Une étoile de la constellation de la chanson algérienne et mondiale quitta ce monde des mortels, il y a quatre ans de cela, pour rejoindre la galaxie de l’immortalité.
Abdenour Zahzah est le réalisateur de la fiction Chroniques fidèles survenues au siècle dernier à l’Hôpital psychiatrique Blida-Joinville, au temps où le docteur Frantz Fanon était chef de la cinquième division entre 1953 et 1956. Projeté en avant-première mondiale au Festival de Berlin, Berlinale, en février dernier, ce long métrage a été présenté et primé au 4e Festival d’Annaba du film méditerranéen qui s’est déroulé du 24 au 30 avril dernier.
Interrompu depuis 2018, le Festival d’Oran du film arabe fera son grand come-back cette année à la grande joie des cinéphiles.
Le 9e Festival national de la création féminine, ouvert jeudi dernier au palais de la culture Moufdi Zakaria à Alger, connaît la participation de plusieurs artisanes créatrices qui ont proposé aux visiteurs une variété de produits traditionnels destinés à la femme, notamment les tenues traditionnelles et les bijoux.
Le Festival national de la création féminine se poursuit jusqu'au 19 du mois en cours au Palais de la Culture Moufdi Zakaria à Alger. Il est placé sous le thème: "Costumes et parures : un patrimoine à travers l’histoire ".
La 55e édition promet d’être un bon cru. Bien que de prometteurs indices laissent penser que la 55e édition du Festival national de théâtre amateur de Mostaganem sera d’un niveau élevé, d’autres n’encouragent guère à l’optimisme quant à la bonne santé de la pratique théâtrale en amateur, notamment à l’est du pays.
Des journées dédiées à la musique et à la danse diwane se tiendront du 14 au 16 mai à Béchar en hommage à l’interprète et icône de cette expression artistique traditionnelle, Hasna El Bacharia, décédée le 1er mai à l’âge de 74 ans, a-t-on appris samedi des organisateurs.
La 4e édition du Festival international du court métrage de fiction Imedghassen s’est ouverte, samedi en soirée, au Théâtre régional Salah Lembarkia, à Batna, en présence d’un public nombreux.
«Qu’est-ce que le lepénisme, sinon un rejeton idéologique et politique du colonialisme, au moins autant que de la Collaboration», tranche le chercheur, évoquant les «victoires» de ce courant, aujourd’hui aux portes du pouvoir en France.
Maître du cinéma fantastique américain des années 1960, Roger Corman, mort à l’âge de 98 ans, s’imposa comme le champion des films de genre à petit budget donnant ses lettres de noblesse à la série B et dénichant de nombreux talents du Nouvel Hollywood.
Des spécialistes universitaires ont appelé hier à Batna, au cours d'une journée d'étude sur "la protection du patrimoine immatériel de l'Aurès face aux crises", à "la création impérative d'une banque de données sur ce patrimoine essentiellement oral pour éviter sa perte".
La question semble absurde, comme si un implant dentaire pouvait réellement remplacer une dent, mais elle se pose quand même, y compris à Sétif lors des journées internationales du cinéma qui viennent de se tenir, sans salle de cinéma.
Véritable enfant de Sétif, c’est une actrice prometteuse qui n’a jamais prévu d’être actrice, elle a slamé, poétisé, joué dans des pièces de théâtre, dans 11/11, série TV, dans entre autres Papicha, dans le dernier film de Mounia Meddour, Houria, dans le court-métrage Nos souvenirs de Walid Benyahia, primé plusieurs fois et le fameux court-métrage Taftafa ou el meqnine d’Amir Bensaifi qui a aussi reçu plusieurs prix, y compris à l’international. Ayant suivi le Cours Florent, elle a aussi eu un petit rôle dans Mister Spade, une série de Scott Frank, spin off du Faucon Maltais de John Huston sorti il y a deux mois sur Canal + et devrait atterrir sur Netflix.
Rencontré à Témouchent où, tout comme à Skikda et à Tizi Ouzou, pour l’est et le centre du pays, il a supervisé la sélection des spectacles devant figurer au programme de la prochaine édition du Festival national de théâtre amateur, Mohamed Takiret fait état d’une démarche arrêtée afin de redynamiser le plus ancien festival national et de contribuer à relever le niveau de la pratique théâtrale chez les amateurs.
Le programme du festival du film ibéro-américain, prévu à Oran cette année entre le 15 et le 27 mai, concerne une dizaine de films d’expression espagnole ou portugaise et issus de plusieurs pays dont, hormis l’Espagne et le Portugal, l’Argentine, le Brésil, la Colombie, Cuba, le Chili, le Mexique, le Pérou et le Venezuela.
Des spécialistes citent l’exemple des gravures rupestres existant à Djanet, et qui sont exposées aux risques de l’abrasion par les vents de sable.
J’ai vécu avec notre éminent professeur linguiste un voyage spatio temporel en trois haltes spirituelles. Le premier mawqif fut à Oran où on a évoqué le récit d’Ibn Arabi quand la fabuleuse montagne d’émeraude de qaf lui demanda des nouvelles de sidi Boumediène. Il lui apprit que des envieux l’accusaient d’hérésie. Elle s’étonna que des créatures de Dieu n’aiment pas les amis de Dieu.
Un concert de musique raï a été organisé à l’Opéra d’Alger Boualem Bessaïh, le 9 mai, en présence des légendes, comme Hamid et Zahouania.
Dans la vie des nations, comme dans celle des individus, il est des événements qui marquent indélébilement la conscience tant collective qu’individuelle. Tel est le cas pour le 8 mai 1945 pour l’Algérie et pour Kateb Yacine.
Avec le printemps, il n’y a pas que les hirondelles qui réapparaissent, les troubadours du terroir aussi. Ce jeudi, sur le plus anciennement principal boulevard de Témouchent, du primitif centre de l’agglomération, cheikh Mamachi, pas l’illustre cheikh Mohamed de Hassi Mamèche (wilaya de Mostaganem), dit lui aussi El Mamachi, puisqu’il n’est plus de ce monde.