projet sectoriel inscrit il y a plus d’une décennie dans la nomenclature des projets importants pour la région, mais plusieurs fois reportés en raison de la crise financière ayant entraîné une contrainte budgétaire en 2015, la mise en en service prochaine de la station de traitement et épuration des eaux usées dans la wilaya de Béchar augure de bonnes perspectives dans la région si l’on ajoute le projet de transfert des eaux potables en provenance de la circonscription de Béni Ounif (180 km) et qui sera réceptionné au mois de décembre prochain, si l’on s’en tient aux affirmations du ministre de l’Hydraulique en visite dans la wilaya récemment.
Les délais de mise en œuvre de protection et valorisation des sites historiques de Taghit seront-ils respectés ? Il s’agit principalement des gravures rupestres de Taghit et ses environs (90 km au sud du chef-lieu de wilaya) qui seront classées, selon les autorités centrales, au registre du patrimoine culturel national en ce mois de juillet.
Le nombre des vacanciers du Sud-Ouest pour cette année 2024, en partance vers les villes côtières du nord, est drastiquement réduit. La cause ne se situe pas au niveau des perturbations du trafic ferroviaire entre Béchar-Sid Bel Abbès-Oran (qui n’a pas trouvé encore de solution définitive) mais surtout en raison des difficultés financières des pères de famille et aggravées cette année par le prix du mouton de l’Aïd El Adha, un prix qui a oscillé entre 10 et 12 millions de centimes, mettant à rude épreuve le pouvoir d’achat des citoyens.
A Béchar, la principale place de la ville, en l’occurrence la place de la République, est devenue un refuge et un lieu de vente de drogues au su et au vu de tout le monde.
La direction de l’Entreprise de distribution de l’électricité et du gaz de Béchar fait état, dans un communiqué parvenu à notre rédaction, des dégradations directes sur ses réseaux électriques et du gaz naturel. Elle a recensé 52 cas de dégradations de ses ouvrages depuis le début de l’année 2024 à ce jour.
Des entreprises de travaux titulaires de projets de réalisation socioéconomiques sont confrontées de plus en plus à la pénurie de la main-d’œuvre qualifiée locale au sud ouest. Une situation qui, selon les experts, risque de retarder l’avancement des travaux et par conséquent susceptible de compromettre les délais de réception de projets.
Le Croissant-Rouge algérien a célébré ces jours-ci en son siège à Béchar la Journée mondiale de la maladie cœliaque. Une rencontre-débat a été organisé entre un professeur de médecine invité et présidents d’associations, psychologues, infirmières et en présence des parents d’enfants affectés par cette pathologie.
Le dernier plan de circulation au profit de la ville de Béchar remonte à il y a près de 25 ans, c’est dire à quel point il est obsolète aujourd’hui et qu’il est nécessaire, de l’avis des automobilistes, de l’actualiser afin de répondre aux normes du nouveau visage de la cité, en proie à des extensions tous azimuts des zones urbaines.