Avec une part de marché de 85%, la branche des assurances de dommages a réalisé un chiffre d’affaires de 144,2 mds de dinars à fin décembre 2023 (+2,6%), suivie de celle des assurances de personnes avec un chiffre d’affaires de 17,6 mds de dinars (+7,1%).
Le Crédit populaire algérien (CPA) vient d’allonger la très courte liste des grandes entreprises cotées à la Bourse d’Alger. L’introduction hier au marché boursier de la première banque étatique réussira-t-elle à dynamiser ce marché où figurent déjà, sur le marché principal, les quatre entreprises : le groupe Saidal (pharmaceutique), EGH El Aurassi (tourisme), Alliance assurances, Biopharm (pharmaceutique).
L’amélioration de la gouvernance des ressources publiques est en chantier. Le processus est long et complexe au ministère des Finances qui est chargé de mener à bon port cette réforme tant attendue, en raison des performances qu’elle est censée introduire dans le registre de l’efficacité de la budgétisation et de la transparence.
La Cellule de traitement du renseignement financier (CTRF) a saisi les établissements financiers, banques et compagnies d’assurances, en vue de se conformer aux textes liés à la lutte contre le blanchiment d’argent et le terrorisme. Le GAFI a émis quelques observations à l’issue de sa visite en Algérie l’été 2023.
Salaire décent, salaire vital ? «On observe une tendance mondiale positive à long terme en ce qui concerne les salaires moyens.
Le secteur des mines a connu une augmentation de production, notamment pour le fer (+5,6%), le phosphate (+3%), le sel (+21%), le marbre (+23%) et l’or (+6,3%), a affirmé le ministre de l’Enérgie et des Mines, Mohamed Arkab, lundi lors d’une séance d’audition devant la commission des affaires économiques de l’Assemblée populaire nationale (APN), où il a présenté les principales réalisations du secteur en 2023.
Quel serait l’apport de l’intelligence artificielle (IA) pour le système financier algérien ? Cette question a été au centre d’intérêt des experts bancaires et financiers lors des débats organisés à l’occasion d’une journée d’étude sur le thème «L’Intelligence artificielle : un catalyseur de modernisation du secteur financier algérien», organisée par l’Association des diplômés de l’Institut de financement du développement du Maghreb arabe (Ifidas), a rapporté samedi l’APS.
Le ministre des Finances, Laâziz Faid, affirme que «la transparence, la vigilance et la prévision sont au cœur de l’approche envers les risques budgétaires pour les identifier et les anticiper».
Le gouvernement s’apprête à lever les obstacles liés à l’investissement dans le secteur agricole. A la faveur d’une réunion dimanche, entre le ministre des Finances, Laaziz Faid, et le ministre de l’Agriculture, Youcef Cherfa, ces derniers ont tenu à témoigner de la «détermination à créer un environnement propice à la croissance durable de l’agriculture, favorisant ainsi la sécurité alimentaire nationale».
Le ministre des Finances, Laaziz Faid, a souligné l’importance de réviser le mode de gouvernance actuel, «caractérisé par le bicéphalisme de gestion», et la nécessité de procéder à des changements et à des ajustements méthodologiques. Une évaluation serait en cours et on attend ses conclusions.
L’Afrique devrait compter la moitié des 20 économies à la croissance la plus rapide au monde en 2024. Si la vigueur de la reprise à la suite de la pandémie de Covid-19 et sa résilience dans le contexte actuel d’incertitude géopolitique et économique sont généralisées sur le continent, les performances économiques varient d’une région à l’autre.»
Après de longs atermoiements et un recul des flux d’investissements durant ces dernières années, l’Algérie est-elle décidée cette fois de s’attaquer de front à cette problématique en mettant en place une politique favorable aux investissements directs étrangers (IDE) ?
Le réseau bancaire en Algérie a très peu évolué durant les dernières années. Qu’on en juge ! Selon les statistiques de la Banque d’Algérie publiées sur son site durant la décennie 2009-2019, le changement est peu perceptible.
La Banque fait remarquer que cette croissance est «moindre que l’inflation enregistrée sur la période». Les dépôts à terme en dinars des entreprises privées ont enregistré une baisse de 2,48 %.
Les recettes des hydrocarbures s’établissent à 4 365,29 milliards de dinars contre 3 797,37 milliards de dinars à fin septembre 2022, et représentent une part de 55,8% des recettes budgétaires totales de l’ordre durant les neufs premiers mois de l’année 2023 contre 54,50 % pour la même période de l’année 2022.
Compte tenu de la désinflation et de la stabilité de la croissance, «la probabilité d’un atterrissage brutal s’est estompée et les facteurs qui influent sur la croissance mondiale sont globalement équilibrés».
Contrairement à la première tentative infructueuse de privatisation de cette banque, il y a plus de vingt ans, qui devait permettre l’entrée des investisseurs étrangers dans le capital de la banque propriété de l’Etat, cette fois-ci le choix s’est porté sur les investisseurs nationaux.
Les prix à la production industrielle hors hydrocarbures, du secteur public national, ont enregistré une baisse de 0,6% au deuxième trimestre 2023 par rapport au trimestre précédent caractérisé par une baisse sensible de 2%.
Le Fonds monétaire international commence à s’interroger sérieusement sur l’impact que peut avoir l’intelligence artificielle (IA) sur l’économie mondiale. «Nous sommes sur le point de vivre une révolution technologique susceptible de stimuler la productivité, de donner un coup de fouet à la croissance mondiale et d’élever les revenus dans le monde entier.
Mieux vaut tard que jamais ! L’Etat est-il réellement décidé cette fois-ci à arrêter cette saignée provoquée par l’amateurisme et l’absence de l’esprit des responsabilités tant au niveau de certaines entreprises ou entrepreneurs qu’à celui des collectivités locales ? Qu’on en juge ! Tout le monde en effet a remarqué qu’en matière de travaux publics des anomalies sont monnaie courante.