L’édition du FNTP 2023 est dédiée au comédien Sid Ahmed Agoumi. «Agoumi n’est plus à présenter. Nous sommes ravis que le parcours de ce grand artiste algérien soit évoqué lors du festival», a déclaré Mohamed Yahiaoui, commissaire du festival, lors d’une conférence de presse, organisée hier, à l’espace M’hamed Benguettaf, au TNA.
Nulle Terre Ailleurs » ou « Al ardh fi maken akhar », c’est le titre du dernier roman de la journaliste écrivaine Nadia Agsous et auquel la librairie « Gouraya » a organisé sa vente dédicace à Béjaïa.
« Goût de terroir » est à vrai dire inclassable comme texte. Il n’est ni une œuvre romanesque, ni un essai, mais relève plutôt du récit-témoignage teinté de nostalgie sur un temps qui fut, dans les alentours du milieu du 20ème siècle, celui des jeunes années de l’auteur, mais sans être autobiographique. Boualem Belhadri, son auteur, un ingénieur hydraulicien ayant également exercé en tant que collaborateur de plusieurs journaux, s’est mis à l’écriture longue, à l’heure de la retraite. Il en est à son troisième titre.
L'écrivain Yasmina Khadra, de son vrai nom Mohammed Moulessehoul, a annoncé, hier, avoir subi une opération chirurgicale qu'il a décrite comme "sévère et traumatisante".
Poète et traductrice reconnue, Lamis Saïdi évoque dans cet entretien sa traduction du roman d’Arris de Yamina Mechakra (1949-2013) (El Kalima). «La traduction reste toujours pour chaque culture, cette ressource sûre en souffles de vie», note-t-elle. Projet en vue : Le déchet de passions : une traduction vers l'arabe d'une collection de poèmes, de nouvelles et d'articles du poète assassiné Youcef Sebti (1943-1993) qui paraîtra en 2024 en version bilingue aux éditions Terrasses.
Il avait subjugué le public algérien par sa voix et ses chansons, marquées par son cachet particulier, bien que sa carrière artistique ait été très courte.
Le décor, c’est généralement ce qu’il y a en plus, accessoire et secondaire, relégué au fond. Il est pourtant, comme les accessoires, partie intégrante d’un film, qui peut être raté à cause du décor. D’où la question des studios de tournage en Algérie, du décor artificiel ou naturel, et des films qui se tournent à l’étranger, faute de décors.
Peintre exposé partout dans le monde, écrivain et cinéaste, plasticien, dessinateur et poète, il aura tout fait, jusqu’à chef décorateur parmi les plus recherchés par les cinéastes algériens, après avoir été scénographe au théâtre. Machaho de Belkacem Hadjadj, La montagne de Baya de Azzedine Meddour, Morituri de Okacha Touita ou Exectution de Youcef Mahsas, c’est lui, en plus de deux courts métrages de fiction qu’il a réalisés en adaptant ses propres textes, Winna en 2019 et Le chant de la sirène en 2022, largement basés sur le décor.
Le MTK (Mouvement théâtral de Koléa) vient de se distinguer une énième fois lors de la 13e édition du festival de présélection pour le théâtre professionnel du TNA, un événement culturel qui aura lieu du 22 au 30 décembre.
Le «Yes Papa Tour» est la tournée exceptionnelle d’Akli D. qui franchira les frontières pour s’installer aux Etats-Unis d’Amérique (USA) quatre jours durant.
Deux décennies après que ses projecteurs aient brillé pour la première fois sur les écrans de cinéma au cœur du désert du Sahara, FiSahara fait son retour dans la capitale depuis le 15 jusqu'à aujourd'hui 17 décembre pour marquer la troisième édition de FiSahara Madrid.
Le directeur de la culture et des arts de la wilaya de Guelma a fait part, jeudi, de la découverte, au cours de l’année 2023, en différents points du territoire de cette collectivité, de neuf sites archéologiques datant de l’époque romaine.
Un débat sur le bilan des douze années du Festival local du théâtre professionnel de Sidi Bel Abbès a été organisé à la faveur de la 13e édition de ce festival qui s’est déroulé du 7 au 10 décembre 2023.
Le Maroc a obtenu à sa demande l’inscription du melhoun, «élément de référence incontournable de l’identité culturelle marocaine ancienne», comme patrimoine immatériel de l’humanité auprès de l’Unesco, selon des sites d’information marocains.
De ses mains, il sait tout faire. Passionné par les arts, créatif et cultivé, il a vite suscité l’admiration et l’intérêt des professionnels de la musique andalouse, en particulier. Humble, mais très jovial, Benamar, au pied des majestueux monts des Traras qui surplombent la belle Nedroma, est l’un des jeunes artistes qui continue de sauvegarder, protéger et promouvoir le patrimoine classique nationale.
Ils étaient là, samedi et dimanche, au palais El Mechouar, les lauréats algériens de prix littéraires. Une rencontre que l’Agence algérienne pour le rayonnement culturel a programmée pour réunir des auteurs primés afin d’encourager «la créativité culturelle et intellectuelle et promouvoir la relation interactive entre l’écrivain et le public».
Le court métrage Koullouna Nantami (Nous avons tous une appartenance) de l’étudiant Mohamed-Larbi Bourourou, de l’université de Skikda, a remporté le prix du meilleur film aux 2es Journées nationales du cinéma étudiant, ouvertes dimanche à l’université du 20 Août 1955 de Skikda.
Le jury, présidé par l’enseignant universitaire, Azouz Benamar, a décidé d’accorder le ticket de qualification au 16e Festival national du théâtre professionnel d’Alger (FNTP), qui se déroulera du 22 au 31 décembre, à une pièce mise en scène par le jeune Adel Touil, assisté de Imed Hamou, d’après un texte d’Ould Abderrahmane Kaki, Ifrikya qabla I (Ifrikya avant 1).
En compétition au 13e Festival culturel local du théâtre professionnel de Sidi Bel Abbès, Plasma est la première pièce mise en scène par le jeune comédien Saïd Zakaria de l’association Mohamed Ben Mohamed de Mostaganem.
Mohamed Amine Mouffok est comédien. Il a participé au 13e Festival culturel local du théâtre professionnel de Sidi Bel Abbès qui s’est déroulé jusqu’au 10 décembre, avec la pièce Dar Rabi (La maison de Dieu), d’après un texte d’Ould Abderrahmane Kaki. C’est sa première mise en scène au théâtre. Dar Rabi narre l’histoire de détenus ayant fui la prison qui se retrouvent dans un endroit en plein désert et qui doivent décider de rester ou de fuir des gardes qui étaient à leurs trousses. En plus du théâtre, Mohamed Amine Mouffok est présent dans le cinéma. Il a été distribué dans plusieurs films dont Paysage d’automne de Merzak Allouache, La vie d’après d’Anis Djaâd et Les harkis de Philippe Faucon.