La Sous-secrétaire d’Etat américaine pour la Sécurité civile, la Démocratie et les Droits de l’homme, Uzra Zeya, a achevé, hier, sa visite en Algérie entamée dimanche dernier.
Le texte, présenté par Nancy Mace, vise la démocrate Sarah McBride, devenue début novembre la première femme transgenre élue au Congrès américain.
L’autorisation donnée à Kiev par Joe Biden, pour utiliser des missiles américains à longue portée sur le territoire russe, est de nature à «jeter de l’huile sur le feu» dans le conflit en Ukraine.
Les Philippines et les États-Unis ont signé un accord militaire lundi à Manille pour renforcer leur coopération face à l’influence croissante de la Chine dans la région du Pacifique.
Brendan Carr, que Donald Trump a qualifié de «guerrier de la liberté d’expression», reprendra «le contrôle des Big tech» avec le soutien d’Elon Musk.
La Cour suprême du Texas a donné son accord pour l’exécution de Robert Roberson, un homme de 57 ans atteint d’autisme, condamné en 2002 pour la mort de sa fille Nikki.
Le département d’Etat américain a nié toute preuve sur le fait qu’Israël commet un génocide à Ghaza, en réponse au rapport d’un groupe spécial de l’Onu, qui a affirmé le contraire. Pour les experts onusiens, l’armée sioniste a largué plus de 25 000 tonnes d’explosifs sur l’enclave, soit l’équivalent de deux bombes nucléaires. Pour eux, «les destructions massives qui en ont résulté sont conformes aux caractéristiques d’un génocide» et «auront un impact sur la santé des Ghazaouis pendant des générations». Les etats-unis ont déclaré «ne pas avoir constaté de déplacements spécifiques» de civils, qualifiés par HRW de «crime contre l’humanité», et justifié le comportement de l’armée israélienne.
Le département de l’Agriculture des Etats-Unis et le ministère algérien de l’Agriculture ont signé un accord «historique» autorisant l’importation par l’Algérie de vaches laitières américaines, a annoncé l’ambassade américaine en Algérie dans un communiqué.
«Nous devons nous occuper de nos forces armées. On l’a déjà fait, on va devoir le refaire», a martelé jeudi le président élu, lors d’un gala dans son fief de Mar-a-Lago, à Palm Beach, en Floride.
Si la rencontre était confirmée, elle pourrait être le signe que le président élu a décidé d’opter pour une approche diplomatique avec Téhéran.
Mercredi, le président sortant démocrate doit recevoir son prédécesseur et successeur républicain dans le Bureau ovale, que ce dernier occupera pour de bon après sa prestation de serment le 20 janvier.
Le patron de Tesla, SpaceX et du réseau social X a investi plus de 100 millions de dollars dans la campagne du républicain pour sa réélection à la présidence des États-Unis.
Donald Trump a prévu de nommer des proches à des postes-clés de sa future administration, avec notamment des tenants d’une ligne dure face à la Chine, à l’image de l’influent sénateur de Floride, Marco Rubio, pressenti comme prochain chef de la diplomatie américaine.
L’information a été donnée par le New York Times et elle a vite été relayée par de nombreux journaux et sites d’information marocain. Le sénateur de Floride qui avait demandé, en septembre 2022, à l’administration Biden d’imposer des sanctions contre l’Algérie, Marco Rubio, pourrait être le futur chef de la diplomatie américaine.
Alors qu’elle n’a toujours pas statué sur les demandes de mandats d’arrêt émises, le 20 mai dernier, contre des dirigeants israéliens, la Cour pénale internationale (CPI) a décidé de lancer une nouvelle enquête externe sur une présumée «inconduite sexuelle» de son procureur en chef Karim Khan. La décision intervient après la lettre de six sénateurs américains adressée à la Cour, dans laquelle ils évoquent «un éventuel lien» entre les accusations contre Karim Khan et l’émission de mandats d’arrêt contre des dirigeants israéliens et demandent une nouvelle enquête, après six mois de son classement par le mécanisme de contrôle interne de la juridiction.
Le futur président américain envisagerait de nommer le sénateur républicain de Floride, Marco Rubio, au poste clé de secrétaire d’État, selon le New York Times.
Le Kremlin, qui a démenti hier que le président russe, Vladimir Poutine, et le président américain élu, Donald Trump, se soient parlé, estime n'avoir reçu «aucun signal» de l'Occident pour des discussions sur le conflit avec l'Ukraine, rapporte l’AFP.
Après l’Union européenne, qui s’inquiète du retour de Trump à la Maison-Blanche, en raison de ses menaces visant à instaurer des taxes douanières, la Chine, à son tour, tente de se prémunir contre d’éventuelles surprises quant à l’accès à son marché d’exportation américain.
Le président-élu a annoncé avoir proposé à la représentante républicaine Elise Stefanik de devenir ambassadrice des États-Unis auprès de l’ONU. Tandis que l’ancien directeur de l’agence de contrôle des frontières retrouve son poste.
Les États-Unis et le Royaume-Uni procèdent régulièrement à des frappes contre des installations houthies, mais sans être parvenus à ce stade à anéantir la capacité opérationnelle du mouvement.