Les travaux de la 49e conférence de l’Organisation africaine des assureurs (OAA) se sont poursuivis hier, avec au menu des débats sur l’évolution du secteur des assurances en Afrique.
Dès l’indépendance de son pays le Congo, Lumumba avait reconnu le GPRA et apporté son soutien au FLN. Au cours d’une visite, très remarquée, en Tunisie, il rencontrera des dirigeants de la Révolution algérienne, en particulier le président du GPRA, Ferhat Abbas, à qui il a apporté un soutien politique sans réserve. Il avait, à cet effet, demandé au président Habib Bourguiba et au roi Hassan II une aide politique et militaire pour asseoir et consolider l’indépendance de son pays.
Après le début de déploiement des banques algériennes en Afrique via, notamment, le lancement de succursales en Mauritanie et au Sénégal, les compagnies d’assurances sont appelées à se préparer à cette ouverture sur le marché africain pour accompagner les investisseurs.
Un puissant courant unitaire traversait le continent africain. Les partis politiques, les syndicats et les étudiants avaient mis en place des organisations à l’échelle des ensembles régionaux. Les colonialistes avaient des objectifs dictés par leurs intérêts et contraires à ceux des peuples africains ; ils ont repris le vieil adage romain «diviser pour régner».
Au fil des ans, l’Europe a fait du continent africain le dépotoir du textile usagé.
La part de l’agriculture dans le produit intérieur brut (PIB) des pays africains se situe en moyenne entre 30 et 50%, d’où «la nécessité de sensibiliser les agriculteurs africains à souscrire à l’assurance agricole afin de couvrir les risques climatiques et autres (…)», a plaidé le secrétaire général de l’OAA.
Le continent a besoin, selon l’évaluation de la BAD, de 1300 à 1600 milliards de dollars sur la décennie afin de pouvoir répondre aux exigences de la lutte contre le réchauffement climatique.
Les peuples africains et le monde entier célèbrent, aujourd'hui, la Journée mondiale de l’Afrique, coïncidant avec le 60e anniversaire de la création de l’Organisation de l’Unité africaine (OUA, Union africaine/UA actuellement), au moment où de nombreux défis se posent avec acuité au continent notamment politiques, sécuritaires et environnementaux, ainsi que la mise en place du développement durable.
Les échanges entre l’Algérie et le Sénégal sont croissants dans le domaine agricole avec les lignes de transports routier, aérien et maritime, selon Aly Ngouille Ndiaye, ministre de l’Agriculture, de l’Equipement rural et de la Souveraineté alimentaire du Sénégal. En visite en Algérie à l’occasion du Salon Sipsa-Filaha, le ministre a relevé l’excellence de la collaboration entre les deux pays dans la lutte contre le criquet pèlerin et la désertification.
La lutte contre les effets des changements climatiques figure parmi les principaux dossiers au menu de la 58e assemblée annuelle de la Banque africaine de développement (BAD) et de la 49e assemblée du Fonds africain de développement (FAD), ouvertes officiellement hier en Egypte (Charm El Cheikh).
Le Salon Sipsa-Filaha Innov, rendez-vous incontournable de l’actualité agricole, s’ouvrira demain pour se poursuivre jusqu’au 25 mai au Palais des expositions des Pins maritimes. Avec sa richesse habituelle en thématiques et en exposants de grande qualité, cette nouvelle édition du Salon revêt une importance cruciale dans un contexte où l’agriculture et la question alimentaire sont au cœur de la stratégie de l’Etat.
C’est sous le thème de «Musées, durabilité et bien-être» que le monde a célébré, cette année (18 mai), la Journée internationale des musées (JIM). Qu’il s’agisse de soutenir l’action en faveur du climat, de favoriser l’inclusivité, de lutter contre l’isolement social ou d’améliorer la santé mentale, les musées ont un rôle crucial à jouer dans la réalisation des 17 objectifs de développement durable de l’agenda 2030, insiste le Conseil international des musées (ICOM).
L’Afrique ne veut pas se contenter du siège de spectateur au moment où les chamboulements géopolitiques annoncent un nouvel ordre mondial. La mission de médiation entre les parties en conflit, la Russie et l'Ukraine, annoncée hier par le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, et dans laquelle sont impliqués six pays africains, reflète en effet cette volonté de se positionner sur le nouvel échiquier mondial.
La situation sécuritaire au Sahel reste très préoccupante et l’instabilité récente au Soudan, à l’est de cette région d’Afrique, est une source de préoccupation supplémentaire, a prévenu cette semaine une haute responsable des Nations unies devant le Conseil de sécurité.
Elle y est presque. L’Afrique est aux portes du G20. Depuis une année, l’Union africaine (UA) a dévoilé son intention de postuler pour un siège au sein du plus grand forum de coopération économique.
Les progrès mondiaux dans le secteur de la santé mère-enfant stagnent, voire régressent depuis huit ans, selon un rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) publié cette semaine. Selon la nouvelle publication, présentée lors d'une conférence mondiale au Cap, en Afrique du Sud, plus de 4,5 millions de femmes et de bébés meurent chaque année pendant la grossesse, l’accouchement ou les premières semaines après la naissance. Ce qui équivaut à un décès toutes les sept secondes, principalement de causes évitables ou traitables si des soins appropriés avaient été disponibles. Une situation pour le moins inacceptable.
Le Ahly du Caire ( Egypte ) et Mamelodi Sundowns ( Afrique du Sud ) filent droit vers la finale de la ligue des champions 2023. L’équipe égyptienne a pratiquement composté son billet pour la finale après son large succès (3-0) vendredi à Radès (Tunisie) devant une formation de l’Esperance de Tunis méconnaissable.
L’encouragement de l’investissement se traduit par une facilitation des échanges financiers à l’international avec, notamment, l’ouverture de filiales bancaires algériennes à l’étranger. Le premier signal a été donné en avril dernier par l’ouverture d’une filiale d’une banque algérienne au Sénégal.
Même si l’OMS vient de lever le caractère d’urgence sanitaire, le profond désordre généré par la pandémie de Covid-19 dans le secteur économique mondial va continuer, pour un temps encore, à mettre à mal les économies régionales et nationales les plus vulnérables.
Lors de son entrevue avec les représentants de la presse nationale, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a une nouvelle fois insisté sur le recentrage stratégique du pays sur le continent africain.