Ouverts hier à Alger, par la présidente de la Haute Autorité de transparence et de lutte contre la corruption, Salima Masrati, les travaux de la 12e réunion du bureau exécutif de l’Association des autorités africaines de lutte contre la corruption ont drainé de nombreux participants.
Sur le Sahara occidental, une pléthore d’opinions d’universitaires, d’experts et de diplomates dans les chancelleries occidentales, et un afflux de visiteurs dans la région, ont émergé récemment, chacun à sa manière, tous enflammés par le désir d’une «solution» au conflit.
Sur fond d’une confluence de tensions géopolitiques, notamment depuis l’éclatement du conflit armé en Ukraine, l’Europe se tourne vers l’Afrique pour sécuriser une partie de ses approvisionnements en énergie.
L’Afrique devrait compter la moitié des 20 économies à la croissance la plus rapide au monde en 2024. Si la vigueur de la reprise à la suite de la pandémie de Covid-19 et sa résilience dans le contexte actuel d’incertitude géopolitique et économique sont généralisées sur le continent, les performances économiques varient d’une région à l’autre.»
Strident coup de gueule de la Chambre africaine de l’énergie (AEC) : à peine quelques jours après la clôture de la 30e édition de l’Investing in African Mining Indaba qui s’est tenue du 5 au 8 février au Cap (Afrique du Sud), cette instance représentant la voix du secteur de l’énergie du Continent africain s’est fendue d’un sévère communiqué où elle «rejette avec véhémence la notion et l’état d’esprit selon lesquels les Africains ne sont en quelque sorte pas qualifiés pour diriger et accueillir des événements importants tels que Investing in African Mining Indaba sur leur propre territoire».
L’Organisation des Assurances africaines, présidé par le Directeur général de la Caisse nationale de mutualité agricole, CNMA, a signé une convention de partenariat avec l’Union générale arabe des assurances.
Les indicateurs économiques ne sont pas au beau fixe dans de nombreux pays africains. Idem pour les situations budgétaires qui continueraient d’être vulnérables aux chocs mondiaux.
Que serait l’Afrique si ses différents pays arrivaient à concrétiser leur intégration économique et à se fédérer autour de projets économiques concrets ? Jusque-là, les pays africains s’orientaient principalement vers l’étranger et très peu vers leur voisinage immédiat. Entamé timidement dans les années 1960, le vaste et long chantier de l’intégration du continent s’accélère désormais.
L’interaction des crises mondiales et régionales avec les faiblesses structurelles régionales existantes menace d’interrompre la reprise économique progressive de l’Afrique et entrave les développements socio-économiques.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a réaffirmé, mardi, l’engagement et l’attachement de l’Algérie à la réalisation des objectifs de développement économique et d’intégration continentale, et l’amélioration de l’efficacité des processus d’intégration économique en Afrique.
Afin de contribuer activement à accélérer le processus des relations d’affaires et de permettre un gain de temps et d’efforts appréciables, des ambassadeurs de plusieurs pays africains devront prendre part à la sixième édition du Salon international de l’industrie, de l’énergie, du BTP, de la logistique et de l’export «Oran-Invest-Expo», qui se tiendra du 04 au 07 mars 2024, au Centre de conventions d’Oran (CCO/Le Méridien), a indiqué, à El Watan, le Commissaire du Salon, Ahmed Haniche.
Le gouvernement italien a dévoilé la semaine dernière, à Rome, un plan de près de 6 milliards de dollars américains pour soutenir le développement de l’Afrique, lors d’un sommet Italie-Afrique qui a duré une journée.
Après une semaine de suspense qui a vu le pays hôte, la Côte d’Ivoire, réaliser l’une des plus grandes sensations de la compétition en sortant le Sénégal (tenant), le décor est désormais planté pour la phase des quarts de finale de la Coupe d’Afrique des nations 2023 dont les rencontres se dérouleront les 2 et 3 février.
L’AIPS – Afrique, présidé par le Sénégalais Abdoulaye Thiam, a profité de la CAN pour rendre un hommage appuyé aux légendes du Journalisme sportif africain à la Maison de la Presse d’Abidjan.
Le sommet Italie-Afrique s’est tenu hier à Rome, avec la participation de dirigeants et de hauts représentants de plus de 25 pays africains. Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ahmed Attaf, a participé à ce sommet en sa qualité de représentant du président de la République, Abdelmadjid Tebboune.
Le Cadre stratégique permanent pour la paix, la sécurité et le développement (CSP PSD) – qui représente l’ensemble des groupes politico-militaires du Nord – dénonce la décision de Bamako de mettre fin unilatéralement à l’Accord de paix, signé sous l’égide des Nations unies en 2015.
Le secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken, a achevé, jeudi dernier, sa tournée dans plusieurs capitales africaines où il a esquissé les contours de la nouvelle stratégie des Etats-Unis en Afrique. «Ce qu’on essaie de faire est de s’assurer premièrement qu’il y ait des réponses africaines aux problèmes de l’Afrique, mais soutenues, comme voulu par les Etats-Unis. On ne va pas se substituer aux pays africains.
Cette opération d’exportation découle d'une saison de production abondante d’oignon et d’ail à Mascara, soutenue par les appuis financiers et techniques de l'État en faveur des agriculteurs locaux.
Washington est déterminé à renforcer ses relations avec les pays africains. C’est le secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken, qui l’affirme. En tournée depuis lundi sur la côte ouest du continent, il assure que «les Etats-Unis sont résolus à approfondir, renforcer et élargir les partenariats à travers l’Afrique».
Le secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken, était attendu hier au Cap-Vert dans le cadre de sa tournée en Afrique afin de maintenir l’influence des Etats-Unis sur un continent convoité par d’autres grandes puissances, notamment Pékin et Moscou. Il rejoindra ensuite la Côte d’Ivoire, le Nigeria et l’Angola.