Lancée il y a une semaine, la grève des médecins résidents s’étend progressivement à plusieurs wilayas, prenant une envergure nationale. À Constantine, le mouvement a atteint une adhésion totale, avec un taux de 100 % enregistré dans les principaux établissements hospitaliers de la région, tels que le CHU Dr Benbadis, l’hôpital de Didouche Mourad, la pédiatrie d’El Mansourah et la maternité de Sidi Mabrouk.
Après une longue attente de la population, la liste des bénéficiaires de logements à caractère social dans la commune de Hamma Bouziane, élaborée par les services de la daïra, sera rendue publique ce mercredi.
Deux individus ont été déférés devant le parquet compétent d’Aïn Azel, dans la wilaya de Sétif, à la suite d’une opération ayant permis la saisie de 2 634 capsules de substances psychotropes, d’une demi-plaque de drogue, ainsi que d’armes blanches prohibées.
Face à la dégradation croissante de leurs conditions de travail, les médecins résidents exerçant dans les hôpitaux de la wilaya de Constantine ont entamé une grève illimitée à partir du mardi 26 novembre.
En visite d’inspection dans la wilaya de Constantine, jeudi dernier, le ministre de la Santé, Abdelhak Saïhi, a exprimé un optimisme marqué quant à l’avenir du secteur de la santé dans la région.
La nouvelle année judiciaire 2024-2025 a été officiellement ouverte, jeudi 28 novembre, au siège de la Cour de Constantine, situé sur la route de la cité Zouaghi.
Depuis son émergence, le cinéma s’est affirmé comme un moyen important d’influence plus qu’une simple distraction. Le cinéma de nature historique joue un rôle déterminant sur les plans politique, culturel et éducatif.
Comme bien des aspects liés à l’identité algérienne, le cinéma national a vu le jour dans le sillage de la guerre d’indépendance, en réponse aux impératifs de résistance et de mémoire.
Avant de plonger dans les subtilités de l’évolution du film historique en Algérie, une question fondamentale se pose : quelle est la portée du cinéma historique algérien ? La réponse qui s’impose d’emblée est que ce genre cinématographique constitue un vecteur puissant pour immortaliser les moments marquants de notre histoire. Il éclaire les péripéties de la révolution et de la colonisation, tout en renforçant les liens entre les générations et leur héritage culturel.
«Le sang. Reprend racine. Oui, nous avions tout oublié. Mais notre terre. En enfance tombée. Sa vieille ardeur se rallume. Et même fusillés, les hommes s’arrachent la terre. Et même fusillés, ils tirent la terre à eux comme une couverture. Et bientôt les vivants n’auront plus où dormir.»
L’insécurité routière continue de jeter un voile de deuil sur les routes algériennes, privant de nombreuses familles de leurs proches.
La lutte inlassable contre le trafic et la commercialisation de substances psychotropes se poursuit dans la wilaya de Sétif, mobilisant les forces de sécurité face à ce fléau qui gangrène la société.
C’est sous un ciel clair, malgré une fraîcheur matinale en ce mardi 19 novembre, que l’équipe médicale du secteur de la santé a investi la mechta d’El Hmaïde. Nichée dans une zone rurale à 15 km au sud-ouest de Constantine, cette localité de la commune de Aïn Smara, paisible et isolée, a été le théâtre d’une initiative sanitaire visant à rapprocher les soins des populations démunies.
La cybercriminalité s’impose aujourd’hui comme une menace croissante, alimentée par l’essor fulgurant des réseaux sociaux et le développement accéléré de l’intelligence artificielle (IA).
Sous les projecteurs du Théâtre régional Mohamed-Tahar Fergani de Constantine, s’est tenue, jeudi dernier, la première représentation de l’épopée théâtrale Les Révoltés. Inscrite dans le cadre des célébrations marquant le 70e anniversaire de la Révolution du 1er Novembre 1954.
De nombreux spécialistes soutiennent que l’Algérie est appelée à s’inspirer des expériences des pays du bassin méditerranéen qui ont réussi à transformer leur patrimoine en ressource touristique.
Enseignant-chercheur à l’Université de Sfax en Tunisie, le Dr Mohamed Souissi mène des projets de recherche en partenariat avec l’Université Lyon II, en France. Centrées sur les enjeux du tourisme, ces recherches ont donné lieu à des publications et à l’organisation de colloques. Rencontré en marge du Colloque international sur le tourisme et le patrimoine urbain dans la région méditerranéenne organisé, les 11 et 12 novembre, à l’université Mentouri de Constantine, il nous a livré son point de vue sur l’importance de la médina comme patrimoine inestimable et sur la démarche patrimoniale mise en œuvre pour intégrer la médina de Tunis au circuit touristique. Il revient ici sur le processus par lequel cette intégration a été réalisée en Tunisie avec l’appui des acteurs locaux.
Enseignante à la faculté des sciences de la terre, de la géographie et de l’aménagement du territoire de l’université des Frères Mentouri Constantine 1, le Dr Lamia Bouldjemar aborde dans cet entretien la législation régissant la préservation du patrimoine urbain en Algérie.
Les riverains précisent que la voie a été aménagée juste pour desservir les propriétés d’anciens responsables de la municipalité et d’habitants « riches », alors que les autres citoyens en demeurent privés.
Les talents et savoir-faire algériens dans divers domaines de production ont récemment brillé lors du Salon national de la production et de l’exportation, tenu du 5 au 7 novembre au complexe Zénith-Ahmed Bey de la ville de Constantine.