Les sacs et bijoux écologiques sont tendance à Ouargla où des artisanes formées par Mme Rekia Benkrima lors d’un atelier dédié à la transformation des feuilles de palmers dattier ont lancé de petits business en ligne proposant des accessoires de mode aussi légers que chatoyants.
Tenu du 7 au 9 février 2022 à l’université de Ouargla, le premier Séminaire international sur la synthèse des matériaux et la surveillance environnementale (ISMSEM 2022) s’est voulu un espace d’échanges scientifiques que les dernières avancées technologiques et applications des nanostructures et nanomatériaux synthétisés et de partage d’expériences des résultats de recherche, des tendances et préoccupations les plus récentes ainsi que les solutions adoptées dans les domaines de la synthèse, de la caractérisation et du traitement des matériaux. Il a également offert une opportunité aux entrepreneurs et investisseurs pour découvrir et discuter autour de thèmes de recherche liés à leurs activités industrielles. Parmi les jeunes chercheurs en génie des procédés chargés de la coordination des travaux, le Dr Fethi Achi. Entretien.
Le premier séminaire international sur la synthèse des matériaux et au monitoring environnemental, organisé par le département de génie des procédés, faculté des sciences appliquées de l’université Kasdi Merbah, à Ouargla, qui a pris fin hier, a mis en évidence une tendance accrue de la recherche à favoriser les solutions locales respectueuses de l’environnement. Nous avons sélectionné pour vous quatre coups de cœur.
Cela peut sembler surprenant pour une thèse de doctorat, une première de surcroît au sein de la faculté des hydrocarbures, des énergies renouvelables, des sciences de la terre et de l’univers de l’université Kasdi Merbah de Ouargla, soutenue il y a à peine un mois par le docteur Mustapha Dida, cadre dans une entreprise du secteur des hydrocarbures. Il propose de revenir à un système ancestral de refroidissement de l’eau et de conservation des fruits et légumes dans les zones sahariennes basé tout simplement sur la toile de jute. Détails.
L’actualisation du Plan directeur d’aménagement des ressources en eau du bassin Sahara (PDARE) a permis d’établir des scénarios de gestion à l’horizon 2030 et 2040.
Des robinets secs dans une zone désertique qui cultivait un écosystème oasien ou chacun trouvait son compte avec une économie d’eau érigée en règle du groupe, la sonnette d’alarme a été lancée par le mouvement associatif local depuis quelques années, avec une prise de conscience remarquable des enjeux de la rareté de l’eau et de l’indispensable mise en place d’un système d’économie.