Donald Trump ne se conformera pas aux résultats du scrutin présidentiel, et cela, il l’a annoncé dès le départ, martelant qu’il ira et restera à la Maison-Blanche coûte que coûte, élu ou pas élu.
La reconstitution des réserves hydriques n’est pas un fait anodin dans un contexte de réchauffement climatique qui tourmente le monde depuis plusieurs années. Ce n’est pas une période de rémission que la nature offre aux humains, mais cela y ressemble lorsqu’on se remémore les épisodes caniculaires passés et ceux qui ne manqueront pas de survenir à brève ou moyenne échéance.
Dans un monde où toutes les valeurs humaines ont été anéanties, nul ne peut être insensible aux atrocités commises depuis 130 jours dans la Bande de Ghaza par l’Etat criminel d’Israël.
Après les produits manufacturés, le BTP, le secteur des mines et le rail, c’est au tour de l’industrie automobile chinoise de jeter son dévolu sur l'Algérie, où de plus en plus de voitures chinoises circulent dans les rues.
Un signal fort est venu du ministère de la Culture et des Arts à l’occasion de la célébration de Yennayer, prévue dans les prochains jours.
La Tunisie est finalement parvenue à honorer tous ses engagements financiers pour l’année 2023, sans avoir à capituler devant le Fonds monétaire international (FMI).
Un nouveau code communal est en voie de finalisation et, selon les échos repris dans la presse, le texte s’inscrit dans une vision globale d’efficacité économique et de solidarité intercommunale.
La forte médiatisation de la guerre menée depuis le 7 octobre dernier par l’armée sioniste contre les Palestiniens à Ghaza a eu un effet considérable sur l’opinion internationale.
Joe Biden fait le grand écart, il se résout vraisemblablement à lâcher Benyamin Netanyahu. Le président américain, en précampagne pour un deuxième mandat à la Maison-Blanche, a choisi le moment d’une rencontre avant-hier avec une assemblée de donateurs, à majorité juive, pour marquer ses distances avec le Premier ministre israélien et son gouvernement, sa façon de mener la guerre à Ghaza et ses projections pour le «Day After» (le jour d’après).
De toutes les guerres que la région du Moyen-Orient a connues depuis la proclamation de l’Etat sioniste sur la terre de la Palestine, il y a plus de 75 ans, celle menée depuis le 7 octobre dernier contre la population de Ghaza est inqualifiable par son atrocité et les sauvageries commises au quotidien. Des crimes qui en rappellent d’autres dans la longue histoire du combat mené par les Palestiniens contre l’occupation sioniste.
A l’issue de la Seconde Guerre mondiale, la bonne idée était de créer une organisation internationale pour contribuer à ramener la paix dans le monde en traitant et en prévenant les conflits. Mais elle a été accompagnée d’une mauvaise idée, la création d’un Conseil de sécurité qui donne la possibilité à cinq grandes puissances, par le biais du fameux droit de veto, de bloquer n’importe quelle prise de position émanant de pays tiers, y compris de l’Assemblée générale onusienne, en vote écrasant.
Le déluge de feu a repris sur Ghaza avec son torrent de sang et de larmes. Antony Blinken était à Tel-Aviv sans nul doute pour transmettre aux autorités israéliennes le feu vert de Washington concernant la reprise des frappes et approuver le plan israélien de partition de Ghaza.
Le monde retient son souffle sur la décision que prendra Netanyahu après la fin de la trêve. Va-t-il ordonner la reprise des bombardements sur Ghaza, notamment sa partie sud dans laquelle s’est réfugiée la majeure partie de la population ?
Lors de sa récente visite de travail dans la wilaya de Tizi Ouzou, le ministre de l’Energie et des Mines a annoncé un projet d’exploitation d’une mine de feldspath, actuellement en phase d’étude préliminaire. M. Arkab a souligné la «présence de ce minéral dans nombre de régions du pays, et la mine la plus importante en termes de capacités est celle de Tizi Ouzou».
Quatre jours de trêve, de suspension du temps et de la tempête de feu et de sang qui s'est abattue durant près de 50 jours sur la Bande de Ghaza ; quatre jours pour mesurer, vraiment, l'ampleur du malheur vécu : vies pulvérisées, familles décimées, foyers détruits...
Netanyahu a annoncé qu’il poursuivra la guerre à Ghaza, une fois achevée la trêve, ce qui signifie que le massacre des habitants reprendra avec plus d’intensité.
Hamas-Daech». C’est par cette association que Benyamin Netanyahu, ses ministres et l’état-major de son armée se font le devoir de désigner le mouvement de résistance palestinien. Et c’est ainsi qu’ils exigent du monde qu’il le présente depuis les attaques de sa branche armée, les Brigades Al Qassam, le 7 octobre dernier.
ls sont désormais nombreux les intellectuels israéliens qui ont eu le courage de briser le mur du silence et dénoncer les exactions commises par l’armée sioniste envers les Palestiniens. Des crimes qui avaient commencé quelques jours seulement après l’entrée en vigueur du plan de partage de la Palestine et la déclaration d’indépendance d’Israël le 15 mai 1948.
Le flop de l’hôpital Al Shifa de Ghaza nous rappelle, à tous points de vue, le délire du général américain Colin Powell qui – en 2003, pour duper l’opinion publique mondiale et justifier l’intervention massive américaine en Irak – avait exhibé une fiole devant les membres du Conseil de sécurité.
Comme pour l’histoire, il n’y a pas une fin pour le débat public, et cela permet de mettre au jour des situations et des problématiques méritant un traitement particulier, dans le but de construire un meilleur avenir, en enrayant les causes de l’échec et des rendez-vous manqués avec le développement.