Les ministres de l’Agriculture des Etats membres du Groupe des sept pays les plus industrialisés (G7) ont appelé, hier, à «la prolongation, l’entière mise en œuvre et l’élargissement» de l’accord sur les exportations de céréales ukrainiennes depuis les ports de la mer Noire.
Outre l’Algérie, d’autres Etats attendent ainsi l’accord des BRICS à l’instar de l’Iran, l’Indonésie, l’Arabie Saoudite, l’Egypte, le Zimbabwe et récemment la Tunisie. L’Afrique du Sud, qui a rejoint, pour rappel, le bloc des BRICS en 2011, et qui assure actuellement la présidence tournante des BRICS, accueillera, dans la province de Gauteng, le prochain sommet des BRICS.
Le matelas financier dont dispose le Trésor public se porte mieux, mais la prudence reste de mise, notamment avec une poussée inflationniste qui a fortement pesé à la fois sur les ménages et sur l’économie nationale. La Banque d’Algérie a décidé de réagir en prenant des mesures dont l’augmentation du taux de réserve obligatoire.
Les ministres du Climat, de l’Energie et de l’Environnement du Groupe des pays les plus industrialisés plaident, depuis la ville japonaise Sapporo, pour l’accélération du développement des énergies renouvelables et l’abandon des énergies fossiles.
Les alertes se suivent et se ressemblent concernant les risques de déclins économiques dans différentes régions du monde. Dans sa nouvelle mise à jour du rapport sur le commerce et le développement, l’agence onusienne pour le commerce et le développement Cnuced alerte sur les risques d’une «décennie perdue pour les pays en développement» à cause d’importants niveaux de surendettement.
Avec 1550 entreprises installées en Algérie, la Turquie ou Turkiye, selon la nouvelle appellation adoptée récemment, est le pays étranger qui a le plus grand nombre d’entreprises présentes dans le plus grand pays d’Afrique, affirme l’ambassadrice de Turkiye en Algérie, Mme Mahinur Ozdemir Goktas, lors du désormais traditionnel Iftar du Ramadhan organisé en collaboration avec le Conseil mondial des affaires (DTIK).
L’Algérie examine, avec des partenaires européens, les moyens et possibilités d’une exportation de l’énergie électrique par voie maritime.
Perspectives incertaines et reprise chaotique pour l’économie mondiale, décrète le Fonds monétaire international dans ses nouvelles projections livrées hier à Washington, en marge des réunions de printemps avec la Banque mondiale.
L’économie mondiale patauge de plus en plus dans l’incertitude malgré la quasi-fin de la pandémie de Covid-19. Hier se sont ouverts, à Washington, les travaux des réunions de printemps des institutions de Bretton-Woods, Fonds monétaire international et Banque mondiale, dans un climat économique mondial marqué par des perspectives inquiétantes accentuées par l’enlisement du conflit russo-ukrainien et la crise financière américaine.
La production mondiale de blé devrait connaître, selon les estimations de l’organisation onusienne pour l’alimentation et l’agriculture FAO, une légère hausse en 2023 pour atteindre 786 millions de tonnes.
Le coup de starter a été donné hier pour libérer les importations, soufflant ainsi un vent d’ouverture sur des opérations commerciales, otages depuis plusieurs mois d’un gel administratif.
Un milliard vingt-trois mille personnes travaillent dans les systèmes agroalimentaires mondiaux et près de la moitié de la population mondiale vit dans des ménages liés à ces mêmes systèmes, révèle une nouvelle étude de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).
La crise bancaire qui touche actuellement les Etats-Unis et son impact sur l’économie mondiale, pourrait être l’antichambre de la méga crise à venir. Invité hier du forum du quotidien El Moudjahed, l’auteur, expert et consultant financier et ancien gouverneur de la Banque d’Algérie, Abderrahmane Hadj Nacer est revenu sur ce que représente la crise bancaire aux Etats-Unis dans ce magma d’évènements géopolitiques tendant à redessiner la face du monde.
La gestion des finances publiques passera par le sasse d’un Haut Comité d’évaluation et d’alerte des risques budgétaires (HCRB).
L’économie mondiale passera le reste de la décennie au ralenti. Un nouveau rapport de la Banque mondiale s’attend à une baisse de la croissance de long terme qui devrait s’établir en moyenne à 2,2% jusqu’à 2030 faisant de cette décennie «celle à la plus faible croissance depuis le début du siècle».
Le feuilleton de la crise bancaire étasunienne continue avec l’annonce hier du rachat de la Silicon Valley Bank (SVB) par l’autre américaine First Citizens.
Les crédits Halal font augmenter le niveau des dépôts bancaires. Le président de l’association des banques ABEF, Lazhar Latreche, qui s’exprimait hier sur les ondes de la Radio Chaîne 3, l’affirme en annonçant «une augmentation significative» des montants de dépôts au niveau des banques, encouragée par la dynamique de la finance islamique contribuant à hauteur de 594 milliards de dinars au 31 décembre 2022.
L’incertitude est encore élevée dans le secteur financier», affirme depuis Pékin la directrice générale du Fonds monétaire international, Kristalina Geogrieva. Intervenant lors du forum sur le développement de la Chine, la cheffe du FMI appelle à rester vigilant face à cette incertitude, en notant que «les risques pour l’instabilité financière ont augmenté».
Le groupe Sonelgaz a réalisé un bilan positif durant l’année écoulée en enregistrant des exportations record qui ont atteint 217 millions d’euros en électricité, en équipements de pointe et en prestations de service et formation.
L’administration Biden s’est exprimée hier pour rétablir la confiance des investisseurs et du monde de la finance avant que la Fed n’annonce sa décision quant à la démarche à suivre pour dépasser la crise bancaire actuelle.