Jusqu’à hier, deux pays ont réagi à la nouvelle du retrait de la Mission onusienne du Mali. Il s’agit de la Russie et des Etats-Unis. Le département d’Etat américain a exprimé «son regret quant à la résolution de la crise, craignant l’impact que pourrait avoir le départ de la Minusma sur les crises sécuritaires et humanitaires affectant le peuple malien».
Pédagogue et ancien syndicaliste, Meziane Meriane livre ici son analyse sur les résultats catastrophiques en mathématiques et en physique enregistrés au BEM 2023. Il cite de nombreuses causes et appelle à une évaluation scientifique du système éducatif national.
Des chercheurs du Cread viennent de rendre publique une enquête qui évoque un début de constitution de trois communautés d’immigrés en Algérie qui seront formées par «les Subsahariens, les Syriens et les Chinois».
Développements inattendus dans le conflit russo-ukrainien ! Après 486 jours de combats, la guerre en Ukraine entre désormais dans une nouvelle phase. Deux événements majeurs interviennent et pourraient changer la donne dans ce conflit qui dure depuis plus d’une année.
Arrivé mardi en Italie, le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf , s’est rendu, hier à Belgrade, en Serbie, avant d’atterrir en Allemagne.
Les écoles, tous paliers confondus, sont au rendez-vous avec une nouvelle période d’examen. Il s’agit des rattrapages destinés aux élèves, du primaire, du CEM et du lycée, ayant raté de peu leur passage à un niveau scolaire supérieur. Une dernière chance pour cette catégorie d’élèves.
Selon l’Organisation internationale pour la migration (OIM), la Méditerranée centrale est devenue, ces dernières années, la voie de passage la plus meurtrière pour les candidats à la migration.
Le président Abdelmadjid Tebboune insiste à nouveau sur la mise en œuvre de l’Accord d’Alger de 2015 pour la résolution de la crise malienne. «Nous pensons que la crise au Mali, qui est un pays voisin avec lequel nous avons des relations très vieilles, ne peut être résolue qu’à travers la mise en œuvre de l’Accord d’Alger», a-t-il déclaré lors de ses entretiens, jeudi dernier à Moscou, avec son homologue russe, Vladimir Poutine.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a coprésidé, jeudi, avec son homologue russe, Vladimir Poutine, la cérémonie de signature de la Déclaration de partenariat stratégique approfondi entre les deux pays et de plusieurs conventions, mémorandums d’entente et programmes d’action entre les gouvernements algérien et russe.
Le président Tebboune rencontrera aujourd’hui, en tête-à-tête, son homologue russe, Vladimir Poutine. Ils procéderont à la signature d’une déclaration algéro-russe sur un partenariat stratégique élargi.
Le président Tebboune s’est rendu hier en Russie pour une visite d'Etat de trois jours, à l'invitation de son homologue russe, Vladimir Poutine, dans le cadre du renforcement de la coopération bilatérale entre les deux pays. Il participera, par la même occasion, aux travaux du Forum économique international qui se tiendra dans la ville de Saint-Pétersbourg.
Près de dix ans après avoir donné naissance à une première coalition de partis, baptisée CNLTD (Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique), qui avait organisé les deux congrès de l’opposition (Mazafran I et II), le RCD et le MSP se rencontrent à nouveau.
Réveil tardif, tentative d’affirmation ou simples démarches sans lendemain ? Des partis ont lancé ces derniers jours, en groupe ou en solo, des initiatives politiques dans l’objectif, affiché, de «renforcer le front interne» et «d’enclencher un dialogue national» sur l’avenir politique et économique du pays. Certaines formations ont relancé leurs anciennes initiatives, alors que d’autres ont choisi de donner naissance à de nouvelles démarches aux contours indécis, mais avec des slogans pompeux.
Trois mégachantiers, et de grandes ambitions. L’Afrique, du moins la partie ouest du continent, devrait être réellement connectée à moyen terme. La volonté y est déjà. Et les moyens sont mis pour réaliser ce rêve caressé depuis de très longues années par les pays de la région, dont l’Algérie.
Le parti Talaiou El Houriyat, formation fondée par l’ancien chef de gouvernement, Ali Benflis, lance, lui aussi, une nouvelle initiative politique. Les contours de cette dernière ont été esquissés par le bureau politique de ce parti, dans un communiqué rendu public, hier.
La question de l’élargissement du club des BRICS sera examinée au mois d’août prochain à Johannesburg, en Afrique du Sud. La décision a été confirmée à l’occasion de la réunion des ministres des Affaires étrangères du groupe, élargie depuis, vendredi et samedi derniers, aux amis des BRICS, dont l’Iran et l’Arabie Saoudite.
Les intervenants au colloque ont mis l’accent sur l’importance de la coordination des efforts et de l’encouragement de l’échange d’expériences en matière de déminage. Ils mettent également en avant les multiples initiatives africaines, notamment l’agenda 2063.
Un véritable casse-tête pour la communauté internationale. Vingt-six ans après l’adoption de la convention internationale, appelée aussi Convention d’Ottawa (1997), sur l’interdiction de l’emploi, du stockage, de la production et du transfert des mines antipersonnel et sur leur destruction, le désastre continue.
La demande de l’Algérie d’adhérer au groupe des BRICS sera-t-elle acceptée ? La réponse à cette question sera, probablement, connue dès le week-end prochain à l’occasion du sommet de ce groupe économique restreint devant se tenir les 2 et 3 juin prochain, au Cape Town, en Afrique du Sud.
L’examen des projets de loi sur l’audiovisuel et sur la presse (écrite et électronique) commence au niveau de l’Assemblée populaire nationale (APN). La première étape a été achevée par la commission de la culture, de la communication et du tourisme, qui a finalisé son rapport préliminaire sur le deux projets.