Pour la première fois de sa carrière, Louisa Nadour, cette poétesse franco-algérienne qui n’est plus à présenter, a rencontré son public lors d’un bref séjour oranais.
Surprise : alors que la 14e édition de la nuit blanche était attendue à Oran le premier samedi du mois d’octobre — comme cela se fait chaque année —, elle s’est vu cette année avancer de quelques mois pour se tenir en juin.
A l’occasion de la visite du ministre des Transports dimanche dernier à Oran, Youcef Chorfa, il a été procédé au lancement des travaux d’extension du port d’Arzew, ceux relatifs à la création de deux quais, toujours à Arzew, spécialisés dans la réparation des navires et enfin la réception de l’extension du port d’Oran, dont les travaux ont été confiés au groupement algéro-chinois Chec-Meditram.
L’artiste et comédienne de théâtre Nadia Djebili est décédée, hier à Oran, à l’âge de 55 ans.
L’étau va-t-il enfin se desserrer sur l’Entreprise publique de transport urbain d’Oran ? C’est en tout cas la volonté que semble afficher la Direction de cette société étatique, qui n’a pas manqué de saisir l’opportunité de la venue, dimanche dernier, du ministre des Transports, Youcef Chorfa, pour l’interpeller et lui soumettre un plan d’action en vue de redorer le blason à ces fameux bus que les Oranais appellent «ETO».
Se focalisant sur deux villes, Oran et Béchar, cette étude a été réalisée récemment par un groupe de chercheurs pluridisciplinaires, parmi lesquels on compte Dahmani Sabrina, Hachem Amel, Benabeb Aïcha et Tadjeddien Abdelaziz, et s’est donné pour objectif de «tenter de cerner l’état de la santé reproductive des migrantes subsahariennes en Algérie».
17 ans après sa disparition, la popularité de Cheikha Rimitti est restée intacte à Oran comme en a témoigné, mercredi dernier, le public venu nombreux à la salle de cinéma Maghreb pour assister à un concert-hommage que l’Institut français d’Oran, en collaboration avec l’ONCI, lui a rendu.
Adjuvar, club scientifique et culturel du département de pharmacie de l’université d’Oran, a organisé, samedi dernier à la salle de cinéma El Maghreb (ex-Régent), la cérémonie de remise des diplômes de la promotion 2022 au profit des docteurs en pharmacie.
Depuis samedi dernier, la quatrième édition des journées des sciences sociales battent leur plein à l’université d’Oran, avec pour thème : «Le marché de la connaissance : diagnostic et perspective».
Cette exposition, dont le vernissage a eu lieu durant le ramadan, propose, à travers plus d’une quinzaine de tableaux contenant des peintures semi-figuratives, un voyage éblouissant dans les rues d’Oran, notamment Droj Habiche (rue de Gênes) de Sidi El Houari, mais encore Alger et sa Casbah et Paris et sa butte Montmartre.
Mohamed Bahloul est décédé, jeudi dernier, à l’âge de 68 ans, à la suite d’ une longue maladie. Ce Professeur de sciences économiques à l’université d’Oran était celui qui avait fondé, en 1992, l’IDRH (Institut de développement des ressources humaines), qui a pris ses quartiers d’abord à l’avenue Loubet, ensuite à l’avenue Sidi Chahmi et depuis 2008 à Canastel, à l’est de la ville.
Histoire de se remémorer les formidables moments d’ébullition qu’avait vécus Oran les mois de juin et de juillet 2022 à l’occasion de la tenue de la 19e édition des Jeux méditerranéens, le MaMo (musée d’art moderne d’Oran) a abrité, avant-hier après-midi, une exposition de photographies revenant sur les temps forts ayant marqué cette manifestation sportive.
Jeudi dernier, les spectateurs présents au théâtre de la fourmi (Oran) ont eu droit à un véritable voyage musical proposé par un duo d’artistes au talent avéré : Jasmina Petrovic et Amar Amarni.
El khasser y khalass, tel est le nom de la toute première pièce du comédien et metteur en scène Djawed Bougrassa, qui a joué, dimanche soir dernier, à l’Institut français d’Oran. faveurs du public ces derniers jours.
Intense, riche en émotion, ayant parvenu, sans coup férir, à marquer d’une pierre blanche la vie culturelle oranaise, suscitant même dans l’esprit des habitués des événements culturels «un avant et un après 8 avril 2023».
Le public s’en est laissé bercer, envoûté par les différents sons émanant des violons, mandolines, oud, quetra, et manipulés avec brio par les musiciens de cette association oranaise, autant les anciens que les nouveaux élèves.
Ce soir, à partir de 21h, les âmes charitables sont appelées à se rendre à l’Établissement hospitalo-universitaire de l’USTO, plus précisément au centre de transfusion sanguine, pour participer à une grande opération de don de sang.
Sorti en Espagne le 25 novembre dernier, ce film documentaire a connu auprès du public un certain engouement, notamment dans son pays d’origine, mais aussi dans plusieurs pays arabes où il a été projeté.
«Un ramadan à Oran sans sorties culturelles ? Makanch men’ha !», sommes-nous tentés de dire tant chaque année à l’avènement du mois sacré, la vie culturelle oranaise reprend des couleurs.
A la grande joie des riverains, le jardin de la roseraie a rouvert ses portes au public après une fermeture de plusieurs semaines.