Le duel sino-américain continue en prenant chaque jour une nouvelle tournure. Hier, la Chine a mis en garde les pays tentés par la conclusion d’accords commerciaux avec les Etats-Unis à ses dépens.
La transformation numérique en Algérie, quel bilan ? Le think tank algérien Cercle d'action et de réflexion pour l'entreprise (CARE) est revenu dans un rapport publié cette semaine sur le virage numérique que le pays a engagé depuis 2020.
Dans un communiqué rendu public jeudi dernier, la Chambre de commerce et d’industrie algéro-française (CCIAF) déplore «fortement l’escalade relevant de la politique politicienne» en évoquant le regain de tension marquant ces derniers jours les relations entre l’Algérie et la France.
La guerre commerciale sino-américaine prend différentes tournures et touche à tous les liens commerciaux entre les deux puissances économiques. Les droits de douane réciproques imposés par les Etats-Unis, qui visaient à faire plier la Chine, n’ont pas eu les résultats escomptés.
Dans un contexte de tensions géopolitiques et de guerre commerciale, l’Organisation des Nations unies, à travers l’Organisation maritime internationale (OMI), a décidé de franchir une étape décisive dans la tarification du carbone pour le transport maritime.
Le triomphalisme de Donald Trump a fini par céder face à la réalité économique des Etats-Unis. En une semaine, le locataire de la Maison Blanche est passé d’un discours de leader invincible à celui plus conciliant d’un président plus pragmatique qui se rend finalement compte que l’économie de son pays a aussi ses fragilités.
Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald ne jure que par faire plier le géant asiatique. Selon la logique du magna de l’immobilier, il ne doit subsister que la suprématie de l’Amérique sur le monde et pour se faire le rival chinois doit céder.
Dans un contexte d’incertitudes face à l’escalade des tensions commerciales et face à la chute de la valeur du billet vert, les acheteurs se tournent vers la valeur refuge que représente l’or.
Dans cet entretien, l’écologiste et spécialiste du développement durable Karim Tedjani revient sur un aspect peu connu sur les bouleversements exercés par le système colonial sur l’agriculture en Algérie. Il s’agit, dit-il, d’une véritable entreprise de «spoliation et d’acculturation de tout un peuple».
Jusqu’à quel niveau les prix du pétrole vont-ils baisser ? C’est à cette question que la Banque d’investissement américaine, Goldman & Sachs, a répondu dans une note publiée hier en tablant sur un baril à 40 dollars dans le cas de conditions extrêmes.
Un véritable séisme a frappé hier les places boursières mondiales face au choc commercial provoqué par les nouvelles taxes américaines appliquées à plus de 180 Etats. Les Bourses à travers le monde ont fait hier un plongeon historique, alors que Trump fait montre d’inflexibilité et d’opiniâtreté en prenant le risque de bouleverser les règles de l’économie mondiale.
Le professeur en économie à l’université de Tizi Ouzou explique dans cet entretien l’impact de la décision américaine d’appliquer un droit de douane aux produits algériens à hauteur de 30%.
L’administration américaine a fini par mettre en application sa menace d’élever les taux des droits de douane aux produits étrangers franchissant le territoire étasunien.
De l’or au charbon, du pétrole au gaz, puis à l’uranium, etc., l’histoire du monde a toujours tourné autour de l’accaparement des richesses de la terre. Aujourd’hui, les grandes puissances ont trouvé une nouvelle quête leur permettant de préserver leur domination économique.
L’industrie agroalimentaire algérienne continue d’étonner le monde par ses produits de plus en plus compétitifs.
Après de longues années de léthargie et face à une inondation du marché national par les produits étrangers, la filière textiles et cuirs est en passe de connaître une renaissance et un coup de boost à travers les projets de développement et de modernisation initiés par le groupe public textiles et cuirs Getex.
L’Afrique compte 83% de la population mondiale sans accès à l’électricité. Selon la Banque mondiale, l’Afrique subsaharienne est la région la moins bien électrifiée du continent, qui compte un nombre «de 600 millions d’habitants sans électricité et sont contraints à recourir au bois de chauffage et au charbon de bois ou bien à des générateurs coûteux et polluants pour cuisiner, se chauffer ou s’éclairer dans les maisons et les entreprises».
Le président de la République a affirmé, lors de son entrevue avec des médias, que l’Algérie atteindra l’autosuffisance dans plusieurs produits, notamment «l’autosuffisance totale en blé dur en 2025».
La dette extérieure des pays en développement a atteint un chiffre record de 11 400 milliards de dollars en 2023, soit 99% de leurs recettes d’exportation.
Un chiffre d’affaires de 20 milliards de dinars a été atteint par le Holding textiles et cuirs Getex au cours de l’exercice 2024.