Avec un décalage de quelques mois, le festival de la musique et de la chanson oranaise, placé sous le slogan «Notre patrimoine, notre identité», honore son rendez-vous annuel à El Bahia pour l’année 2024.
En 2011, de nombreux Syriens ont décidé de prendre le chemin de l’exil, quand Bachar Al Assad a réprimé dans le sang les manifestants qui demandaient son départ pendant la période des Printemps arabes.
Voilà près d’un mois que la colère de la société civile marocaine, et même du peuple marocain dans son ensemble, ne s’est pas déridée. La raison ? L’accostage, la première semaine de novembre dernier, d’un navire de guerre israélien au port de Tanger en vue de son ravitaillement.
Les mentalités rabougries ont décidément la peau dure. A Oran, dans l’une des artères les plus prisées du centre-ville, en l’occurrence l’avenue Larbi Tebessi (ex Loubet), de clinquants cafés, dotés de majestueuses terrasses, ont ouvert les uns après les autres au cours de ces dernières années.
Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, la Direction de distribution de Sonelgaz d’Oran a invité ses clients, en cette période automnale où on enregistre des baisses de température, «à faire preuve de vigilance dans l’utilisation du gaz naturel et de tous les appareils fonctionnant avec cette énergie».
Au mois de janvier prochain, cela fera 70 ans que Didouche Mourad, l’une des figures emblématiques de la Révolution algérienne, est mort, à peine quelques semaines après le déclenchement de la guerre de Libération nationale.
Mention spéciale du jury lors de la dernière édition du Festival international du film arabe d’Oran, le film-documentaire The Captain, du cinéaste tunisien Houssem Sansa, a fait mouche auprès des spectateurs de la cinémathèque d’Oran tant il les a plongés dans le fin fond du Sahara tunisien, plus précisément à Gabès.
La réalisatrice égyptienne, Aya Tallah Youssouf, nous fait voir le quotidien de Samar, cette femme qui, en 2011, sa vie avait basculé dans le chaos après que son mari violent l’ait aspergée d’acide.
L’archevêque d’Alger, Msg Jean-Paul Vesco, vient d’être créé cardinal par le pape François, une création qui prendra effet le 8 décembre prochain, à l’occasion de la prochaine célébration du consistoire qui aura lieu au Vatican.
Flight 404 du réalisateur égyptien Hani Khalifa a été projeté lundi dernier au cinéma Es-Saada (ex-Colisée). Ghada est à présent une nouvelle femme, ayant définitivement tourné le dos à son passé ombrageux, fait de fricotage avec le Milieu et de prostitution de luxe.
Lundi dernier à 16h a été projeté à la cinémathèque d’Oran Le dernier bouquiniste de Hadj Fitas et Abderrahmane Mostefa, un film qui braque ses caméras sur la fameuse rue Audebert, au tout début du boulevard Emir Abdelkader où le célèbre bouquiniste d’Oran, celui qu’on appelle affectueusement Ammi Moussa, y a officié pendant près d’une vingtaine d’années.
Where have you been et Alone is better, respectivement du cinéaste jordanien Ahmed Qota et de l'irakien Majmaddin Rekar, traitent, avec des styles cependant bien différents l'un de l'autre, la question de la solitude.
Des scènes bouleversantes renvoient à la tristesse d’un enfant, rattrapé par la dure réalité de son pays.
Le commissaire du festival, Abdelkader Djeriou, a rendu un vibrant hommage au septième art et à celles et ceux de son métier, notamment dans le rang des plus jeunes.
Un rendez-vous cinématographique d’Oran se déroulera du 4 au 10 octobre prochain, le public aura loisir, à travers les trois salles obscures du centre-ville (Maghreb, Es Saada et la Cinémathèque) d’aller voir une soixantaine de films, dont 44 seront en compétition.
Les lecteurs compulsifs, amoureux des livres et de bons mots sont en deuil à Oran. Moussa Hamchaoui, le plus vieux bouquiniste oranais, celui que tout un chacun appelle affectueusement «Ammi Moussa», est décédé hier matin, à l’âge de 78 ans, des suites d'une longue maladie.
Dans le but de relancer l’accord de coopération entre l’Etablissement hospitalo-universitaire (EHU) 1er Novembre 1954 et l’assistance publique des hôpitaux de Paris - suspendu il y a quelques années de cela en raison de la pandémie - une délégation médicale française de l’AP-HP, qui regroupe 32 hôpitaux français, s’est rendue ces jours-ci à Oran pour une visite officielle de deux jours, où elle a été reçue par le directeur de l’EHU, Baar Rabah, ainsi que le staff administratif et sanitaire de cet établissement.
Avant-hier, dimanche 22 septembre, un convoi de solidarité, comprenant 10 camions chargés de colis alimentaires, médicaments et d’autres effets tels que les habits et les couvertures, a démarré du village olympique d’Oran (situé à Belgaïd) pour se diriger vers Béchar, une wilaya lourdement touchée par les dernières intempéries.
En l’espace d’une dizaine de jours à peine, 8 vols de câbles en cuivre de basse tension ont été enregistrées, entre Oran et Bir El Djir, à l’intérieur des transformateurs électriques, indique la Direction de la distribution de l’électricité et de gaz de la wilaya d’Oran.
Dans un communiqué de la Direction de l’électricité et de gaz d’Oran (Sonelgaz), parvenu à notre rédaction, on apprend que cette entreprise appelle ses clients à faire preuve de responsabilité et de civisme en s’acquittant de leurs factures d’électricité et de gaz dans les délais légaux afin d’éviter l’accumulation des dettes.