Dans une déclaration à l’issue de la condamnation d’un membre de l’Aqmi, le procureur en chef de la CPI, a qualifié le procès «d’équitable et impartial» et marque, selon lui, «une étape significative qui nous rapproche de notre objectif visant à amener les principaux responsables des atrocités commises contre la population civile à Tombouctou et dans la région à rendre des comptes».
«La situation humanitaire à Ghaza, déjà catastrophique, s’est dégradée davantage, les gens meurent, ils meurent de faim, c’est là la cruelle vérité à laquelle nous sommes confrontés», souligne Amar Bendjama, représentant de l’Algérie au Conseil de sécurité de l’Onu.
L’histoire de ces quatre Algériens détenus à la prison de Koléa (Tipasa) dont le sort va être tranchée, aujourd’hui, par les magistrats de la chambre d’accusation près la cour d’Alger, alimente les discussions entre les pensionnaires de cet établissement.
Alors que l’émission de mandats d’arrêt internationaux par la (Cour pénale internationale (CPI) contre le Premier ministre Benyamin Netanyahu et son ministre de la Défense, Yoav Gallant, est annoncée «incessante» par les médias israéliens, une ONG sud-coréenne a déposé plainte, à Séoul, contre sept dirigeants israéliens pour avoir «planifié, organisé et mis en œuvre des crimes de guerre, contre l’humanité et de génocide» à Ghaza.
Après l’Espagne, c’est au tour de Cuba d’annoncer son intention de soutenir la procédure sud-africaine contre Israël, devant la Cour internationale de justice (CIJ), pour des crimes de génocide à Ghaza.
Alors que le Premier ministre israélien annonçait, mardi dernier, les assurances de l’administration Biden pour lever les restrictions sur les livraisons d’armes à Israël, le secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken, a précisé hier que son pays «continuait d’évaluer la livraison de cargaisons de bombes de 907 kg à Israël».
Pour la première fois depuis le début de la guerre menée par Israël contre la population de Ghaza, depuis plus de huit mois, quatorze membres du Conseil de sécurité de l’Onu, ont approuvé une résolution pour un cessez-le-feu, alors que le quinzième (la Russie) s’est abstenu.
Contrairement aux trois candidates à la candidature au scrutin présidentiel, Zoubida Assoul, présidente de l’UCP (Union pour le changement et le progrès), Louisa Hanoune, secrétaire générale du PT (Parti des travailleurs), et Fatma Zohra Zerouati, présidente du parti Taj (Tadjamou Amel El Djazair), la femme d’affaires Saïda Neghza n’est adossée, officiellement, à aucun parti politique.
Moins de vingt-quatre heures après son inscription par l’Onu, sur la liste noire des Etats tueurs d’enfants durant les conflits, Israël a commis, dans la nuit de vendredi à samedi derniers, une horrible boucherie, dans un camp de réfugiés de Nuseirat.
Washington a par le passé promulgué des textes pour se prémunir des enquêtes visant ses dirigeants politiques et militaires et pour protéger ses alliés.
Pendant que la guerre génocidaire ne connaît pas de répit à Ghaza, en Cisjordanie, la situation explosive, marquée par de violentes incursions militaires, des arrestations brutales, des tueries, les agressions de colons armés sous la protection des forces de sécurité et la destruction des terres agricoles, a transformé le quotidien de la population en un véritable enfer.
Après avoir saisi la Cour pénale internationale (CPI), pour les faits de crime de guerre, contre l’humanité et de génocide, commis par Israël, à trois reprises, 2014, 2018 et 2023, l’Autorité palestinienne est revenue à la charge, avec le dépôt, lundi dernier, d’une requête devant le greffe de la Cour internationale de justice (CIJ), la plus haute juridiction de l’Onu, pour une intervention et une déclaration d’intervention en l’affaire qui oppose l’Afrique du Sud à Israël, relative à l’application de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide dans la bande de Ghaza.
En dépit de la mise en garde de la communauté internationale contre une offensive militaire à Rafah, de l’injonction de la Cour internationale de justice (CIJ) pour un cessez-le feu, Israël poursuit ses raids aériens et bloque l’accès de l’aide humanitaire.
Condamné à 3 ans de prison ferme en première instance, le dernier des détenus algériens de Guantanamo, Saïd Bakhouch, a été acquitté.
La guerre génocidaire menée par l’entité sioniste, depuis plus de sept mois, a été un facteur accélérateur de la reconnaissance de l’Etat de Palestine…
Un dispositif impressionnant d'éléments d’élite de la police et de la Gendarmerie nationale a été déployé, hier, autour et à l’intérieur du tribunal criminel de Dar El Beïda, à Alger. Des agents en civil filtrent l’accès à la salle 1, envahie dès 8h45 par de nombreuses personnes. Au rôle de cette audience, deux procès pour une même affaire.
«Voulons-nous vivre dans un monde où la loi est appliquée équitablement ou dans un monde où nous fermons les yeux et détournons le regard en raison de nos origines ?» s’est demandé hier le procureur en chef de la CPI, Karim Khan, dans une interview à un journal britannique.
Alors que le secrétaire général de l’Onu, Antonio Guterres, annonçait la saisine du Conseil de sécurité pour faire exécuter les décisions de la CIJ, Israël intensifiait les raids aériens contre la population de Rafah, faisant des dizaines de morts.
La Cour internationale de justice (CIJ) a ordonné, hier, à Israël d’«arrêter immédiatement toutes ses opérations militaires, y compris à Rafah».
Pour la première fois depuis son transfert de Libye en octobre 2004, le numéro deux du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), une organisation terroriste née en 1996, des entrailles du sinistre Groupe islamiste armé (GIA), Amari Saifi, plus connu sous les pseudonymes de Abou Haydara ou Abderrazak El Para, est apparu, hier, au tribunal criminel de Dar El Beida, à Alger. Il devait comparaître pour toutes les opérations terroristes auxquelles il a pris part de 1992 jusqu’à son transfert de Libye en octobre 2004.