L’Algérie et l’Inde sont liées par un intéressant partenariat dans le cadre du Programme indien de coopération technique et économique.
La reconstitution des réserves hydriques n’est pas un fait anodin dans un contexte de réchauffement climatique qui tourmente le monde depuis plusieurs années. Ce n’est pas une période de rémission que la nature offre aux humains, mais cela y ressemble lorsqu’on se remémore les épisodes caniculaires passés et ceux qui ne manqueront pas de survenir à brève ou moyenne échéance.
L’abondance des produits de consommation a indéniablement marqué le mois de Ramadhan. Elle a été également accompagnée d’un foisonnement de déclarations émanant des responsables chargés de l’encadrement et de la régulation des marchés aux fins de répondre aux attentes des citoyens.
L’expression populaire «La'âm Eli Yrouh khir men li yji» (l’année qui s’en va est meilleure que celle qui arrive), revenant souvent sur les lèvres des Algériens de nos jours, est devenue presque une devise populaire. Une dure réalité qui rappelle chaque année aux consommateurs qu’ils ne sont guère à l’abri des mauvaises surprises, qu’elles soient le fruit de la spéculation ou les conséquences des pratiques commerciales illicites.
L’importance de la prévention dans le système de santé a été soulignée, mardi dernier, lors de l’annonce d’un prochain accord de partenariat entre l’Institut Pasteur à Alger et le groupe public Saidal pour la production de vaccins.
Tel-Aviv qui interdit Al Jazeera, ce n’est pas une surprise. Elle n’a jamais supporté que le chaîne satellitaire arabe se mette résolument du côté des Palestiniens et qu’elle documente la réalité de l’occupation, notamment dans ses aspects répressifs et génocidaires.
Certaines grandes puissances aiment souvent donner des leçons de démocratie à des pays en développement, notamment africains. Or, cette formidable alternance démocratique, qui vient d’avoir lieu au Sénégal pour la troisième fois dans l’histoire de ce pays, tombe à point nommé pour bien montrer que ces puissances sont mal placées pour faire la leçon aux pays africains.
Les chiffres du bilan de l’année 2023 sur le trafic de la drogue et des psychotropes en milieu urbain, présenté au mois de mars par la cellule de communication de la DGSN, dépassent l’imagination. On retiendra parmi toutes les données un chiffre des plus effarants. Celui de la saisie, au bout d'une année, de plus de 13,566 millions de comprimés de psychotropes, soit plus du double de la quantité globale enregistrée en 2022.
Le changement climatique va fatalement bouleverser le rythme et le programme de travail dans les différents secteurs d’activité. Celui en charge de la gestion du patrimoine forestier est naturellement le plus concerné. Des impératifs d’adaptation doivent être pris en compte face à l’accélération des phénomènes et des variations touchant le climat à l’échelle de la planète.
La numérisation est de retour cette semaine. Elle est sur toutes les lèvres de nos officiels, chacun dans son secteur. Si d’aucuns s’en servent dans une perspective réfléchie et réalisable, d’autres emboîtent le pas juste pour se mettre au goût du jour. Il se trouve, hélas, que le secteur de l’éducation est l’une des victimes de ce fait d’annonce pur et simple. La tablette n’a pas remplacé le fardeau du traditionnel cartable, comme promis par le premier responsable de ce département.
L’accession de l’opposant Bassirou Diomaye Faye aux premières loges du pouvoir au Sénégal, à l’issue d’un processus électoral des plus accidentés, est indéniablement un événement marquant en Afrique, notamment dans cette partie occidentale aussi riche naturellement qu’instable politiquement.
Les interventions des brigades de répression des fraudes relevant des directions du commerce se sont multipliées ces dernières semaines et connaîtront, sans doute, une montée en cadence à l’approche et au cours de la saison estivale.
La récente résolution du Conseil de sécurité de l’ONU appelant à un cessez-le-feu à Ghaza est saluée comme un acquis à dater pour la cause palestinienne, et au-delà pour la lutte globale pour un monde plus juste.
Les communautés expatriées sont un formidable vivier de compétences qui représentent un enjeu stratégique pour l’Algérie.
La priorité a été donnée lors du Conseil des ministres tenu dimanche au «parachèvement des programmes de développement dans les wilayas de Khenchela, Tissemsilt, Djelfa et Tindouf».
Heureusement qu’en Algérie, le mois de Ramadhan, qualifié de période de surconsommation et du rush sur les marchés, garde encore ses vertus que des citoyens, conscients du rôle qui leur incombe dans la société, se mobilisent pour perpétuer avec la contribution des pouvoirs publics, des opérateurs économiques et des généreux donateurs.
Les Etats-Unis se sont enfin décidés à reprendre l’initiative au sein du Conseil de sécurité de l’ONU, en proposant un projet de résolution sur un cessez-le-feu dans la bande de Ghaza. Impliquée directement dans le conflit, en assurant un bouclier diplomatique intraitable au protégé israélien et en lui fournissant un soutien financier et militaire sans précédent, la puissance américaine a jugé donc le moment venu pour user des voix onusiennes pour peser autrement sur les événements, en proposant un projet de résolution sur un cessez-le-feu.
Le réseau routier national est en train de devenir le théâtre de tragédies à répétition. De nombreux dispositifs de prévention ont été enclenchés ces dernières années, quasiment en vain.
L’administration Biden exporte son «sommet pour la démocratie» cette année : Séoul, la capitale sud-coréenne, a accueilli lundi dernier des dirigeants du monde et des ONG autour des risques que représentent les usages incontrôlés de l’intelligence artificielle (IA) sur les régimes politiques libéraux et les conditions de l’exercice démocratique, notamment les élections.
Le Ramadhan est une niche exceptionnelle de profits financiers pour les télés algériennes privées au vu de l’engouement du public pour leurs programmes, plus particulièrement les séries produites localement avec des acteurs connus et appréciés. Le Ramadhan est une niche exceptionnelle de profits financiers pour les télés algériennes privées au vu de l’engouement du public pour leurs programmes, plus particulièrement les séries produites localement avec des acteurs connus et appréciés.