L’année écoulée a été particulièrement difficile pour les ménages, qui ont dû faire face à une hausse effrénée et constante des prix des produits de première nécessité. Le rythme d’inflation annuel allant de novembre 2022 à novembre 2023 a affiché un taux de +9,4%, rapporte un nouveau rapport de l’Office national des statistiques (ONS).
Des mesures de franchise de la TVA seront appliquées aux investissements créateurs d’emplois. Ceci alors qu’une prolongation de délai d’exonération temporaire de la TVA, jusqu’au 31 décembre 2026, sera appliquée aux services internet et connexes.
Le marché mondial des céréales termine l’année sur le ton de la volatilité. Entre les conditions météorologiques et les conflits géopolitiques, les prix des graines de céréales oscillent entre baisse et hausse.
Dans un bilan de l’activité financière en 2022, la Banque d’Algérie a estimé le montant des dépôts globaux de la finance islamique à 546 milliards de dinars dont 80% effectués au niveau des banques islamiques de la place, à savoir AL Baraka et Al Salam Bank.
Le chef de la mission du FMI, Chris Geirega, dit prévoir que le taux de croissance en 2023 devrait atteindre 4,2% grâce «à une croissance robuste dans les secteurs des hydrocarbures, de l’industrie, de la construction et des services».
L’année 2024 ne sera pas celle de la transition énergétique, c’est en tout cas ce que dit une analyse de Standard&Poor’s. Cette dernière souligne que même si «le changement climatique reste reconnu comme un risque mondial majeur, toute accélération de la décarbonation pourrait se heurter à des défis- liés à des coûts plus élevés, des perturbations géopolitiques et des réactions négatives en matière de politique environnementale - qui détourneraient les priorités d’atténuation du changement climatique».
Le cabinet conseil Finabi a rendu public un communiqué dans lequel il ébauche une analyse sur cette stratégie inscrite dans le processus de modernisation du secteur bancaire national. Dans cette note d’analyse, intitulée «Ouverture du capital du CPA : risques et ébauche d’un plan d’action», Finabi Conseil détecte «deux risques significatifs à maîtriser pour réussir la levée des fonds escomptés».
La banque américaine Goldman Sachs prévoit, dans son dernier rapport sur les perspectives de l’économie mondiale, une désinflation supplémentaire pour l’année 2024. Selon le constat de la banque, l’économie mondiale a «surpassé toutes les prévisions en 2023, même les plud optimistes».
A quelques encablures de l’horizon 2030 pour la réalisation des Objectifs de développement durable, l’heure est au bilan. Outre les Etats qui doivent prendre les devants de la marche vers un avenir éco-responsable et durable, les ODD sont aussi l’affaire de toutes les entités sociales, à commencer par les entreprises.
Dans son dernier bilan, le conseil spécialisé des Grandes cultures-marchés céréaliers de FranceAgriMer a enregistré un net recul des importations algériennes de blé tendre. L’Algérie a depuis quelques années diversifié ses achats de blé en se tournant vers de nouveaux expéditeurs, notamment la Russie, dont le bas prix de la céréale représente un attrait certain pour de nombreux pays en ces temps de baisse de l’offre sur les marchés.
Dans une compilation des prévisions sur la croissance économique globale, le Forum économique mondial alerte sur un ralentissement en 2024 en raison de la hausse des taux d’intérêt, des prix de l’énergie et des guerres en Ukraine et en Palestine.
Dans son dernier rapport d’activité sur le secteur des télécommunications, l’Autorité de régulation de la poste et communication électronique (ARPCE) fait état d’une baisse du nombre d’abonnés à la téléphonie mobile passant de 49,30 millions d’abonnés au 1er trimestre de l’année 2023 à 48,91 millions d’abonnés au 2e trimestre de la même année.
La 11e édition du North Africa Energy and Hydrogen Exhibition and Conference s’est achevée avec la promesse tenue d’avoir réuni les principaux architectes de l’avenir énergétique de demain.
Entre le renouvelable et le non-conventionnel, l’Algérie choisit les deux. Les travaux de la 11e édition du Napec se sont poursuivis hier, au Centre des conventions d’Oran, avec de riches débats autour de l’utilisation des énergies propres dans le développement des industries gazière et pétrolière et dans la production d’électricité.
-La transition énergétique est au cœur de cet événement. Comment appréhendez-vous, au niveau de Total, ce défi de dépollution de l’industrie pétro-gazière ?
La 11e édition du North Africa Energy & Hydrogen Exhibition and Conferences (Napec) a ouvert ses portes, hier, au niveau du Centre des conventions d’Oran, avec pour orientation principale d’introduire plus de renouvelables et de sources énergétiques conventionnelles dans le mix énergétique en Algérie, tout en misant sur la technologie pour une exploitation beaucoup moins polluante de l’énergie fossile.
Pas moins de 500 participants comptent parmi les hôtes de la 11e édition du Napec, dont une vingtaine d’entreprises américaines. L’on pourrait citer la présence très remarquée du géant américain ExxonMobil à cette édition, qui marque un nouvel intérêt certain de la compagnie pour le marché algérien.
La guerre contre la spéculation n’est pas près de connaître son épilogue. Les pouvoirs publics multiplient les mesures pour rendre plus accessibles les prix des produits alimentaires, mais la réalité du marché semble encore afficher des signes de résistance.
Le Centre des conventions de la ville d’Oran accueillera, du 13 au 15 novembre, la 11e édition du North Africa Energy & Hydrogen Exhibition and Conference (Napec).
Dans son dernier rapport sur les territoires palestiniens occupés, la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement CNUCED souligne que le blocus de plusieurs décennies a «vidé l’économie de Ghaza de sa substance, laissant 80% de la population dépendante de l’aide internationale».