Une délégation de l'organe directeur du programme d'Economie Sociale et Solidaire (ESS) des Nations unies a été reçue, hier, à Bouira, par les autorités de la wilaya.
Dans le cadre de la réhabilitation, d’extension et de développement du Barrage vert, les pouvoirs publics ont engagé un ambitieux programme de plantation de plusieurs milliers d’arbres, dans sa partie de Bouira, afin de lutter contre la désertification, mais aussi la sauvegarde de la biodiversité.
Dans le cadre de la stratégie de l’Etat visant la création de nouveaux périmètres agricoles, à la création de micro-investissements et à la création d’emplois, s’est tenue une réunion du Comité de wilaya chargé de la prospection, de l’identification, de l’étude et de l’approbation des périmètres susceptibles d’être mis en valeur.
Ces contrôles ont permis de constater 203 diverses infractions, allant du non-respect des règles d’hygiène, à la sécurité des produits. Suite à ces constatations, 201 procès-verbaux ont été établis.
L’arrêté ministériel, qui a pour objet de fixer les niveaux du label de qualité et d’authenticité des produits de l’artisanat traditionnel, a été enfin publié dans le Journal officiel du 19 mars.
La wilaya de Bouira ambitionne de se positionner comme un pôle majeur de la production pharmaceutique à l’échelle nationale.
La fièvre aphteuse, cette maladie qui touche les cheptels de bovins, ovins et caprins fait encore parler d’elle.
Depuis 2014, les pouvoirs publics avaient lancé une offensive contre la maladie de la fièvre aphteuse. D’énormes budgets ont été mobilisés afin de l’éradiquer. Cependant, plus de 10 ans après, la maladie persiste toujours et revient en force dans certaines zones du pays.
La Direction de distribution de Bouira (DDB) a mis en service plusieurs projets d’électrification depuis le début de l’année, notamment dans les villages enclavés. Récemment, ce sont 95 logements dans la localité de Sidi Sadek, relevant de la commune de Sour El Ghozlane, au sud de la wilaya de Bouira, qui viennent de bénéficier de cette énergie indispensable.
Les projets du secteur de la culture dans la wilaya de Bouira font face à des défis significatifs. Des retards ont été enregistrés tant dans leur lancement que dans leur exécution.
L’Algérienne des eaux (ADE) de la wilaya de Bouira a tracé un nouveau programme pour le renforcement de ses capacités en matière d’alimentation en eau potable.
Lors d’une visite effectuée jeudi dans la wilaya de Bouira, Mohamed Baddari, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, a souligné avec insistance le rôle important des start-ups et de l’entrepreneuriat étudiant dans la dynamique de développement social et économique du pays.
Les pannes récurrentes et prolongées du distributeur automatique de billets (DAB) du bureau de poste Bahloul Mohand Cherif de la commune de Chorfa, à l’est de Bouira, a provoqué une vague de frustration et d’indignation parmi les nombreux usagers de ce service essentiel.
La direction de distribution de Bouira (DDB) a mis un dispositif spécial afin d’assurer une bonne continuité de service en matière de fourniture en énergie électrique et gazière durant le mois sacré de Ramadhan.
Les investisseurs privés sont attirés par le potentiel économique de la production d’huile d’olive, un marché en constante croissance, tant au niveau national qu’international. Ils injectent des capitaux dans la création de nouvelles plantations, dans la modernisation des infrastructures de transformation et dans le développement de produits dérivés, dont les cosmétiques, et produits du terroir. Cette dynamique d’investissement contribue à la fois à booster l’économie et à créer des emplois dans les régions oléicoles et même de créer de nouveaux bassins oléicoles.
Dans l’entretien accordé à El Watan, Moussa Boukrif, Professeur des universités, directeur du laboratoire de recherche en management et techniques quantitatives, à l’université de Béjaïa, évoque les freins qui empêchent l’émergence d’une industrie oléicole. «Malgré cette richesse, le secteur reste marqué par des méthodes archaïques. Ainsi, 85% des exploitations sont familiales et artisanales, avec des rendements moyens de 2,5 tonnes d’huile par hectare, bien en-deçà des standards tunisiens ou espagnols», note-t-il. Et de suggérer : «Il est également crucial de désenclaver les zones à fort potentiel oléicole, comme la Kabylie et les Hauts-Plateaux, en développant les infrastructures et en mettant en place des systèmes d’irrigation durables.»
Durant chaque mois sacré du Ramadhan, un élan de solidarité et de partage inonde la société, se manifestant à travers une multitude d’actions visant à soutenir les plus vulnérables et à renforcer les liens communautaires.
Le secteur de l’hydraulique dans la wilaya de Bouira a été doté d’une enveloppe budgétaire conséquente de 18,8 milliards de dinars pour l’année 2024, allouée à la réalisation de 63 opérations distinctes.
Le CEM Salhi Mohand Ouamar, dans la commune de Chorfa, à l’est de la wilaya de Bouira, menace ruine à tout moment.
La source d’eau naturelle d’Ighzer Iwaquren, relevant de la commune de Saharidj, au nord-est de la wilaya de Bouira, a été déclarée impropre à la consommation, il y a de cela 8 mois. Des analyses ont été effectuées par l’Algérienne des eaux et l’Etablissement public de santé de proximité (EPSP) d’Ahnif avaient démontré la présence de polluants dans les eaux de cette source très prisée.