L’Agence nationale d’appui et de développement de l’entrepreneuriat (Nesda) compte faire bénéficier les diplômés des centres de formation et d’enseignement professionnels de son dispositif d’accompagnement des porteurs de projets dans la création et le développement de leurs micro-entreprises, a annoncé, hier, le directeur du développement des programmes de l’ex-Ansej, Farid Madouch, cité par l’APS.
Cette manifestation scientifique, qui a réuni le conseil économique, social et environnemental, relevant de la présidence de la République, des chercheurs universitaires et des associations civiles, dont certaines sont devenues des institutions à caractère économique et social, s’inscrit dans le cadre de la mobilisation des associations civiles et de leur sensibilisation à leur rôle fondamental dans le projet de développement national.
En plus des incubateurs, des start-up et des centres de développement de l'entrepreneuriat, des centres d’innovation seront créés au niveau de chaque wilaya afin d’accompagner les porteurs de projets. C’est ce qu’a indiqué le ministre de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, hier, à Boumerdès.
Les femmes s’intéressent de plus en plus à l’entrepreneuriat dans le secteur de la pêche et de l’aquaculture. Les idées innovantes ne manquent pas dans ce cadre.
Lors d’une visite effectuée jeudi dans la wilaya de Bouira, Mohamed Baddari, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, a souligné avec insistance le rôle important des start-ups et de l’entrepreneuriat étudiant dans la dynamique de développement social et économique du pays.
Les accélérateurs de start-up constituent une étape logique après l’incubation puis la maturation des projets innovants, pour aider ces entreprises à se développer rapidement. L’accent est mis sur des résultats rapides, notamment qui concernent l’introduction de l’offre innovante sur le marché, la levée de fonds financiers et le renforcement de la crédibilité et la consolidation d’une position efficace sur le marché.
Nul ne peut nier le rôle capital et crucial des femmes dans les régions rurales en Algérie.
L’adaptation des structures sociales des villages, tout en leur conférant un statut qui concorde avec leurs spécificités, est nécessaire pour aller vers une économie sociale et solidaire génératrice de revenus, a suggéré le docteur Mohammed Achir, enseignant-chercheur à l’université Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou (UMMTO).
La 4e édition de la Foire algérienne de l’entrepreneuriat, formation et économie numérique (ACF) a ouvert ses portes jeudi à Annaba, réunissant près de 90 exposants issus d’un large éventail de secteurs, des startups innovantes aux microentreprises, en passant par les incubateurs et organismes de financement.
Les meilleurs projets et concepts cinématographiques des jeunes de différentes wilayas d’Algérie dans le domaine de la créativité et de l’investissement ont été présentés, lundi à Alger, en présence du ministre de la Culture et des Arts, Zouhir Ballalou, à l’issue des activités du «Salon national de l’investissement violet pour l’industrie et l’entrepreneuriat cinématographiques».
La Conférence nationale de formation sur l’entrepreneuriat vert et l’économie circulaire a débuté, jeudi à Alger, sous l’égide du Conservatoire national des formations à l’environnement.
L’Université d’Oran 2 Ahmed Benahmed a organisé, avant-hier, une rencontre dédiée à la valorisation de l’innovation, de l’entrepreneuriat et du développement des compétences des étudiants, dans le but de favoriser la création de startups et de micro-entreprises.
Une convention a été signée lundi par la filiale du CNRDPA de Bou Ismaïl et l’EFTPA de Cherchell, à l’issue de la journée d’étude sur l’entrepreneuriat dans le secteur de la pêche et de l’aquaculture.
Dans le cadre de la semaine mondiale de l’entrepreneuriat (18-24 novembre), l’Université Kasdi Merbah d’Ouargla (UKMO) a mis en lumière les réalisations de ses diplômés et étudiants, à travers une exposition de micro-entreprises et startups montées grâce à l’arrêté ministériel 1275 Diplôme-Start-up/projet.
L’organisation de la Semaine mondiale de l’entrepreneuriat aura été une nouvelle opportunité pour les responsables du centre universitaire de Tipasa pour mettre au diapason de l’univers du travail leurs étudiants. Le centre universitaire accueille 18 000 étudiants.
L’université Akli Mohand Oulhadj de Bouira a abrité, hier, la semaine mondiale de l’entrepreneuriat, visant à promouvoir l’esprit d’entreprise et d’innovation.
Ces rencontres viennent en complémentarité à l’ensemble des moyens déployés par l’Etat en direction des jeunes leur permettant de s’impliquer dans la réalisation des objectifs du pays en termes de développement économique. C’est aussi une manière de mettre en place un pont entre l’université et le monde des affaires, selon le président du CREA, Kamel Moula.
A l’instar des autres pays du monde entier, l’Algérie célèbre la Semaine de l’entrepreneuriat au mois de novembre de chaque année. Alors que nous traversons les complexités d’une économie post-inflationniste de par le monde, il n’a jamais été aussi important de soutenir les jeunes entrepreneurs à créer leur propre emploi à travers la création de micro-entreprises et start-up.
Depuis son lancement en mois de janvier dernier, la plateforme de l’Agence Nationale de l’Auto-Entrepreneur, « anae.dz », connaît un engouement significatif important. Près de 42 000 utilisateurs s’y sont inscrits et plus de 10 000 cartes d’auto-entrepreneurs ont été distribuées.
En Algérie, elles sont plus de 1000 entreprises à avoir obtenu le label de start-up sur un total de 4000 sociétés enregistrées pour création et le nombre d’incubateurs est passé de 10 en 2020 à 60 en 2022. C’est ce qu’a révélé ce lundi devant les membres de la commission des affaires économiques, du développement, du commerce et de la planification de l’Assemblée populaire nationale (APN) Yacine El Mahdi Oualid, ministre de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-Entreprises.