Dans la même perspective de l’Etat algérien de se lancer dans la numérisation de tous les secteurs, la commune de Constantine prévoit une formation sur le système d’informations géographiques au profit des élus et des administrateurs.
Venant de plusieurs wilayas et organisés en coordination nationale, les protestataires dénoncent une «exclusion abusive» exercée à leur encontre par le ministère de tutelle.
Le dossier des aides octroyées aux associations sportives et culturelles a provoqué un débat houleux, dimanche dernier, lors de la tenue de la session ordinaire de l’APC de Constantine. De nombreux élus ont pointé du doigt ces subventions accordées dans le cadre du taux de 3% du budget communal de 2022.
Le projet du centre anti-cancer relevant du CHU Dr Benbadis sera-t-il livré au rendez-vous avancé par les autorités locales, à leur tête le wali de Constantine Abdelkhalek Sayouda, c’est-à-dire le 5 juillet prochain ?
Durant les cinq derniers mois, la commune de Constantine a enregistré des recettes de 105 milliards de centimes à travers la location de son patrimoine. Un chiffre qui a été avancé, en abordant le dossier du patrimoine, lors de la session ordinaire de l’APC de Constantine tenue hier matin à l’hôtel de ville du boulevard Zighoud Youcef.
En dépit des mesures réglementaires luttant contre la fraude au Bac, cette dernière persiste à tout prix. Dans la wilaya de Constantine, 4 femmes, dont une adolescente, ont été présentées devant le juge dans deux affaires différentes.
Prévus pour une reprise au début de ce mois de juin, les travaux de réhabilitation du téléphérique de Constantine peinent à démarrer réellement, après environ 15 jours de la date annoncée par le ministre des Transports.
Le secteur de la formation et de l’enseignement professionnels (DFEP) dans la wilaya de Constantine est ciblé par une grande opération d’assainissement, luttant contre toute forme de mauvaise gestion. Est-ce une chasse aux mauvais responsables ?
Après avoir fait couler beaucoup d’encre sur les dépassements signalés dans l’établissement des listes des bénéficiaires, les logements de fonction de l’université de Constantine sont désormais dans le viseur du chef de l’exécutif de la wilaya, Abdelkhalek Sayouda.
Après la sécheresse qui a causé des dégâts jamais enregistrés dans la wilaya, les dernières intempéries ont apporté un coup de grâce à une production qualifiée de catastrophique.
Quel est l’impact d’une unité industrielle comme la cimenterie de Hamma Bouziane sur l’environnement et la santé des citoyens ? Cette épineuse problématique a fait l’objet d’une communication pertinente animée par le Pr Mohamed-Habib Belmahi, doyen de la faculté de génie des procédés à l’université Salah Boubnider, à l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement.
Comment évaluez-vous le traitement des eaux en Algérie ? Je tiens à préciser qu’en tant que spécialiste en génie chimique, j’ai pris cet axe de recherche, car il est très facile et ne demande pas beaucoup de moyens. Ce que je sais c’est qu’en Algérie, il n’y a aucun problème à signaler dans la production de l’eau potable classique.
Beaucoup d’efforts et de moyens sont déployés par l’État algérien pour l’émergence du secteur de l’agriculture, qui vient en deuxième position après les hydrocarbures avec 14,7 % du produit intérieur brut. Mais cela reste insuffisant et loin des objectifs envisagés par les pouvoirs publics, pourtant l’Algérie était nommée à une certaine époque «le grenier de l’Europe». Pourquoi ça ne décolle pas et où réside exactement le problème ?
Le phénomène des points noirs, causant de nombreux problèmes, persiste toujours à Constantine où les services de la Société de l’eau et de l’assainissement (Seaco) de la wilaya ont recensé 117 points. Ce chiffre a été annoncé, hier, par Saber Seraoui, directeur exploitation-assainissement de la Seaco, lors d’une rencontre organisée à la faculté Génie des procédés de l’université Salah Boubnider Constantine 3, à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de l’environnement sous le slogan «L’université dans la préservation de l’environnement et la santé».
Par une journée ensoleillée du mois de mai, après une semaine de froid et de pluies, nous avons pris la route vers le lotissement de Sidi Amor, situé entre les communes d’El Khroub et Ibn Badis (El Haria), à environ 25 km au sud-est de Constantine. Un lieu calme, paisible et surtout propre.
Huit ans après sa fermeture, le souterrain de la place du 1er Novembre au centre-ville de Constantine sera finalement rouvert le 5 juillet prochain.
La commune de Constantine est en train de préparer un dossier pour la création de nouvelles délégations de secteur. Telle est l’affirmation du maire de Constantine Charaf Bensari, lors de la récente session extraordinaire de l’APC tenue à l’Hôtel de ville.
L’Institut communal des arts de Constantine, connu par le Conservatoire Abdelmoumen Bentobbal, situé au boulevard Rabah Bitat, ouvrira enfin ses portes le 5 juillet prochain, après une fermeture d’environ 7 ans.
Le premier compte les dossiers sur le chaâbi, le malouf, le ayaye, le sraoui des Aurès, l’achewiq de la Kabylie, le hawfi et le haouzi, alors que le second touche l’habit kabyle et ses bijoux et celui des Touaregs. En dépit de sa diversité culturelle et la richesse de son patrimoine du Nord jusqu’au Sud, de l’Est à l’Ouest, l’Algérie ne compte aujourd’hui qu’un total de 11 dossiers sur le patrimoine déposés au niveau de l’Unesco, dont un est en attente de validation.
En dépit des efforts déployés par les services de la commune de Constantine, le dossier de la revalorisation du patrimoine communal reste toujours d’actualité et remonte à la surface à la moindre occasion. Ce dossier embarrassant pour les communes qui cherchent des sources de financement a été débattu dans l’après-midi de mercredi dernier lors de la session extraordinaire de l’APC de Constantine. Tout a commencé lors de la présentation du compte administratif de l’exercice budgétaire 2022. Un élu intervient pour soulever la diversité des chiffres présentés, surtout en matière de réalisation. Il a estimé que la commune a traversé un grand chemin, mais elle reste loin des ambitions de l’Assemblée qui visait plus loin, surtout en ce qui concerne le secteur de l’éducation, la jeunesse et les sports et les équipements. «Pourquoi ne pas consommer notre surplus budgétaire et attendre l’aide la wilaya ?» s’est-il interrogé. En réponse, le directeur des finances de la commune a avoué la faiblesse du budget communal qu’il faut rattraper avec la revalorisation du patrimoine.