Les pays africains ont l’intention de mettre en place une agence spatiale conjointe avec un siège au Caire pour coordonner les programmes spatiaux, a annoncé le directeur de l’agence spatiale sud-africaine SANSA. De plus, l’Afrique du Sud a invité les pays des BRICS à la coopération spatiale.
Le président russe Vladimir Poutine a donné samedi aux dirigeants africains désireux de jouer les médiateurs pour le conflit en Ukraine une liste de raisons pour lesquelles leurs propositions étaient selon lui malavisées, jetant une ombre sur une démarche déjà accueillie avec scepticisme par Kyiv.
Avec une population qui devrait presque doubler pour atteindre 2,5 milliards de personnes d’ici 2050, le continent a une chance d’améliorer considérablement sa productivité et d’inverser la décélération économique qu’il a subie de 2010 à 2019.
Face aux multiples crises qui secouent le monde, l’Afrique est-elle en mesure d’élaborer sa propre riposte à travers ses grands acteurs économiques, et de relever le défi de transformer rapidement et durablement ces crises en opportunités ?
L’agence de notation Standard &Poor’s a mis en lumière le frappant écart entre les hommes et les femmes en matière d’accès aux sources de financement et l’idée collective que l’on se fait, à ce jour, de la femme chef d’entreprise.
L’enjeu majeur pour l’Afrique est de parvenir à atténuer les risques de corruption à travers la chaîne de valeur de l’industrie extractive, donc en rapport avec la lutte contre la grande délinquance économique, de toutes natures, qui caractérise le secteur.
Courtisée par les puissants du monde, l’Afrique reste pourtant maintenue dans un rôle platonique au sein du système de gouvernance mondial. Avec ses 54 Etats membres et ses 1,5 milliard d’habitants bientôt, l’Afrique représente 25% des membres de l’ONU. Mais seuls trois sièges non permanents lui sont attribués pour des périodes de deux ans sur les 15 du Conseil de sécurité.
Le ministre des Affaires étrangères a rappelé que c’est à cette condition que l’Afrique «pourra, une fois pour toutes, tourner la dernière page de l’histoire du colonialisme odieux, de l’occupation et du pillage honteux de ses richesses».
Les travaux de la 49e conférence de l’Organisation africaine des assureurs (OAA) se sont poursuivis hier, avec au menu des débats sur l’évolution du secteur des assurances en Afrique.
Dès l’indépendance de son pays le Congo, Lumumba avait reconnu le GPRA et apporté son soutien au FLN. Au cours d’une visite, très remarquée, en Tunisie, il rencontrera des dirigeants de la Révolution algérienne, en particulier le président du GPRA, Ferhat Abbas, à qui il a apporté un soutien politique sans réserve. Il avait, à cet effet, demandé au président Habib Bourguiba et au roi Hassan II une aide politique et militaire pour asseoir et consolider l’indépendance de son pays.
Après le début de déploiement des banques algériennes en Afrique via, notamment, le lancement de succursales en Mauritanie et au Sénégal, les compagnies d’assurances sont appelées à se préparer à cette ouverture sur le marché africain pour accompagner les investisseurs.
Un puissant courant unitaire traversait le continent africain. Les partis politiques, les syndicats et les étudiants avaient mis en place des organisations à l’échelle des ensembles régionaux. Les colonialistes avaient des objectifs dictés par leurs intérêts et contraires à ceux des peuples africains ; ils ont repris le vieil adage romain «diviser pour régner».
Au fil des ans, l’Europe a fait du continent africain le dépotoir du textile usagé.
La part de l’agriculture dans le produit intérieur brut (PIB) des pays africains se situe en moyenne entre 30 et 50%, d’où «la nécessité de sensibiliser les agriculteurs africains à souscrire à l’assurance agricole afin de couvrir les risques climatiques et autres (…)», a plaidé le secrétaire général de l’OAA.
Le continent a besoin, selon l’évaluation de la BAD, de 1300 à 1600 milliards de dollars sur la décennie afin de pouvoir répondre aux exigences de la lutte contre le réchauffement climatique.
Les peuples africains et le monde entier célèbrent, aujourd'hui, la Journée mondiale de l’Afrique, coïncidant avec le 60e anniversaire de la création de l’Organisation de l’Unité africaine (OUA, Union africaine/UA actuellement), au moment où de nombreux défis se posent avec acuité au continent notamment politiques, sécuritaires et environnementaux, ainsi que la mise en place du développement durable.
Les échanges entre l’Algérie et le Sénégal sont croissants dans le domaine agricole avec les lignes de transports routier, aérien et maritime, selon Aly Ngouille Ndiaye, ministre de l’Agriculture, de l’Equipement rural et de la Souveraineté alimentaire du Sénégal. En visite en Algérie à l’occasion du Salon Sipsa-Filaha, le ministre a relevé l’excellence de la collaboration entre les deux pays dans la lutte contre le criquet pèlerin et la désertification.
La lutte contre les effets des changements climatiques figure parmi les principaux dossiers au menu de la 58e assemblée annuelle de la Banque africaine de développement (BAD) et de la 49e assemblée du Fonds africain de développement (FAD), ouvertes officiellement hier en Egypte (Charm El Cheikh).
Le Salon Sipsa-Filaha Innov, rendez-vous incontournable de l’actualité agricole, s’ouvrira demain pour se poursuivre jusqu’au 25 mai au Palais des expositions des Pins maritimes. Avec sa richesse habituelle en thématiques et en exposants de grande qualité, cette nouvelle édition du Salon revêt une importance cruciale dans un contexte où l’agriculture et la question alimentaire sont au cœur de la stratégie de l’Etat.
C’est sous le thème de «Musées, durabilité et bien-être» que le monde a célébré, cette année (18 mai), la Journée internationale des musées (JIM). Qu’il s’agisse de soutenir l’action en faveur du climat, de favoriser l’inclusivité, de lutter contre l’isolement social ou d’améliorer la santé mentale, les musées ont un rôle crucial à jouer dans la réalisation des 17 objectifs de développement durable de l’agenda 2030, insiste le Conseil international des musées (ICOM).