Depuis que l’inflation connaît une hausse sur le marché algérien, le rêve le plus logique des consommateurs est d’avoir accès aux produits alimentaires de base à des prix raisonnables.
L’ouverture de la 78e Assemblée générale de l’ONU a ressemblé à de nombreuses sessions qui l’ont précédée : le constat d’un monde marqué par les inégalités, la persistance de foyers de conflits armés, le statu quo et la controverse sur les dernières colonies, l’accumulation des défis qui s’imposent à la communauté humaine et des appels à réagir solidairement pour y faire face.
La récente installation des nouveaux walis a été l’occasion de remettre à l’ordre du jour le dossier de la gestion des collectivités locales et la nécessité de leur insuffler une nouvelle dynamique de développement à même de répondre aux attentes des citoyens.
Il y a encore quelques années, on imaginait que le plus grand danger qui pouvait menacer l’humanité était l’éclatement d’un conflit nucléaire entre les deux superpuissances qui dominent le monde quand ce n’est pas la chute d’une météorite qui nous ferait subir le sort des dinosaures au crétacé supérieur.
Cimetière VIP des éléphants du football, terre de jouvence pour les stars mondiales, tapageuse opération de marketing géopolitique par le sport… La boulimie de l’Arabie Saoudite pour les têtes d’affiche du sport roi continue d’étonner et de susciter des commentaires. Et pour sûr, elle a bousculé, en quelques semaines d’accélération, les fondamentaux du marché des transferts.
Les autorités ont raison d’organiser les cérémonies de distinction des meilleurs lauréats au baccalauréat. Il y a beaucoup à apprendre, des éclairs de génie à capter chez des jeunes qui ont atteint l’excellence dans un monde où tout invite à la dissipation et conduit à l’atrophie des facultés humaines.
Au commencement, c'était l’invasion américaine de l’Irak sans l'aval de l’Onu, sous un faux prétexte, avec une violence inouïe, suivie, quelques années après, de la déstabilisation de la Syrie et de la Libye.
La violence et le lourd bilan de la série de feux de forêt meurtriers qui ont frappé certaines wilayas du pays la semaine dernière confirment, une nouvelle fois, que l’on a affaire désormais à un palier de risque supérieur à celui redouté auparavant.
En Afrique, la république d’Emmanuel Macron ne marche plus. En mars dernier, le président français était parti en tournée africaine (la dix-huitième en six ans) pour tenter de colmater les fissures créées par le sentiment anti-français grandissant et remettre son pays dans la course pour courtiser le continent. Quatre mois après, rien ne semble sourire à Paris.
Les feux de forêt continuent à faire des victimes aussi bien civiles que militaires. Le dernier bilan des incendies survenus à Béjaïa, Bouira et Jijel fait état de 34 morts et de nombreux blessés.
Il y a quelques jours, on ne parlait à Tébessa que de ces piscines modulables à installer sur place, que la wilaya a «offertes» sur son propre budget aux jeunes de dix communes.
Parmi les mœurs locales qui surprennent beaucoup les rares étrangers qui débarquent en Algérie, ou bien encore les émigrés qui ont mis des années à revenir au bled au point d’oublier la culture ambiante, il y a cette conduite à l’algérienne.
Le développement local continuera pour longtemps de reposer sur les trois éléments : eau, routes et électricité. Tant que ces exigences de base, indispensables dans la vie quotidienne des citoyens, ne sont pas garanties, il n’est pas possible d’entrevoir des projets d’envergure et la mise en place d’infrastructures à vocation économique ou culturelle.
Sommes- nous à l’aube d’une nouvelle ère où de multiples facteurs géopolitiques et économiques pourraient remettre en cause l'ordre mondial jusque-là hyper-centré autour de la suprématie du pétrodollar ? Il y a vingt ans, le dollar représentait 70% des réserves de change des banques centrales à travers la planète.
L’activité informelle a toujours évolué en marge des règles de transparence. Ce jeu de l’ombre échappe à tout contrôle en vigueur dans les secteurs économiques.
Prévues dans l’amendement constitutionnel de 2016 et encadrées par le règlement intérieur de l’APN et du Conseil de la nation, les missions parlementaires d’information commencent à acquérir une certaine visibilité en attendant d’avoir une réelle incidence sur la gestion des différents secteurs de la vie nationale.
Sacrilège sur les rives du Nil. La diva de légende Oum Kalthoum, la «4e pyramide d’Egypte», décédée depuis près de 50 ans, se remet à chanter malgré elle, grâce à une reproduction vocale réalisée par recours à l’intelligence artificielle (IA).
Si la nécessité de placer la qualité de l’enseignement supérieur au centre des défis fait l’unanimité en Algérie, il reste la question cruciale de savoir comment y parvenir.
La crise de logement a longtemps hanté l’esprit de tout Algérien. La concentration de la population dans les grandes villes a encouragé l’expansion de l’habitat précaire. C’est une suite logique qui découle de la centralisation de la politique de développement social et économique du pays.
Si elle a irrité les autorités algériennes, la récente résolution du Parlement européen sur la question des droits de l’homme n’a pas créé de crise majeure et les choses semblent s’estomper.