Lundi dernier, le résidant de la Banque mondiale (BM) pour l’Algérie a loué les performances de l’économie du pays, en dépit, selon lui, d’un contexte mondial difficile. Répondant à une question relative aux objectifs cités par les autorités du pays d’atteindre un PIB de 400 milliards de dollars à l’horizon 2027, il affirmera que cela est «possible».
L’égalité entre les hommes et les femmes n’attend pas : c’est un impératif immédiat», rapportent des économistes de la Banque mondiale (BM) sur le blog de cette institution financière.
Les pays à faibles revenus devront encore refinancer près de 60 milliards de dollars de dette extérieure chaque année dans les deux prochaines années – à peu près trois fois plus que la moyenne observée entre 2010 et 2020.
Les entreprises cotées en Bourse, que les investisseurs estimaient exposées à des risques commerciaux plus élevés, ont dû réduire leurs investissements plus que les autres, notamment dans les secteurs des matières premières et des biens industriels.
Le marché national des assurances totalise, durant les trois premiers mois de l’année 2024, un chiffre d’affaires de 48,4 milliards de dinars, soit une hausse de 4% par rapport à la même période en 2023, selon la note de conjoncture du Conseil national des assurances (CNA) du premier trimestre 2024.
La sécurité des infrastructures de stockage des céréales a fait l’objet d’un séminaire organisé hier à Alger par la Caisse nationale de mutualité agricole (CNMA), et ayant pour thème «Assurance et gestion des risques liés aux installations stratégiques de stockage – cas des silos», selon un communiqué rendu public par cette dernière.
Selon les prévisions de la BM, dans 60% des économies, qui représentent ensemble plus de 80% de la population mondiale et du PIB mondial, la croissance sur la période 2024-2026 sera «plus lente» qu’au cours de la décennie pré-Covid.
«Ce programme, fruit d’une collaboration étroite entre le gouvernement algérien et l’Union européenne, marque une étape cruciale dans notre ambition de consolider notre gestion des finances publiques», selon le ministre des Finances. Ce projet, qui s’étale sur trois ans, «porte une valeur de 12 millions d’euros», selon le chef de la Délégation de l’UE en Algérie.
En marge du séminaire sur le Projet d’appui à la gestion des finances publiques en Algérie (Pagfal), organisé par Expertise France, en partenariat avec le ministère des Finances, hier à Alger, le ministre Laaziz Faid a bien voulu nous expliquer la démarche du gouvernement sur la réforme budgétaire ainsi que la stratégie de lutte contre l’inflation.
Présentant les réformes mises en oeuvre par l’Algérie ces dernières années, le ministre des Finances, Laaziz Faïd, a relevé qu’il s’agit, entre autres, de la revue du cadre budgétaire, de la numérisation de l’administration des finances et de la diversification de l’économie.
Le directeur exécutif représentant au conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) de la circonscription – dont l’Algérie est membre et qu’elle représente auprès du Comité monétaire et financier international (CMFI) –, Bahador Bijani, a effectué une visite en Algérie où il a rencontré, lundi dernier, le gouverneur de la Banque d’Algérie, Salah Eddine Taleb.
L’Association internationale du transport aérien (IATA) prévoit des revenus record de près de 100 milliards de dollars durant l’année en cours. La crise de la pandémie semble être largement dépassée.
Concernant le défi de diversification économique, l’institution souligne l’importance de continuer à soutenir, à court terme, les industries locales et d’investir dans les technologies nécessaires à la stratégie d’industrialisation (économie numérique et digitalisation en particulier).
Le premier responsable de la BAD plaide pour la poursuite des efforts de développement et de valorisation des ressources naturelles en vue de réaliser une transformation structurelle des économies africaines, tout en favorisant une montée de l’Afrique dans les chaînes des valeurs mondiales.
Le projet de loi relatif aux assurances a été examiné en Conseil des ministres jeudi dernier à l’issue duquel il a été décidé de le reporter pour un «réexamen». Le Conseil des ministres a en effet demandé, selon le communiqué repris par l’APS, de revoir ce projet en vue d’une «organisation plus précise», conformément aux instructions du président Tebboune.
Dans quelle mesure les entreprises africaines utilisent-elles la technologie numérique, à quelles fins, et comment peut-on les encourager à l’exploiter davantage ?» C’est à toutes ces questions que s’est intéressée la Société financière internationale (SFI) du groupe de la Banque mondiale dans une étude qui conclut qu’ «il reste beaucoup à faire pour leur donner la capacité et les moyens d’exploiter pleinement le potentiel du numérique».
«Après l’excédent de 3,1% du PIB en 2023, le compte courant de l’Algérie devrait enregistrer un léger déficit de 0,3% en 2024, conséquence de la baisse des prix mondiaux du pétrole, de la réduction des quotas et de la reprise des importations tirées par les équipements», souligne un rapport de la Banque mondiale.
Une nouvelle loi régissant le secteur des assurances sera fin prête au cours de cette année, a expliqué le ministre des Finances, Laaziz Faid, dans un entretien accordé récemment à la revue asiatique spécialisée dans les assurances, Asia Insurance Review.
Le ministère des Finances semble être satisfait des résultats de cette nouvelle politique qui consiste à faire appel aux compétences indépendantes, afin de siéger au sein des Conseils d’administrations (CA) des banques publiques.
«Globalement, l’inflation sous-jacente des biens a diminué de manière régulière, mais dans les services, elle a été plus tenace, demeurant nettement supérieure aux moyennes relevées avant la pandémie dans la majorité des pays», a indiqué le rapport de l’OCDE de mai 2024.