L’investissement dans la production du gaz naturel est crucial ; car d’ici 2050, la demande va connaître un accroissement important, surtout dans les pays asiatiques.
Le volume de production a marqué une hausse de 2,3% en 2023, pour atteindre 169 millions de tonnes équivalent pétrole. Une performance favorisée surtout par une hausse de la production de gaz et l’entrée en exploitation de nouveaux gisements.
La rencontre des directeurs de banques, portant sur le développement des produits et services bancaires pour une meilleure inclusion financière, concernait les actions entreprises en vue de capter l’argent en dehors de la sphère légale, notamment la fintech proposant différentes solutions numériques pour la bancarisation.
L’indice de l’organisation des Nations unies pour l’alimentation pour le mois de février 2024 a enregistré une baisse de 0,9 point par rapport à son niveau du mois précédent, en s’établissant à 117,3 points.
Le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, insiste sur la voie du dialogue pour arriver à convaincre les partenaires des pays exportateurs que le gaz fait partie de la solution durable, car il s’agit d’une matière première indispensable pour le développement économique et social et pour la sécurité alimentaire.
Le gaz naturel, qui a été unanimement qualifié par les chefs d’Etat et de délégations des pays du GECF, comme l’énergie de l’avenir et une énergie propre, doit jouer pleinement son rôle dans la transition énergétique et surtout échapper aux pressions, même sous couvert de défense de la nature, visant à limiter son exploitation par les pays du Sud.
Mohamed Arkab a donné le ton aux travaux de la réunion des ministres précédant la rencontre au Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement des pays du GECF, en notant que le Forum affirme «notre engagement et notre conscience collective sur la nécessité d’intensifier la coopération et les consultations…»
Le ministre algérien de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, souligne que la coopération entre les pays producteurs sera parmi les principaux dossiers inscrits à l’ordre du jour du Sommet du GECF. Les discussions porteront sur l’examen des mécanismes d’application de cette coopération «afin de garantir la sécurité énergétique mondiale tout en soulignant l’importance de sécuriser l’offre et la demande et de servir l’intérêt commun à travers des contrats commerciaux à long terme, en sus de renforcer l’effort commun en matière d’investissement et de financement des projets à l’avenir», a-t-il assuré dans un entretien accordé récemment à l’agence qatarie QNA.
Le niveau de consommation des ménages est encouragé par «la livraison des différents programmes de logements, d’où la nécessité de la mise en œuvre de la réglementation technique du bâtiment, notamment en matière d’isolation thermique pour assurer le confort à la fois en été et en hiver sans provoquer des consommations excessives d’énergie».
Dans cet entretien, Dr Mourad Preure analyse l’évolution du marché gazier et le contexte géopolitique mondial dans lequel se déroulera le Sommet du GECF à Alger. Les transformations structurelles, qui touchent l’industrie du gaz, devraient, selon l’expert des questions énergétiques, «renforcer la solidarité entre pays producteurs en valorisant les convergences et les synergies et créer les conditions de partenariats stratégiques…». Le GECF est mis au défi de «maîtriser la complexité des transformations en cours et réunir les pays exportateurs pour en tirer avantage». Mourad Preure rappelle d’ailleurs l’exemple de la réunion d’Alger en novembre 2016, qui avait regroupé les pays producteurs de l’OPEC et dix pays producteurs de pétrole non OPEC et qui avait conduit à la création de l’OPEC+, devenu «un efficace élément stabilisateur du marché et des prix».
Le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, a mis en exergue «l’importance socioéconomique de ce projet qui s’inscrit dans le cadre du développement du secteur minier et de la relance des activités minières, en vue d’optimiser l’exploitation de ces richesses nationales».
Après la leçon de la guerre en Ukraine, l’Europe ne veut plus dépendre d’une seule source d’approvisionnement en GNL, ni la Russie ni les Etats-Unis. La diversification des ressources est la solution choisie par le vieux continent afin de ne plus tomber dans la crise énergétique.
Les marchés maghrébins sont considérés comme à fort potentiel de développement et à faible risque, surtout pour le cas du marché de la grande distribution, où ce dernier reste moyennement développé, et l’Algérie est à la traîne par rapport à ses voisins.
Le secrétaire général du GECF, Mohamed Hamel, souligne l’urgence, à long terme, de trouver un équilibre entre la demande mondiale croissante et le trilemme énergétique consistant à garantir la sécurité énergétique, l’accessibilité financière et la durabilité. Le développement économique et la progression démographique plaident pour un avenir radieux pour le gaz, notamment le gaz naturel.
La variation annuelle des prix à la consommation entre décembre 2022 et décembre 2023 s’est établie à 9,32%, rapporte le nouvel indice des prix à la consommation de l’Office national des statistiques pour le mois de décembre 2023.
En réponse à la décision des pouvoirs publics consistant à interdire l’accès aux ports algériens de tout navire ou transporteur de marchandises transitant par les ports marocains, les compagnies maritimes Maersk et CMA CGM ont entrepris d’éviter le port de Tanger Med.
Moins d’une semaine nous sépare de la date fixée pour le lancement de l’opération de vente de 30% du capital du Crédit Populaire Algérien (CPA), soit 60 milliards de dinars (sur 200 milliards de dinars).
La Cnuced estime qu’une «augmentation modeste» des flux d’investissements directs étrangers en 2024 semble possible, car les projections relatives à l’inflation et aux coûts d’emprunt indiquent une stabilisation des conditions de financement pour les opérations d’investissement.
La production primaire des hydrocarbures «connaîtra une hausse moyenne de 1,3% pour s’établir à 207 Mtep en 2028». Un nouveau PDG a été installé à la tête de Sonatrach en octobre dernier, en la personne de Rachid Hachichi, avec pour mission directive «l’augmentation de la production nationale».
La Bourse d’Alger mise fort sur l’opération d’ouverture de capital devant toucher deux banques publiques cette année que sont le CPA et la BDL. Le président de la Commission d’organisation et de surveillance des opérations de Bourse (Cosob), Youcef Bouzenada, qui s’est exprimé sur l’APS, soulignait hier que ce marché est «un outil de financement supplémentaire au développement des entreprises algériennes du fait qu’il permet de drainer l’épargne et de capter les capitaux».