La énième agression de Ghaza par l’occupant israélien n’est visiblement pas un simple acte de vengeance en réaction à l’opération «Toofan Al Aqsa», menée le 7 octobre dernier par des combattants du Hamas palestinien. L’opération vise un autre objectif : la réoccupation de la Bande de Ghaza, placée sous l’autorité palestinienne, suite aux Accords d’Oslo en 1993 et abandonnée par Israël et ses colons depuis la seconde Intifada en 2005.
Pour le trente-deuxième jour consécutif, l’armée israélienne a poursuivi ses raids aériens sur la Bande de Ghaza causant encore plus de saccage et de morts. Des quartiers entiers ont été rasés dans le nord de Ghaza, mais aussi dans la partie sud de l’enclave, à DirBalah, Khanyounes, Noussirat, Barridj, Maghazi et dans l’agglomération de Zahra, ont rapporté, hier, des médias palestiniens.
La diplomatie américaine accentue la pression sur l’Autorité palestinienne pour lui faire jouer un rôle important après la fin de la guerre à Ghaza. Anthony Blinken, le secrétaire d’Etat américain, l’a encore signifié au président Mahmoud Abbas, lors d’une entrevue qui a réuni les deux hommes à Ramallah, dimanche dernier.
En commettant des crimes barbares à l’encontre des populations civiles de Ghaza depuis le 7 octobre dernier, la question de la responsabilité pénale d’Israël devrait aujourd’hui être soulevée.
C’est dans un hémicycle clairsemé que le projet de loi relatif à la presse écrite et électronique a été débattu hier en plénière, après sa présentation par le ministre de la Communication, Mohamed Laâgab.
L’environnement numérique est un espace en constante évolution, présentant à chaque fois de nouveaux défis et opportunités pour la protection des droits et des libertés. Cela ne peut se faire qu’à travers l’établissement de tout un arsenal réglementaire.
Le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, a déclaré, hier à Alger, que l’Algérie était profondément attachée à la défense des causes et des intérêts de l’Afrique, tout en insistant sur le droit du peuple palestinien à exercer pleinement tous ses droits, a rapporté l’agence APS.
Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Ahmed Attaf, a été reçu, hier à Bucarest, dans le cadre de la visite de travail qu'il effectue en Roumanie, par le président du Sénat roumain, Nicolae Ciuca, a indiqué un communiqué du ministère.
Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a reçu, hier, le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), M. Abdelali Hassani, à la demande de ce dernier, indique un communiqué de la Présidence de la République.
L’armée d’occupation israélienne a, dans la nuit de dimanche à hier, intensifié ses raids aveugles et meurtriers sur la Bande de Ghaza, alors que le nombre de morts, depuis le 7 octobre dernier, a dépassé le seuil macabre de 10 000 civils palestiniens massacrés.
L’armée d’occupation israélienne sort, depuis le début de sa nouvelle agression contre la Bande de Ghaza, son arsenal militaire sophistiqué fourni particulièrement par les Etats-Unis.
Les violentes images de bombardements des rares écoles, transformées en refuges pour la population civile, ont fait des dizaines de milliers de morts. Jour et nuit, la machine de guerre israélienne n’a épargné ni les habitants qui fuyaient les tirs intensifs, ni les ambulances transportant des blessés, ni les hôpitaux où les médecins travaillent dans des conditions extrêmes, ni les journalistes bien identifiés, ni le personnel humanitaire de l’ONU qui assure la prise en charge des civils.
Alors que la situation était déjà dramatique avant le 7 octobre dans l’enclave de Ghaza, frappée par un blocus depuis de nombreuses années, les conditions se sont encore dégradées ces dernières semaines sur le marché du travail. Les Ghazaouis, confrontés depuis longtemps à des taux élevés de pauvreté, de vulnérabilité et à l’un des taux de chômage les plus élevés au monde, atteignant 46,4% au deuxième trimestre 2023, subissent de plein fouet les conséquences des attaques israéliennes sur le plan social. En effet, au moins 61% des emplois, soit 182 000 emplois ont été perdus à Ghaza depuis le début de la guerre.
Pour les esprits crédules qui se sont laissé abusés consciemment ou non, dans la guerre d’extermination livrée par l’entité sioniste au peuple palestinien, à Ghaza et dans les territoires palestiniens occupés depuis un mois, nourris par la propagande sioniste de la rhétorique victimaire invoquée par ses alliés, avocats commis d’office, pour justifier les crimes et l’impunité dont jouit l’entité israélienne, il apparaît de plus en plus difficile de continuer à se draper du voile de la duplicité face au projet sioniste, revisité, de reconquête des territoires concédés aux Palestiniens à la faveur des accords dits «de paix» d’Oslo de 1993.
Le Parti des travailleurs (PT), dirigé par Louisa Hanoune, appelle les hautes autorités du pays à sortir l’Algérie de la Ligue des Etas arabes et tient pour «responsables et coupables» des massacres génocidaires, à Ghaza contre les Palestiniens, les régimes arabes.
Qu’il s’agisse d’Alger, Athènes, Marseille ou Amman, les villes de la Méditerranée s’avèrent être fortement vulnérables et menacées par les changements climatiques. Le constat est établi par la communauté scientifique internationale.
Même si l’on réfute de façon récurrente l’existence d’une pénurie de médicaments, la réalité du terrain montre une toute autre réalité. Aujourd’hui, les pharmaciens impuissants, voire agacés par les perturbations récurrentes dans l’approvisionnement de centaines de traitements nécessaires pour les malades, appellent à une véritable étude sur le terrain. Cette dernière permettra de cerner le problème et diminuer l’aggravation de cette rupture, dont les causes sont parfois provoquées volontairement.
Le wali de Constantine, Abdelkhalek Sayouda, a révélé un énorme scandale qui a eu pour théâtre le CHU Ben Badis de Constantine. «Nous avons sollicité un bienfaiteur pour fournir des climatiseurs au CHU durant l’été, après les réclamations des malades dans certains services, ce qui obligeait leurs familles à ramener des ventilateurs en raison de la forte chaleur.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a présidé, hier, la cérémonie d’ouverture de l’année judiciaire 20213-2024, à la Cour suprême à Alger. De nombreux invités y étaient présents.
Toutes les assiettes foncières, non encore exploitées, seront récupérées par l’Etat sur instruction du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, ordonnée lors de l’une des réunions du Conseil des ministres.