Emouvante sans être pour autant larmoyante, la pièce L’ami de la dernière minute, qui revient sur l’histoire des 7 moines de Tibehirine et de leur mort tragique en 1996, est jouée par 14 comédiens, tous amateurs, mais qui ont donné le meilleur d’eux-mêmes tant et si bien qu’une émotion sans pareille s’est répandue dans le rang du public.
Originale que l’initiative entreprise par le théâtre régional d’Oran Abdelkader Alloula : il est possible désormais à n’importe qui, et où qu’il se trouve dans le monde, en simplement cliquer sur un lien, faire une visite virtuelle à 360° de ce théâtre, classé, rappelons-le, comme monument national par le ministère de la culture depuis plus d’une année.
L’établissement hospitalier universitaire 1er Novembre 1954 d’Oran a abrité, samedi et dimanche dernier, le 4ème forum de dimension internationale portant sur le thème «des tumeurs crânienne, maladies vasculaires, endoscopie chirurgicale, neurochirurgie pédiatrique, intelligence artificielle et maladie de Parkinson».
Mohamed Bensalah, l’homme aux multiples casquettes, étant tout à la fois professeur universitaire, chercheur, cinéaste, journaliste et critique de cinéma, celui qui n’a eu de cesse, pendant de longues décennies, à enrichir le débat intellectuel algérien par le truchement de nombreuses conférences et autres contributions publiées dans les différents journaux, est décédé, dimanche dernier, à l’âge de 80 ans, après s’être battu pendant de longues années contre une douloureuse maladie.
Créé en décembre 2021 pour rendre hommage au Professeur Hadj Miliani, disparu la même année, le collectif des journées littéraires d’Oran organise, du 29 juin au 5 juillet prochain, sa troisième édition, qui jettera son dévolu sur la Révolution algérienne, et ce, dans le cadre des commémorations du 70e anniversaire du déclenchement de la guerre de libération nationale.
Le Salon CosmeOran, dédié à la beauté et aux cosmétiques, s’ouvre aujourd’hui au centre des conventions d’Oran Mohamed Benahmed, et ce jusqu’au 8 juin prochain. Organisé par l’équipe Cosmetica, ce Salon, nous explique-t-on, se veut plus qu’une simple exposition, car il se présente comme «une véritable célébration de la beauté, de l’innovation et de l’inspiration, illuminant la région ouest de l’Algérie».
N’était la prompte intervention des éléments de la Protection civile, dans l’après-midi de samedi dernier, il en serait fini de l’emblématique magasin Disco Maghreb, celui qui attire tous les jours des dizaines et des dizaines de touristes, autant nationaux qu’étrangers.
La cellule de l’environnement affiliée à la wilaya a procédé, du 25 au 31 mai dernier, à l’enlèvement de 200 tonnes de déchets en tous genres et plus de 2000 sachets en plastique, à travers les différentes communes de la wilaya d’Oran.
De mémoire d’Oranais, il est très rare que le Centre des conventions Ahmed Benahmed connaisse un engouement pareil que celui de la 25e édition du Salon international de l’artisanat dont la clôture a eu lieu hier lundi. Cette manifestation, qui met sous le feu des projecteurs le travail minutieux des artisans et autres designers, est organisée, cette année, pour la première fois à Oran.
Interrompu depuis 2018, le Festival d’Oran du film arabe fera son grand come-back cette année à la grande joie des cinéphiles.
Formant un trio avec le contrebassiste Aldo Capasso et le batteur Ruben Bellavia, Eleonora Strino, guitare à la main, a enchanté les mélomanes oranais en reprenant plusieurs morceaux de jazz manouche, parsemés néanmoins de touches italiennes, plus particulièrement celles de Naples, sa ville natale.
Un malencontreux incident a eu lieu, hier matin, à l’école Souiyeh Raho de la commune de Hamou Boutlélis (Oran) quand, à 8h38, une partie de la toiture d’une classe de cours, d’une surface de 4m2, s’est effondrée, ce qui a occasionné des blessures à six élèves, parmi lesquels un garçon et une fille ont été plus ou moins sévèrement touchés.
Un film mettant sous les feux des projecteurs la grande diva algérienne Hasna El Becharia a été projeté mercredi dernier à l’Institut français d’Oran, en présence de la réalisatrice Sara Nacer.
Dans le cadre de la mise en œuvre des différents programmes liés au raccordement de l’électricité et du gaz de ville aux projets de logements nouvellement achevés ou en cours de constructions, la Direction de distribution de la Sonelgaz d’Es Senia a supervisé, ces jours-ci, le raccordement de plus de 24 projets totalisant en tout 11 000 logements, tous types confondus, parmi lesquels il y a les 4000 Logements AADL, 7270 Logements appartenant à l’OPGI, 1000 Logements à Chehaïria (Aïn El Bia), 900 logements socio-locatif, 300 à la résidence El Chahid Mahmoud, 200 Hassi Amer, 800 à Sidi Ben Yabka, 2600 à Aïn El Beida, sans compter les 423 logements promotionnels aidés.
Thurath, la revue du Centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle (Crasc) a consacré son dernier numéro (juillet-décembre 2023) «à la musicologie au Maghreb dans le contexte colonial», avec pour approche, les travaux laissés par l’ethnomusicologue Jules Rouanet, revisités pour la circonstance.
Le chanteur et pianiste martiniquais, Maher Beauroy, accompagné de sa bande, étaient de passage à Oran, samedi dernier, où ils ont offert au public un show musical des plus époustouflants.
Quelle fabuleuse manière que de célébrer, la semaine dernière, la Journée nationale des personnes aux besoins spécifiques, que de faire monter sur les planches du Théâtre régional d’Oran des comédiens talentueux, non-voyants et malentendants, pour interpréter une pièce de haute facture, en l’occurrence l’Antigone de Sophocle.
l Ce Ramadhan 2024 à Oran, pareillement à ceux des années précédentes, réserve une place de choix à la culuture.
Il ne suffit pas, à l’avènement du mois sacré, d’observer le jeûne en ne mangeant pas du matin au soir, encore faut-il être imprégné par un esprit d’altruisme, et de facto, se montrer solidaire et bienveillant à l’endroit de celles et ceux que la paupérisation et l’inflation broient au quotidien
En signe de commémoration et par devoir de mémoire, le théâtre régional d’Oran a décidé de dédier toute sa programmation du mois de mars au grand dramaturge algérien Abdelkader Alloula lâchement assassiné en 1994 par des terroristes intégristes.