Contrairement à la tendance mondiale, l’Afrique a enregistré une production agricole exceptionnelle, indique un rapport trimestriel de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation (FAO).
Semaine chaotique pour le secteur des finances américain dont la faillite de certaines banques fait craindre aux établissements financiers occidentaux un effet de contagion. L’économie mondiale reste aux aguets face aux nouvelles venant d’outre atlantique craignant une récession semblable à celle provoquée par la crise des subprimes en 2008.
Une hausse de 4,17% a bénéficié aux crédits accordés à l’économie durant les neuf premiers mois de l’année 2022, annonce une nouvelle note de conjoncture livrée par la Banque d’Algérie. Le niveau des crédits a atteint ainsi 10 202,9 milliards de dinars contre 9794,7 mds de DA à la fin 2021.
La Russie jouit d’un fort potentiel céréalier qui engrange cet été entre 88 et 91 millions de tonnes de blé.
Avec cette nouvelle orientation donnée à la LFC-2022, le gouvernement va-t-il aller jusqu’au bout de la commande présidentielle en annulant cette disposition de suppression des subventions généralisées ?
Faire de la kachabia et du burnous des produits à forte valeur ajoutée est le pari que les Messaadis ont décidé de faire en misant sur la labellisation du savoir-faire ancestral des artisans de Messaad.
Savoir-faire local et développement, une combinaison gagnante qui nécessite l’adhésion de tous les acteurs pour fonctionner. Déceler les atouts d’une région et les valoriser pour en faire une source de revenus pérenne est au cœur de la problématique du développement local.
Le projet de nouvelle loi sur l’investissement a été au centre de la visite de la délégation du Medef en Algérie. Le forum d’affaires, qui s’est tenu lundi dernier à la faveur de la mission du Medef, composée d’une quinzaine de chefs d’entreprise, a eu pour message principal la disposition des entreprises françaises à s’inscrire dans des investissements de longue durée pour peu que le cadre législatif y soit favorable.
Le revirement de la position du gouvernement espagnol vis-à-vis de la question du Sahara occidental a mis Madrid devant une équation difficile à résoudre. Faire du Maroc un partenaire privilégié au détriment de ses relations avec l’Algérie n’est pas sans conséquences sur son économie, surtout que ce pays était dépendant de l’approvisionnement en gaz algérien.
Brahim Djelouadji, professionnel du tourisme et des voyages, apporte dans cet entretien un éclairage sur les effets néfastes de la baisse de la fréquence des voyages vers l’Algérie du fait de la pandémie. Il indique que des compagnies low cost ont profité de la situation pour engranger des bénéfices sur le dos des ressortissants algériens désirant se rendre en Algérie. Le professionnel des voyages plaide, entre autres, pour l’augmentation de l’offre de transport de manière significative et l’autorisation pour les agences d’organiser des vols charters et plus de fréquences pour le maritime afin d’absorber la pression du grand rush de l’été.
L’Espagne voit rouge depuis que l’Italie gagne du terrain en matière de contrats gaziers signés avec les pays de la rive sud de la Méditerranée, à commencer avec l’Algérie, principal fournisseur de la péninsule ibérique.
«Cette situation est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, puisque nous constatons que la soumission de Pedro Sanchez au Maroc a bloqué tout le marché algérien», fulmine un éleveur espagnol en s’interrogeant sur l’intérêt de la position du gouvernement qui n’a été convenue ni avec le PSOE ni avec le Parlement.
Le président de l’Association nationale des exportateurs, Ali Bey Nasri, a déploré, hier sur les ondes de la Chaïne 3, l’absence d’un comité de pilotage pour réguler l’activité d’exportation.
La production des signataires de l’accord a chuté de 190 000 b/j pour atteindre 38,06 millions de b/j au mois dernier, soit 1,48 million de b/j en dessous de l’objectif, rapporte Argus Mediaw.
La guerre en Ukraine continue d’impacter les prix des produits alimentaires sur les marchés internationaux. Les séries de pénuries et les longues files d’attente des consommateurs devant les grandes surfaces, même dans les pays développés, sont le signe que les retombées économiques du conflit ont atteint des niveaux inquiétants.
La guerre en Ukraine a impacté différents secteurs d’activité. Les prix des matières premières, des céréales, du fret et transport, n’ont pas cessé d’augmenter depuis le début des hostilités.
La dernière commande en date de blé tendre effectuée par l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) remonte à la fin de la semaine dernière et concerne l’importation de près de 600 000 tonnes de blé meunier d’origine optionnelle. Ce dernier appel d’offres a été lancé pour une expédition en deux périodes allant du 1er au 15 juin et du 16 au 30 juin, et ce, à partir des principales régions d’approvisionnement que sont la mer Noire et l’Europe. En raison de la guerre en Ukraine, la provenance du blé sera fort probablement française, mais des spéculations de commerçants font état d’autres origines.
Comme annoncé par le Premier ministre italien Mario Draghi au président Tebboune, une délégation du groupe ENI, avec à sa tête son PDG Claudio Descalzi, est arrivée à Alger pour discuter du partenariat énergétique.
Guerre monétaire mondiale, cryptomonnaies, place de l’Algérie dans ces tentatives de remodelage des règles financières internationales, Omar Berkouk apporte dans cet entretien des éléments d’analyse qui aident à appréhender la nouvelle donne financière engendrée par la guerre en Ukraine.
Au cours des deux premiers mois de l’année en cours, le pays à partir duquel l’Italie a importé le plus de gaz est l’Algérie. Les importations italiennes en gaz russe ont diminué en janvier et février, annonce un bilan du ministère italien de la Transition écologique.