Le 28 novembre 2000 nous a quittés cette grande chanteuse à la voix éclatante, au répertoire remarquable et au parcours impressionnant, laissant son empreinte dans l’histoire de l’art musical algérien.
Le prestigieux prix littéraire britannique Booker Prize a été décerné à l’auteur irlandais Paul Lynch pour son roman dystopique Prophet Song lors d’une cérémonie, dimanche soir, à Londres.
Placée sous le thème «Moufdi Zakaria, un poète qui a glorifié la révolution algérienne», cette rencontre tenue samedi soir a permis à une pléiade d’hommes de lettres, auteurs et aèdes, de passer en revue les contributions du défunt Belkacem Benabdallah, un des auteurs ayant traité la vie et les œuvres militantes de Moufdi Zakaria durant la guerre de Libération nationale.
Le romancier irlandais Paul Lynch a été honoré du prestigieux Booker Prize britannique pour son cinquième ouvrage, le roman dystopique intitulé "Prophet Song". La cérémonie de remise des prix a eu lieu dimanche soir à Londres, où Lynch a été salué pour son récit sombre décrivant la vie d'une mère de famille dans une Irlande en proie à la tyrannie.
Dans le but de faire connaître les richesses patrimoniales et culturelles algériennes et créer une atmosphère d’échange scientifique et culturel entre experts et professionnels dans ce domaine, le palais Ahmed Bey a abrité, samedi et dimanche, la sixième édition de la rencontre des musées nationaux.
Un ouvrage consacré à l’œuvre et au parcours du grand sociologue Ali El Kenzi (1946-2020) a été publié aux éditions Casbah.
«On peut alors affirmer qu’examiner l’œuvre de Merzak Allouache, dans son ensemble et en continuité, permet de mieux comprendre l’Algérie (…)», tranche Nabil Boudraa, auteur d’un essai sur la production du réalisateur algérois.
Ce sont les stars, sans qui les films passent souvent inaperçus même si le réalisateur a du talent, et en général, ce sont ces acteurs qui ont le meilleur cachet du film. Les comédiens mèneraient une vie de rêve alors que c’est d’être aussi facile qu’on le croit, heureusement le froid de l’hiver est arrivé et c’est la meilleure saison pour eux, en décembre, là où toutes les productions TV pour le ramadan débutent leurs tournages, ce qui multiplie l’offre.
Patron de la première agence de casting créée en 2008 avec son épouse pour les professionnels du cinéma, l’une des rares dans le pays, il est aussi dans le cinéma, assistant réalisateur et directeur de casting.
Voulant à tout prix se créer une légitimité historique, l’occupant sioniste dépasse désormais toutes les limites dans sa guerre d’extermination dans le but d’effacer l’identité et l’histoire palestiniennes. Tout ce qui a le moindre lien avec le peuple palestinien est ciblé par les bombardements qui n’ont pas épargné les monuments historiques et les sites archéologiques.
Le superbe documentaire L’olivier sauvage qui porte sur le fameux cabaret sauvage et Méziane Azaiche, son hors norme fondateur et directeur, vient de décrocher la mention spéciale du Grand Prix Kilimandjaro Documentaire de la 10e édition du festival Africlap de Toulouse.
Au 26e Salon international du livre d’Alger (SILA), qui s’est déroulé du 25 octobre au 4 novembre, nous avons rencontré certains d’entre eux. Ils estiment que le SILA est un grand moment de rencontres avec les auteurs et les lecteurs-acheteurs. «Mais, il faut penser au reste de l’année», disent-ils. Azzedine Guerfi, directeur des éditions Chihab, regrette la baisse du nombre de librairies au niveau national. «Il y a de moins en moins d’espaces pour vendre des livres.
Samia Zenadi est codirectrice des éditions APIC à Alger. Elle revient sur les difficultés de publier des livres en Algérie.
En lisant les récits bien menés de Rachid Hammoudi, journaliste et scénariste, des auteurs de la littérature algérienne pointent leur nez. L’influence de deux auteurs, désormais classiques (Tahar Djaout, Rachid Mimouni) est évidente.
L’exposition collective «Confidences», regroupant les œuvres des artistes plasticiennes Barbara Wlodno Madej Amokrane, Chafika Benkhodja Moulaï et Taous Ben Amara, a été inaugurée, samedi à Alger, dans un élan créatif uni autour de la thématique de la «Femme».
De Cruella d’Enfer à Scar, Disney a enfanté de nombreux méchants parmi les plus mémorables du cinéma. Mais dans les récents dessins animés du studio, les personnages maléfiques brillaient par leur absence. Au grand dam de certains fans, les héroïnes de La Reine des neiges 2 ou Raya et le dernier dragon combattaient ainsi des forces du mal abstraites, telles que la défiance envers les autres ou la xénophobie, plutôt que des divas obsédées par la fourrure ou des oncles régicides.
Cinq siècles de peinture européenne sous une lumière nouvelle : le Metropolitan Museum of Art de New York rouvre lundi son aile consacrée aux maîtres du XIVe au XIXe siècle après cinq ans de rénovation, pour 150 millions de dollars, de salles et d’un éclairage hors d’âge.
La pièce de théâtre El Sarkha el samita (Le cri silencieux), une production de l’association culturelle Ouled Leblad de la wilaya de Bouira, a reçu une invitation pour participer à la 7e édition du Festival international du théâtre de rue de Kirkouk en Irak, a-t-on appris dimanche auprès des responsables de l’association.
Hunger Games : la ballade du serpent et de l’oiseau chanteur, préquel de la saga du même nom, s’est installé en tête du box-office nord-américain pour son premier week-end d’exploitation, avec 44 millions de dollars récoltés entre vendredi et dimanche, selon les estimations du cabinet spécialisé Exhibitor Relations.
Le procès de la star mondiale Shakira pour fraude fiscale de près de 14,5 millions d'euros s'est ouvert lundi à Barcelone, avec le parquet réclamant une peine de plus de huit ans de prison.