Les éditions Barzakh ont organisé, samedi dernier, au sein de la librairie l’Arbre à Dires, à Sidi Yahia, à Alger, une rencontre littéraire suivie d’une vente-dédicace de deux de leurs auteurs, à savoir Mustapha Benfodil pour son roman Terminus Babel et de Salah Badis pour son recueil de nouvelles Des choses qui arrivent, publiés dans le cadre du 26e Salon international du livre d’Alger.
Le festival du cinéma de Sundance, qui se tiendra en janvier dans les Rocheuses américaines, mettra l'intelligence artificielle (IA) au cœur de l'attention. Aux côtés de célébrités hollywoodiennes telles que Kristen Stewart et Jesse Eisenberg, le programme dévoilé récemment comprend un film musical "génératif" offrant une version différente à chaque diffusion, ainsi que des documentaires explorant l'utilisation de l'IA pour communiquer avec des proches après la mort.
Douar El oumyane (Le village des aveugles) de Mohamed Mustapha Yahiaoui est en compétition au 13e Festival culturel local du théâtre professionnel de Sidi Bel Abbès qui se déroule jusqu’au 10 décembre.
Les représentants des pays arabes, réunis à Bahreïn les 5 et 6 décembre, avaient débattu, lors du séminaire international, sur les actions entreprises en matière de la mise en œuvre du plan d’action (2021-2027) du 3e cycle dans leurs pays respectifs, inhérente à l’amélioration de la protection des sites classés sur la liste du patrimoine mondial culturel par l’Unesco, leurs conservations, leurs gestions, le plan de préparation aux situations d’urgence et aux risques des catastrophes, l’amélioration de l’intégration des politiques de développement durable, notamment dans la gestion de ces sites classés par l’Unesco.
Palace Jugurtha, luxueux établissement hôtelier à l’ouest de Gafsa, au bord de la route qui mène à la frontière algérienne à une trentaine de kilomètres à vol d’oiseau.
Productrice et professeur de littérature anglaise, elle est la Madame Cinéma de Tunisie, à la tête de Nomadis Images, l’une des plus grosses entreprises de cinéma tunisien.
Le coup d’envoi du 13e Festival culturel local du théâtre de Sidi Bel Abbès a été donné, dans la soirée du 7 décembre, au Théâtre régional de la capitale de la Mekerra.
-Qu’est-ce qui marque la 13e édition du Festival culturel local du théâtre professionnel de Sidi Bel Abbès cette année ? Cette édition a été précédée par des présélections des pièces participantes au niveau de Miliana. Par le passé, la présélection se faisait à travers le visionnage des pièces sur support vidéo devant un comité restreint qui fait le tri. J’ai pensé à créer un deuxième espace au festival de Sidi Bel Abbès avec une présélection dans une autre ville. Miliana est un des principaux viviers du théâtre amateur en Algérie. J’ai assisté par le passé à plusieurs manifestations théâtrales où les troupes venant de Miliana étaient primées. Il n’y a qu’à citer des noms connus natifs de cette ville comme Sid Ahmed Kara, Mohammed Charchal, Rédha Takhrist... L’association Mahfoud Touahri est très active. Des comédiens célèbres comme Sirat Boumediène et Rouiched venaient souvent à Miliana. Ce mouvement s’est malheureusement arrêté. J’ai décidé donc, en coordination avec la maison de la culture et le secteur de la culture de Aïn Defla, de fédérer nos moyens et organiser un événement à Miliana, une présélection sous la forme d’un festival en présence de ceux qui étaient présents dans les manifestations théâtrales depuis les années 1990 dans cette ville.
Dans son ouvrage La Convergence des consciences, l’auteur Pierre Rabehi aborde avec un sens philosophique les dérives de l’homme, son lucre sans limite et son avidité toujours inassouvie des ressources qu’il puise de la terre sans se sourciller le moindre du monde de sa préservation. Altermondialiste, l’enfant de Kenadsa, qui prône, lors de ses rencontres, un nouveau mode de société, appelle à une insurrection des consciences.
La 13e édition du Festival culturel local du théâtre professionnel de Sidi Bel Abbès aura lieu du 7 au 10 décembre.
Le Bahrein abrite durant trois jours le séminaire international organisé par le Centre régional arabe pour le patrimoine mondial, en collaboration avec l’Unesco (Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture) et les organismes consultatifs, en l’occurrence l’Iccrom (Centre international d’études pour la conservation et la restauration des biens culturels) et l’Icomos (Conseil international des monuments et des sites) sur le thème «Patrimoine mondial dans les Etats arabes».
Le gang du bois du temple est le dernier long métrage du réalisateur franco-algérien, Rabah Ameur-Zaïmeche, projeté en avant-première algérienne aux 18es Rencontres cinématographiques de Béjaïa (RCB), qui se sont déroulées du 23 au 28 septembre dernier.
l L’actrice Concha Velasco est décédée, samedi à l’âge de 84 ans, à l’hôpital Puerta de Hierro de Majadahonda (Madrid). Elle était l’une des actrices les plus chères, respectées et admirées, laissant derrière elle un riche héritage artistique comprenant plus de quatre-vingts films, trente-cinq pièces de théâtre et plus de cinquante séries et programmes télévisés.
Les photos du patrimoine exposées lors de la première édition du Salon national de la photographie, qui a pris fin lundi à Oran, ont constitué une mosaïque alliant l’authenticité et l’originalité du patrimoine de l’Algérie et les techniques de la photographie moderne.
Considéré en effet comme l’un des sites archéologiques les plus importants du littoral algérien, Tipasa a été inscrite en 1982, soit il y a plus d’une quarantaine années de cela, au patrimoine mondial de l’humanité grâce à son mausolée royal de Mauritanie (plus connu sous le nom de «Tombeau de la chrétienne»), cet monument funéraire imposant datant de plus de 2000 ans et situé dans la commune de Sidi Rached.
L’auteur Hamza Kouidri a présenté et dédicacé, samedi après-midi, son premier roman en langue anglaise «Sand Roses», au niveau e la librairie l’Arbre à dires de Sidi Yahia à Alger.
Entre deux expositions d’arts plastiques, la galerie d’art de Maghnia a accueilli, samedi, deux écrivains, Djamil Hadj Mohamed et Amar Habib de Mostaganem.
D’abord le théâtre, le père ou l’oncle maternel du cinéma, dans lequel on ne peut ne pas citer Babor ghraq, pièce incontournable de Slimane Benaïssa de 1983, préfigurant Octobre 1988 et qui a aussi eu du succès au fait que la parole se soit libérée, d’autant qu’elle a été transcrite en langue algérienne.
Originaire de Sidi Bel Abbès, Mohamed Latrèche poursuit ses études en France (sciences politiques) tout en se consacrant au cinéma. Il réalise des documentaires, A la recherche de l’Emir Abd El-Kader en 2004, l’UGEMA en 2014, Boudjema et la maison cinéma en 2019 autour de l’icône de la cinémathéque Boudjema Kareche, et deux courts métrages de fiction, Rumeurs, etc et L’aide au retour. Il devient producteur, distributeur et réalise Zinet, Alger, le bonheur en 2023, consacré au film culte Tahia ya Didou de Mohamed Zinet (1970), œuvre décrite par Mohamed Latreche comme un «film-monde», avec une trame simple où Alger est le vrai sujet, à la libeté de ton qui ne cadrait pas avec la pensée unique de l’époque.
Staten Island de l’auteur Mahmoud est une fiction romanesque qui se lit d’un trait avec en prime une intrigue et des rebondissements à volonté.