Du 2 au 6 juillet prochain aura lieu la 4e édition des journées littéraires d’Oran, un événement initié en 2021, suite à la disparition de l’universitaire et chercheur Hadj Meliani, et cela afin de perpétuer sa mémoire et rester fidèle à sa volonté farouche de faire d’Oran un pôle culturel digne de ce nom.
Khaled Boudaoui, qu’on ne présente plus, est cet Algérien téméraire qui, lorsqu’est apparu dans sa vie une terrible maladie, en l’occurrence un cancer, plutôt que de courber l’échine et faire profil bas, a décidé au contraire de célébrer la vie, se battre, quitte à le faire contre vents et marées.
Le 1er décembre prochain, nous célébrerons le quarantième anniversaire de la disparition de M’hamed Issiakhem, cet artiste écorché-vif qui a marqué d’une empreinte indélébile la culture et l’art algériens. Compagnon de route de Kateb Yacine et ce depuis les années 1950 à Paris, ayant fait avec l’auteur de Nedjma les quatre cents coups et même davantage, la vie d’Issiakhem est solidement liée aux trois premières décennies de l’Algérie indépendante.
Dans le monde, le cinéma ne sert pas seulement à divertir les foules, les confinant dans des salles obscures chauffées ou climatisées (selon qu’on soit en hiver ou en été) et les gavant de pop-cornes et de sodas plus sucrés que le sucre.
Un musée virtuel dédié aux œuvres de M’hamed Issiakhem est en cours de préparation et devrait être lancé le 1er décembre prochain sur le site «missiakem.net», soit à l’occasion de la célébration du 40e anniversaire de la disparition de ce grand artiste-peintre algérien. Par un simple clic, les internautes pourront apprécier un total de 113 œuvres de M’hamed Issiakhem, cet artiste écorché vif, ayant eu une vie à la fois riche et tumultueuse.
C’est aujourd’hui que débutent les épreuves du baccalauréat de la session juin 2025 où sont attendus pas moins de 850 000 candidats inscrits qui concourront dans les filières des sciences expérimentales, des lettres et philosophie, l’art, langues étrangères, mathématiques, math-techniques, économie et gestion, etc. Les épreuves, qui s’étaleront sur cinq jours, soit jusqu’au 19 juin, auront lieu dans quelque 3000 centres d’examen disséminés à travers les différentes wilayas, qui ouvriront leurs portes aux élèves dès 7h du matin. Comme chaque année, le paquet est mis pour assurer le bon déroulement des épreuves et éviter toute mauvaise surprise.
Le centre-ville de Aïn El Turk, dans la wilaya d’Oran, a été le théâtre, hier aux aurores, d’un spectaculaire glissement de terrain, survenu sur un site attenant à la place du 20 Août, appelée aussi «rond-point El Chems».
Près de 30 kg de cocaïne ont été saisis à Oran lors d’une opération coup de poing, menée, ces derniers jours, par les unités du service régional de lutte contre le crime organisée de la wilaya d’Oran et qui a permis le démantèlement d’un réseau criminel, actif à l’échelle internationale.
La disparition, avant-hier, du réalisateur algérien Mohamed Lakhdar-Hamina, alors âgé de 95 ans, a provoqué une onde de choc dans le monde culturel. Les hommages, sur la Toile n’ont eu de cesse de pleuvoir, provenant certes de personnalités liées à la culture et au septième art, mais aussi de simples cinéphiles, saluant en Mohamed Lakhdar-Hamina cet homme qui, en 1975, a été le premier du monde arabe et du continent africain à avoir pu décrocher la Palme d’or au Festival de Cannes, et cela à une époque où le cinéma était à son âge d’or et où les réalisateurs de génie étaient nombreux.
La disparition, hier matin à l’hôpital de Rouiba, du journaliste et homme de culture Nordine Azzouz, à l’âge de 64 ans, a plongé la corporation journalistique algérienne dans la tristesse et le désarroi.
En la personne du ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Youcef Belmehdi, l’Algérie était présente, hier au Vatican, à la messe inaugurale du pontificat du nouveau pape Léon XIV, élu, rappelons-le, le 8 mai dernier.
Lors de sa visite, jeudi dernier, dans la wilaya d’Oran, le ministre de la Santé, Abdelhak Salhi, a déclaré que fort des nouvelles infrastructures inaugurées ces derniers temps à travers tout le territoire national, ce sont en tout 10 000 lits supplémentaires qui viennent renforcer la couverture sanitaire, et cela sans compter les équipements, qui se veulent appartenir aux dernières technologies de pointe, et pour lesquels l’Etat a alloué des sommes considérables.
Suite à la disparition, jeudi dernier, de l’ancien commis de l’Etat Hamid Sidi Saïd à l’âge de 85 ans, les hommages sur la Toile n’ont eu de cesse à pleuvoir, saluant le départ d’un homme intègre qui a consacré sa vie à défendre ses principes, promouvoir la culture et à participer au développement local. Hamid Sidi Saïd a été, par trois fois, wali dans les années 1980, tour à tour à Tizi Ouzou, Constantine et enfin Annaba avant d’être, sous le gouvernement Mouloud Hamrouche (1989), nommé deux fois ministres, celui de la Poste et des Télécommunications, puis de la Santé.
L’UNRWA (Office de secours et de travaux de l’ONU pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient) a tiré la sonnette d’alarme, avertissant que si le blocus humanitaire, de rigueur depuis plus de neuf semaines, devait davantage se poursuivre, il causerait des dommages irréversibles à d'innombrables vies» palestiniennes.
Le nouveau souverain pontife, l’Américain Robert Francis Prevost, élu le jeudi 8 mai dernier en qualité de 267e pape de l'Eglise catholique sous le nom de Léon XIV, nourrit, du moins spirituellement, des liens affectifs avec l’Algérie.
Le 1er Novembre 1954 a démarré le 8 Mai 1945», aimait à dire Hocine Aït Ahmed, une journée supposée au départ être celle de la liesse du fait de la victoire des Alliés sur la horde nazie, mais qui a finalement tourné au drame en Algérie, quand des milliers de personnes, sorties certes pour fêter la capitulation des Allemands et des fascistes (eux qui les ont combattus à Monte Cassino et ailleurs), mais aussi réclamer la libération de Messali Hadj et, partant, exiger l’indépendance du pays, se sont vues prises à partie par la soldatesque coloniale, quand un des leurs a osé arborer le drapeau algérien.
Tombée avant-hier, la nouvelle avait de quoi affliger tout un chacun : le CDES, celui d’Ibn Khaldoun (Miramar) et Sophia (rue Larbi Ben M’hidi) ferment définitivement à partir du 30 juin prochain. Une fermeture motivée par une crise financière aiguë du fait de la chute considérable, notamment depuis la période du Covid, du nombre d’abonnés de ces deux hauts lieux de culture.
La réalisatrice Taghzout Ghezali était à Oran, ces derniers jours, pour la projection de son film Des hommes libres consacré à l’un des piliers de la littérature algérienne, Kateb Yacine.
Dans un message de félicitations adressé aux travailleurs algériens à l’occasion de la célébration du 1er Mai, le président de la République, Abdelmajid Tebboune, a réaffirmé son intention de consolider davantage les acquis de celles et ceux du monde du travail, et cela à plus forte raison que les engagements de l’Etat – comme les augmentations des salaires des travailleurs, une large révision des grilles salariales, des régimes indemnitaires et des allocations et pensions de retraite, sans oublier l’allégement significatif des charges fiscales – «ont été concrétisés».
Le glissement de terrain survenu la nuit de samedi à dimanche dans le quartier Les Planteurs, plus précisément au lieu-dit Ard Chabbat et qui a provoqué la mort de quatre personnes, issues d’une même famille, a résonné comme une véritable onde de choc, non seulement à Oran, mais dans tout le reste du pays.