Promu général-major le 5 juillet 2019, alors qu’il était chef de l’état-major de la Gendarmerie nationale, désigné à la tête de la gendarmerie le 24 juillet 2019, après la fuite du général Ghali Beleksir et sa famille, puis admis à la retraite au mois d’août 2021, le général-major Abderrahmane Arar vient d’être rattrapé par la justice.
La secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, a été condamnée jeudi à une amende de 30 000 DA et un dédommagement estimé à 2 millions de dinars au titre de réparation du préjudice subi par la plaignante Nadia Labidi, ancienne ministre de la Culture. La défense de Mme Hanoune compte faire appel.
Renvoyé devant le pôle pénal financier de Sidi M’hamed à Alger, le procès de Noureddine Bedoui, dernier Premier ministre sous l’ère du défunt président déchu, Abdelaziz Bouteflika, a été reporté au 24 mai. Il comparaîtra en tant qu’ancien wali de Constantine, avec son successeur à ce poste, Abdelmalek Boudiaf pour «abus de fonction», «dilapidation de deniers publics» et «octroi d’indus avantages», liés au marché de réalisation de l’aéroport de Constantine.
Dans un communiqué rendu public hier, le ministère de la Santé est sorti de son silence pour démentir l’information qui, selon lui, remonte à 2022.
Chef de service des maladies infectieuses à l’hôpital de Tamanrasset et spécialiste des maladies tropicales, le Dr Elias Akhamouk affirme que la tuberculose «est, certes, contagieuse, mais elle se traite facilement».
Après quatre renvois, le procès de la secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT) s’est ouvert jeudi dernier devant le tribunal de Sidi M’hamed à Alger. L’affaire, qui remonte à 2015, concerne une plainte déposée contre Mme Hanoune, alors députée, par l’ancienne ministre de la Culture, Nadia Labidi, pour «diffamation» à la suite de ses déclarations sur «des marchés que la ministre a accordés à la société dont elle était actionnaire et d’autres faits liés à sa gestion».
Confirmation de la peine de 12 ans de prison infligée à Saïd Bouteflika, Ali Haddad et Ahmed Mazouz, de celle de 15 ans contre Mahieddine Tahkout et de 10 ans contre les frères Kouninef (Réda, Tarek et Karim).
Le sort des 72 prévenus jugés dans le cadre de l'affaire dite des SMS, au centre de laquelle se trouve Saïd Bouteflika, frère conseiller du défunt Président déchu, sera connu aujourd'hui.
La défense des prévenus poursuivis dans le cadre du procès de l’affaire dite des SMS a, dans sa majorité, déconstruit les accusations, alors que celle de Saïd Bouteflika a présenté un chapelet de ce qu’elle a estimé être de «graves violations de la procédure» dans ce dossier.
La défense de Saïd Bouteflika a dénoncé des irrégularités dans l'instruction.
Le procès de l’affaire dite des SMS échangés entre Saïd Bouteflika et des hommes d’affaires a repris hier matin devant la chambre pénale près la cour d’Alger. Ce deuxième jour a été marqué par l’audition de nombreux prévenus. D’abord, Djallal Djouadi, neveu de Mahieddine Tahkout, accusé d’avoir fait sortir 69 voitures du parc de Cima Motors, alors que celle-ci était sous administrateur judiciaire. Il nie les faits et déclare : «Ils m’ont accusé sans aucune preuve.
En fin de journée et après la demande de l’AJT (Agent judiciaire du Trésor) à tous les prévenus condamnés du paiement solidaire de 500 milliards de dinars, en dédommagement du préjudice subi, le représentant du ministère public et en moins de 20 minutes a résumé les faits de cette affaire.
Le procès en appel de l’affaire dite des SMS échangés entre Saïd Bouteflika, frère et conseiller du défunt Président, et des hommes d’affaires a repris hier à la chambre pénale près la cour d’Alger, avec l’audition des nombreux prévenus.
Six mois après cassation par la Cour suprême du verdict de la chambre criminelle près la cour d’Alger, le procès du général-major à la retraite Ali Ghediri a été enfin fixé au 16 mai prochain.
Le procès en appel de l’affaire dite des SMS a repris hier avec les plaidoiries de la défense relatives aux vices de forme. Bon nombre d’entre eux ont fait état devant la présidente de la chambre pénale près la cour d’Alger, de «violations» de la procédure.
En dépit de son insistance et d’une longue bataille, le collectif des avocats constitué dans l’affaire dite des SMS, dans laquelle est poursuivi Saïd Bouteflika et de nombreux hommes d’affaires, n’a pas pu arracher auprès de la présidente de la chambre pénale près la cour d’Alger, le report (le quatrième) du procès.
La chambre pénale près la cour d’Alger a statué, hier, sur le sort des 37 prévenus poursuivis en appel dans l’affaire Sonatrach, après sa mise en délibéré mardi dernier en fin de journée.
Baisser de rideau, tard dans la journée de mardi dernier, sur les débats du procès en appel de Sonatrach devant la chambre pénale près la cour d’Alger et le sort des 37 prévenus, dont quatre sociétés pétrolières internationales, l’italienne Saipem, le canadien SLC-Lavalin, le britannique Petrofac INC et le japonais JGC, sera tranché dimanche prochain.
Le procès en appel de Sonatrach a repris hier à la cour d’Alger avec le réquisitoire et les plaidoiries des parties civiles mais aussi de la défense. Lors de son réquisitoire, le représentant du ministère public n’y a pas été par le dos de la cuillère.
Renvoyé devant la chambre pénale près la cour d’Alger, le procès de l’affaire Sonatrach, qui regroupe plusieurs contrats impliquant BRC, SLC-Lavalin, Saipem, Petrofac, JGC et une trentaine de prévenus parmi eux trois anciens ministres, trois anciens PDG de Sonatrach et un PDG de Sonelgaz, s’est poursuivi hier avec l’audition des prévenus.