Israël est devenu un véritable Etat voyou qui ne respecte ni les lois internationales, ni le droit des Etats à vivre en paix, ni la vie humaine. Il fait preuve d’une barbarie et d’une cruauté qui ont révolté jusqu’aux citoyens israéliens.
Intégrée dans le programme des journées médicales internationales devant se tenir ce week-end à Oran, la question de l’accès aux soins revêt une grande importance dès lors qu’elle demeure posée dans nombre de sociétés.
L’armée israélienne a commis mardi dernier un terrible crime à Ghaza. Elle a totalement détruit une mosquée célèbre, connue sous le nom d’Al Omari. Au départ, c’était une église construite au Ve siècle sur 40 m2, c’est dire son immensité. Au XIIe siècle, elle a été transformée en mosquée. Vu à la télévision mardi dernier, tout était ruine et il ne reste qu’une partie du dôme pour rappeler qu’il y avait là un lieu de culte. Vendredi passé, l’armée israélienne a bombardé et détruit une mosquée et une école mitoyenne.
L’Algérie, qui s’apprête à accueillir la 12e édition du Napec 2024 (Africa & Mediterranean Energy & Hydrogen Exhibition and Conference), prône «un équilibre entre les hydrocarbures et les énergies propres pour un mix énergétique efficace». Cet équilibre permet en tout cas au gaz naturel d’avoir encore un long avenir, d’autant plus que ceci intervient dans un contexte marqué par l’incapacité de l’Europe de se passer à moyen terme du gaz, qui connaît le taux de croissance mondial le plus élevé. L’Algérie tient absolument à la concrétisation dans les plus brefs délais du projet hautement géostratégique du gazoduc transsaharien.
Avec Israël, l’Amérique semble avoir perdu tous ses ressorts. Elle est humiliée, menée par le bout du nez par la bande de criminels de guerre qui sont en train de faire la loi au Proche-Orient. Ghaza, la Cisjordanie, la Syrie et le Liban sont devenus les cibles permanentes des agressions israéliennes avec leur lot de massacre quotidien des innocents, qui se compte désormais par milliers, depuis octobre dernier.
Le Liban et son peuple risquent de sombrer dans l’horreur absolue. C’est Benyamin Netanyahu qui le dit et on ne peut pas en douter parce qu’on a affaire à un psychopathe sanguinaire. «Libérez votre pays du Hezbollah pour que cesse la guerre», a t-il dit à l’adresse des Libanais, «sinon votre pays connaîtra le sort de Ghaza», a-t-il ajouté hier.
Ce 7 octobre en France, les médias mainstream, particulièrement CNES, BFMTV et LCI, ont tordu le cou aux règles les plus élémentaires du journalisme. Elles ont rivalisé en contenus propagandistes en faveur d’Israël, son armée et ses dirigeants par réflexe et sur ordre de leurs propriétaires, des pro-sionistes notoires.
L’annulation de la Fête de la figue à Beni Maouche, prévue ce mois d’octobre, n’est pas un fait anodin. Elle n’est pas due à des écueils administratifs ou d’ordre organisationnel, mais à un manque de production de ce fruit emblématique de la région.
On pensait, naïvement, que l’après-guerre froide était terminée et dès lors on nous annonçait la couleur d’un ciel plus clément et des lendemains sereins, pour ne pas dire chantants.
Staffan de Mistura, l’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU pour le Sahara occidental, vient d’effectuer une troisième visite dans les camps de réfugiés sahraouis, depuis sa nomination à ce poste en 2021. Cela fait 3 ans que M. de Mistura fait des efforts louables dans le but de relancer le processus d’autodétermination du peuple sahraoui, conformément aux résolutions des Nations unies et de l’Union africaine.
En phase de mise à niveau de tous les secteurs touchant à la vie quotidienne des citoyens, le département de l’Intérieur apparaît comme un super ministère dès lors qu’il couvre la gestion des collectivités locales et l’aménagement du territoire. Un vaste programme de travail a été mis à l’ordre du jour, récemment, à l’occasion de la rentrée à l’Ecole nationale d’administration, où un ensemble d’orientations, précises et multisectorielles, ont été adressées par le ministre à tous les gestionnaires des affaires publiques.
L’armée de terre israélienne est entrée cette semaine au Liban. Paradoxalement, c’est Washington qui, le premier, a donné l’information, devenant pour la circonstance le porte-parole de Tsahal. Les chars ont envahi le Sud libanais, rappelant les mauvais souvenirs de 1982 quand Ariel Sharon est entré au pays du Cèdre. Auparavant, Benyamin Netanyahu avait informé le monde, avec son arrogance coutumière, que l’armée israélienne allait agresser ce pays dans une «opération limitée», malgré les appels de la communauté internationale.
La présence du ministre de l’Intérieur au cours inaugural de la 55e promotion de l’Ecole nationale d’administration atteste de l’intérêt de plus en plus marqué pour la rénovation de la gestion des affaires locales.
Benyamin Netanyahu est certainement le plus grand criminel de guerre du XXIe siècle. Il est en train de livrer la guerre à plusieurs pays à la fois, à Ghaza, en Cisjordanie, au Liban, en Syrie et au Yémen, c’est-à-dire plusieurs fronts simultanément et qui étaient programmés bien avant le 7 octobre.
Alors que l’accord d’association signé en 2002 est censé «établir une zone de libre-échange et promouvoir les échanges commerciaux avec l’Algérie», l’UE interdit l’importation de la marque algérienne de la pâte à tartiner El Mordjene Cebon pour le fait qu’elle contient des produits laitiers non autorisés à être introduits en Europe.
La chute du mur de Berlin, le 9 novembre 1989, a été un tournant décisif pour le XXIe siècle, qui nous a fait basculer sans aucun doute dans un autre univers, avec un nouveau paradigme, qui a mis fin à la confrontation américano-soviétique.
Récemment, la chaîne française LCI a présenté un débat sur les relations entre l’Algérie, la France et le Maroc suite à un message adressé par le président Emmanuel Macron au roi Mohammed VI dans lequel le premier affirme au second que la France soutient le plan d’autonomie marocain au Sahara occidental sans manifester toutefois un quelconque appui à la «marocanité» de l’ancienne colonie espagnole.
Ce qui était redouté est arrivé, Israël tapisse le Liban de bombes, semant mort et désolation, des milliers de morts et de blessés, en grande partie des civils, dont des enfants.
558 morts. C’est le prix qu’a payé lundi le peuple libanais au besoin de sang des dirigeants israéliens. Les femmes et les enfants du Liban, déjà meurtri par les agressions israéliennes récurrentes, subissent à nouveau les pulsions sanguinaires de Netanyahu.
La stabilité observée ces dernières années dans le secteur de l’éducation nationale, préservé des tensions pouvant surgir dans le monde du travail, est un acquis qui mérite d’être souligné.