Pas moins de 500 participants comptent parmi les hôtes de la 11e édition du Napec, dont une vingtaine d’entreprises américaines. L’on pourrait citer la présence très remarquée du géant américain ExxonMobil à cette édition, qui marque un nouvel intérêt certain de la compagnie pour le marché algérien.
La guerre contre la spéculation n’est pas près de connaître son épilogue. Les pouvoirs publics multiplient les mesures pour rendre plus accessibles les prix des produits alimentaires, mais la réalité du marché semble encore afficher des signes de résistance.
Le Centre des conventions de la ville d’Oran accueillera, du 13 au 15 novembre, la 11e édition du North Africa Energy & Hydrogen Exhibition and Conference (Napec).
Dans son dernier rapport sur les territoires palestiniens occupés, la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement CNUCED souligne que le blocus de plusieurs décennies a «vidé l’économie de Ghaza de sa substance, laissant 80% de la population dépendante de l’aide internationale».
Le pas vers l’autorisation d’ouverture des bureaux de change en Algérie a été franchi. En effet, la Banque d’Algérie vient de détailler, dans le dernier Journal officiel les conditions de constitution et d’ouverture des bureaux de change.
Sur la base d’un prix de référence du baril à 60 dollars, le projet de loi de finances 2024 (PLF-2024) – que nous avons pu consulter – prévoit un cadre macroéconomique marqué par une hausse du niveau des dépenses publiques devant atteindre 15 275,3 milliards de dinars, contre 14 706,8 milliards en 2023.
Un rapport conjoint, publié hier par l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA) et l’Alliance mondiale pour les énergies renouvelables (Globlal Renewables Alliance), avertit que la transition énergétique «a dangereusement dérapé et qu’il est nécessaire de prendre des mesures collectives immédiates et radicales».
L’Amérique du Nord continue d’être en tête du classement mondial des écosystèmes de start-up. Le rapport Global Start-up Ecosystem 2023 GSER a maintenu la Silicon Valley à la première place suivie de New York et Londres en deuxième position. Les Etats-Unis comptent 15 écosystèmes de start-up technologiques dans le top 30 mondial avec des villes où les startups cartonnent.
Le Projet de loi des finances pour l’exercice 2024 aura pour maître mot «La préservation du pouvoir d’achat des citoyens». Une belle gageure pour le gouvernement qui tente depuis plusieurs mois, voire des années, de lutter contre les effets d’une inflation persistante, notamment celle importée.
La société de notation Standard & Poor’s (S&P) a indiqué dans un nouveau rapport que la guerre au Moyen-Orient aggravait les risques géopolitiques mondiaux. «L’éclatement de la guerre exerce une pression à la hausse supplémentaire sur notre évaluation globale du risque géopolitique, que nous considérons déjà comme élevé… Cela aggrave la tension sur les relations internationales provoquée par l’invasion russe de l’Ukraine et les relations tendues entre la Chine et les Etats-Unis», indique S&P dans son analyse des risques.
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) a mis en garde, hier dans un nouveau rapport, sur les risques de tensions sur le marché du gaz au cours de l’hiver, et ce, malgré le niveau important des stocks de gaz en Europe.
L’Algérie a consolidé, encore une fois cette année, sa place de premier fournisseur de gaz de ce pays européen (l’Italie) en remplaçant la Russie. Le volume des exportations algériennes devrait augmenter cette année par rapport à l’année précédente.
Jusqu’ici, l’AIE, qui est financée par l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), anticipait un pic de la demande globale du pétrole avant la fin de la décennie actuelle, mais cette fois-ci elle inclut également le charbon et le gaz naturel.
La confirmation des réductions des deux membres de l’OPEP+ de prolonger les coupes dans leurs offres respectives jusqu’à la fin de l’année 2023 a boosté les prix pour les hisser jusqu’à 91 dollars, soit leur plus haut depuis 10 mois. Goldman Sachs s’attendait, avant ces faits, à un prix du Brent à 86 dollars en décembre 2023 et à 93 dollars à la fin de l’année 2024.
La compagnie nationale des hydrocarbures fête cette année son 60ème anniversaire. Un évènement d’envergure pour la première entreprise du pays, en termes de taille et de revenus. Au cours de ces 60 années d’existence, la compagnie est passée par des étapes de restructuration, d’expansion et de développement faisant d’elle une des premières compagnies en Afrique spécialisée dans l’industrie énergétique.
Saïda Neghza demande l’organisation d’une tripartite pour «un dialogue franc et large» sur la situation socio-économique du pays. Dans une lettre adressée au Président de la République, et publiée sur sa page facebook, la secrétaire générale de la Confédération Générale des Entreprises Algériennes (CGEA) fait un constat sans appel sur les blocages rencontrés par les opérateurs économiques dans l’exécution de leurs projets.
Le vend chaud qui a soufflé sur les cours du pétrole n’a pas manqué de toucher les prix du gaz naturel. Hier, sur le marché européen, les prix du gaz grimpaient en réagissant à un mouvement de grève déclenché sur des installations gazières en Australie. Haithem Al Ghais, le secrétaire général de l’OPEP, a assuré cette semaine, dans un article d’opinion, que la demande de pétrole continuerait d’augmenter même dans un contexte de transitions énergétiques mondiales. «Aucune forme d’énergie ne peut actuellement répondre à la demande énergétique future prévue», notant que si le pétrole disparaissait, «de nombreux produits et services vitaux utilisant le pétrole ou ses services disparaîtraient également».
Du côté français, la concurrence russe sur le marché de l’Afrique du Nord est mal vue car compromettant fortement l’écoulement de son blé dans ce marché qui lui était jadis acquis.
L’Arabie Saoudite, qui a appliqué sa décision de réduire sa production d’un million de bpj en juillet dernier, s’engage à prolonger sa réduction volontaire de trois mois, en procédant toutefois chaque mois au réexamen de sa décision selon les besoins pour voir s’il convient d’approfondir la réduction de la production ou bien de l’augmenter.
L’Etat algérien devra verser, suivant ce que prévoit le verdict d’un arbitrage international, la somme de 37 millions d’euros à l’entreprise espagnole Obrascon Huarte Lain (OHLA), spécialisée dans la construction.