Rareté des denrées alimentaires, manque d’eaux et de médicaments, panne d’électricité et de carburant…la bande de Ghaza, sous les bombardements de l’armée d’occupation israélienne depuis près d’un mois, vit une situation humanitaire catastrophique. C’est le constat fait par les agences de l’ONU et les ONG présentes sur le terrain.
La position du président américain, Joe Biden, concernant l’attaque en cours d’Israël contre la Bande de Ghaza et son soutien inconditionnel à l’Etat hébreu ne passent pas, y compris aux Etats-Unis. Depuis quelques jours, des voix, et pas des moindres, s’élèvent pour dénoncer cette attitude.
L’annonce de la composante de la nouvelle direction de l’UGTA a été faite lors d’une réunion tenue à la Mutualité des matériaux de construction de Zéralda. Le nouveau secrétaire général, Amar Takdjout, a défini, à cette occasion, les priorités de l’organisation pour les mois à venir.
Le rejet de la normalisation des relations avec Israël a été exprimé par les manifestants, mettant les dirigeants dans une mauvaise posture.
Comme prévu, le sommet du Caire sur la Palestine auquel a appelé le président égyptien, Abdel Fattah Al Sissi, s’est terminé sans déboucher sur des résultats.
L’Algérie a renoué, jeudi dernier, avec l’atmosphère du hirak du 22 février 2019. Des milliers d’Algériens, privés de manifestations publiques depuis plus deux ans, ont battu le pavé à Alger et dans la majorité des grandes villes du pays. Cette fois-ci, ils se sont mobilisés pour une autre cause qui leur est chère : la question palestinienne.
Du Maroc à l’Iran, en passant par la Tunisie, la Jordanie, le Liban et la Turquie, plusieurs manifestations dénonçant les agissements de l’occupant israélien ont été organisées au lendemain du carnage perpétré par l’armée d’occupation qui a ciblé un hôpital, tuant près de 500 personnes.
Des policiers déchaînés n’ont pas hésité à matraquer, à tuer par balles et à noyer dans la Seine des manifestants dont le seul tort était d’avoir dénoncé la discrimination et d'appeler à l’indépendance de leur pays. Les réclamations de l’Algérie portant sur la reconnaissance de ces massacres restent aussi sans suite du côté français.
Le gouvernement de transition au Mali, issu du coup d’Etat mené par les militaires en 2020, exige le retrait total de la mission de l’ONU dans le pays (Minusma) avant la fin de l’année en cours.
Le Parti des travailleurs (PT) dénonce les massacres des Palestiniens à Ghaza et condamne la déformation des faits par «l’entité sioniste, son allié américain et des médias occidentaux». Fidèle à sa position sur cette question, la formation de Louisa Hanoune déplore, dans une longue déclaration rendue publique hier, l’entreprise d’extermination du peuple palestinien à Ghaza.
Alors que le spectre d’une intervention militaire de la Communauté économique de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) n’est pas tout à fait écarté, le Niger se voit progressivement privé de l’aide internationale.
En reconnaissant le niveau élevé de l’inflation, Aïmene Benabderrahmane revient sur «les mesures appropriées prises pour préserver le pouvoir d’achat des citoyens». Il évoque les revalorisations, qu’il qualifie de «conséquentes», des salaires et pensions au profit des agents publics, des retraités et des personnes en situation de chômage.
Les derniers développements au Proche-Orient renvoient-ils aux calendes grecques toute solution politique de la question palestinienne ? De l’avis de nombreux observateurs, le spectaculaire assaut mené par des combattants du Hamas palestinien à l’intérieur même des territoires israéliens et la violente réaction de l’occupant israélien à Ghaza enterrent définitivement les Accords d’Oslo (négociés en Norvège et paraphés aux Etats-Unis) de septembre 1993.
Le Front des forces socialistes (FFS) poursuit ses tournées aux sièges des partis politiques pour mieux vendre son initiative politique. Baptisée «Pacte historique pour le parachèvement du projet national», cette démarche, selon les responsables de cette formation, prendra forme à l’issue des consultations avec les différents acteurs politiques.
De l’avis de plusieurs observateurs à l’époque, ces événements n’étaient pas «un simple accident de l’histoire». Le pays, sous l’emprise d’un système autoritaire fondé sur la pensée unique, bouillonnait depuis déjà plusieurs années avant cette date. Octobre 1988 survient, en effet, après une série d’autres révoltes, de grande ampleur, ayant éclaté dans plusieurs régions du pays, dès le début de la décennie 1980.
Est-ce la fin des chantiers interminables de rénovation et de construction des écoles ? La question a fait l’objet d’un débat lors de la réunion du Conseil des ministres, tenue dimanche dernier. Selon le communiqué du Conseil des ministres, le chef de l’Etat, Abdelmadjid Tebboune, intervenant sur ce sujet, a fixé un délai pour en finir avec cette problématique.
Le président Abdelmadjid Tebboune a reçu, hier au siège de la Présidence, le secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Amar Takjout. La rencontre est la première du genre entre le tout nouveau patron de la centrale syndicale, élu à ce poste l’été dernier, et le chef de l'Etat.
Le 11e congrès du Front de libération nationale (FLN), prévu à la fin du mois en cours, démarre très mal. La campagne d’exclusion de cadres contestataires, menée récemment par le secrétaire général du parti, Abou El Fadhel Baadji, suscite déjà le mécontentement.
Les dirigeants des pays méditerranéens de l’Union européenne (Med9) souhaitent généraliser le modèle conclu avec le Tunisie à tous les pays d’Afrique du Nord, par lutter contre les flux migratoires.
Entre le 1er janvier et le 24 septembre 2023, 186 000 migrants sont arrivés dans le sud de l’Europe (Italie, Grèce, Chypre et Malte), dont 130 000 en Italie, «soit une augmentation de 83% par rapport à la même période de 2022».