Acteur dans la scène culturelle oranaise, Mohamed Benziane a animé plusieurs conférences autour des questions en lien avec l’histoire, la critique littéraire, le cinéma, la musique (raï, notamment) et le théâtre. Il a des projets plein la tête, notamment la mise sur pied de la géologique de l’histoire culturelle et religieuse de l’Algérie.
l «Daouia et Hmida, interprétés respectivement par les comédiens Houria Zaouch et Ahmed El Aouni, forment un jeune couple qui habite dans une cave exigüe et attend désespérément que «les gars du recensement» se pointent pour les gratifier d’un logement social.
Six pieds sur terre est le premier long métrage que signe Karim Bensallah, ce cinéaste à l’identité multiple, tant il est tout à la fois Algérien, Brésilien et Français. Loin d’avoir ennuyé les spectateurs, rassemblés, mercredi dernier, dans la salle des spectacles de l’Institut français d’Oran, Six pieds sur terre en a scotché plus d’un, tant personne, dans la salle, pendant les 90 minutes que durait le film, n’a eu l’impolitesse de jeter un coup d’œil à sa montre, et cela en dépit du thème abordé, en l’occurrence la mort, qui n’est pas «vendeur», loin s’en faut.
Le Syndicat national des pharmaciens d’officine (Snapo) tire la sonnette. Dans un communiqué émis ces jours-ci sur les réseaux sociaux, il veut alerter l’opinion publique et les autorités compétentes sur le calvaire que subissent nombre de pharmaciens, exposés aux agressions en tous genres, du fait que leurs officines soient en possession de médicaments sensibles, notamment les psychotropes, ô combien nécessaires pour soulager le mal d’un grand nombre de malades.
Le Grand Hôtel, cet établissement emblématique, chargé d’histoire, sis en plein cœur d’Oran, rouvrira ses portes à la mi-février après des travaux de réhabilitation, qui auront duré un peu plus de trois ans.
Suite à une réunion au siège de la daïra d’Oued Tlélat organisée par les autorités locales, où ont pris part le chef de daïra et le P/APC d’Oued Tlélat, décision a été prise, explique un communiqué de la wilaya, «de constituer une commission mixte composée de cadres de la commune, des services de la daïra et des services de sécurité (représentés par la police et la gendarmerie)», et ce, afin de mieux lutter contre la prolifération anarchique du commerce informel qui gangrène les trottoirs et entache l’aspect esthétique de cette commune.
S’il y a une chose (parmi quelques autres) de salutaire qui puisse advenir à l’Algérie en 2025, c’est bien de voir la culture renaître enfin de ses cendres.
Du 15 au 26 décembre, plusieurs opérations de nettoyage menées par la cellule de l’environnement rattachée à la wilaya d’Oran ont eu lieu, et ce, en vue d’embellir les espaces publics, quartiers, espaces verts et autres axes routiers.
Selon toute vraisemblance, le plan d’action (2020-2024) initié par les pouvoirs publics en vue de redynamiser le secteur de la mine et lui permettre de faire fructifier, significativement, la croissance nationale commence à porter ses fruits.
Avec un décalage de quelques mois, le festival de la musique et de la chanson oranaise, placé sous le slogan «Notre patrimoine, notre identité», honore son rendez-vous annuel à El Bahia pour l’année 2024.
En 2011, de nombreux Syriens ont décidé de prendre le chemin de l’exil, quand Bachar Al Assad a réprimé dans le sang les manifestants qui demandaient son départ pendant la période des Printemps arabes.
Voilà près d’un mois que la colère de la société civile marocaine, et même du peuple marocain dans son ensemble, ne s’est pas déridée. La raison ? L’accostage, la première semaine de novembre dernier, d’un navire de guerre israélien au port de Tanger en vue de son ravitaillement.
Les mentalités rabougries ont décidément la peau dure. A Oran, dans l’une des artères les plus prisées du centre-ville, en l’occurrence l’avenue Larbi Tebessi (ex Loubet), de clinquants cafés, dotés de majestueuses terrasses, ont ouvert les uns après les autres au cours de ces dernières années.
Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, la Direction de distribution de Sonelgaz d’Oran a invité ses clients, en cette période automnale où on enregistre des baisses de température, «à faire preuve de vigilance dans l’utilisation du gaz naturel et de tous les appareils fonctionnant avec cette énergie».
Au mois de janvier prochain, cela fera 70 ans que Didouche Mourad, l’une des figures emblématiques de la Révolution algérienne, est mort, à peine quelques semaines après le déclenchement de la guerre de Libération nationale.
Mention spéciale du jury lors de la dernière édition du Festival international du film arabe d’Oran, le film-documentaire The Captain, du cinéaste tunisien Houssem Sansa, a fait mouche auprès des spectateurs de la cinémathèque d’Oran tant il les a plongés dans le fin fond du Sahara tunisien, plus précisément à Gabès.
La réalisatrice égyptienne, Aya Tallah Youssouf, nous fait voir le quotidien de Samar, cette femme qui, en 2011, sa vie avait basculé dans le chaos après que son mari violent l’ait aspergée d’acide.
L’archevêque d’Alger, Msg Jean-Paul Vesco, vient d’être créé cardinal par le pape François, une création qui prendra effet le 8 décembre prochain, à l’occasion de la prochaine célébration du consistoire qui aura lieu au Vatican.
Flight 404 du réalisateur égyptien Hani Khalifa a été projeté lundi dernier au cinéma Es-Saada (ex-Colisée). Ghada est à présent une nouvelle femme, ayant définitivement tourné le dos à son passé ombrageux, fait de fricotage avec le Milieu et de prostitution de luxe.
Lundi dernier à 16h a été projeté à la cinémathèque d’Oran Le dernier bouquiniste de Hadj Fitas et Abderrahmane Mostefa, un film qui braque ses caméras sur la fameuse rue Audebert, au tout début du boulevard Emir Abdelkader où le célèbre bouquiniste d’Oran, celui qu’on appelle affectueusement Ammi Moussa, y a officié pendant près d’une vingtaine d’années.