Quid du commerce électronique en Algérie ? Quelques années seulement après son lancement, cette activité semble avoir le vent en poupe et commence déjà à s’enraciner.
La croissance de la production mondiale est restée résiliente et l’inflation a poursuivi son repli. La croissance a été relativement robuste dans de nombreux pays du G20, notamment aux Etats-Unis, au Brésil, en Inde, en Indonésie et au Royaume-Uni.
Les cours du pétrole se sont redressés, hier, après les mesures de soutien à l’économie annoncées en Chine, la baisse des taux de la Fed et la persistance des tensions au Proche-Orient.
La politique d’encouragement des exportations hors hydrocarbures semble avoir besoin de quelques ajustements à l’effet de ne pas déboucher sur des résultats contraires à ceux poursuivis.
Le chef de l'Etat a, selon le site de la Présidence, présidé jeudi dernier une réunion préparatoire consacrée aux grandes orientations relatives au projet de loi de finances 2025. Il s’agit ainsi de mettre au point les derniers préparatifs pour ce projet de texte, qui devrait atterrir dans les prochaines semaines à l’APN.
En réduisant les coûts, on maîtrise l’inflation», avait déclaré en juin dernier le ministre des Finances, Laaziz Faid, dans les colonnes d’El Watan en réponse à la question de savoir pourquoi l’Algérie a choisi de prendre une direction totalement opposée à celle recommandée par le FMI pour lutter contre l’inflation.
Le GIE monétique compte lancer de nouveaux chantiers en 2025 pour le développement et la promotion du secteur de l’e-paiement en Algérie. De nouvelles solutions seront offertes aux clients et aux commerçants.
Le Fonds monétaire international (FMI) vient de s’intéresser, en quelque sorte, au sujet des rivalités économiques entre la Chine et les Etats-Unis.
Le représentant de la Banque mondiale a confirmé la possibilité pour l’Algérie, évoquée par le président Tebboune, d’atteindre un niveau de PIB de l’ordre de 400 milliards de dollars en 2027.
Un rapport de la Banque mondiale intitulé en anglais Finance and Prosperity 2024, analyse les évolutions et les vulnérabilités du secteur financier dans les pays à revenu faible et intermédiaire. Il met ainsi en évidence «des divergences dans la résilience et la stabilité des secteurs financiers».
Hors dépôts de l’entreprise nationale des hydrocarbures, la masse monétaire M2 a augmenté de 7,2% en 2023, contre une croissance de 11,0% en 2022, passant ainsi de 21 103,45 milliards de dinars à fin 2022 à 22 620,97 milliards à fin 2023.
L’adhésion à la NDB offre désormais à l’Algérie, selon le ministère, de «nouvelles perspectives» pour soutenir et renforcer son essor économique à moyen et long termes.
Le ministère des Finances a entamé la rénovation de la gouvernance du secteur, notamment à travers l'adoption des COP, qui comportent les engagements des responsables concernant la réalisation d’objectifs préalablement identifiés, pour lesquels ils sont responsables et redevables», a annoncé Laaziz Faid, repris par l’APS, jeudi, lors d’une allocution prononcée au cours des travaux d’une conférence organisée par la Direction générale du Trésor et de la Comptabilité intitulée «Les séances du Trésor».
Le bilan du système bancaire a enregistré un rythme d’évolution positif de 6,37%, porté par une augmentation appréciable des crédits, qui ont connu un taux de croissance de 5,8%, représentant 583 milliards de dinars de flux net de crédits, ainsi que par une hausse des ressources collectées, dont le flux net a été de plus de 387 milliards dinars», selon les conclusions de la Banque d’Algérie.
Deux catégories d’impôt : les impôts sur le revenu et les impôts sur la consommation, «continuent de dominer» la structure des recettes fiscales. Principale source de recettes fiscales, les impôts sur le revenu représentent une part de 44,69% du total. Cette prédominance est soutenue, selon la BA toujours, par la hausse des impôts sur le revenu global (IRG) appliqués aux salaires, qui ont atteint 892,43 milliards de dinars en 2023.
La Banque d’Algérie vient de publier un rapport annuel retraçant l’évolution économique et monétaire de 2023, où il ressort que les comptes économiques ont dû subir des changements notables, impactés qu’ils sont par le nouveau calcul du PIB.
L’Association du transport aérien international (IATA) a publié mardi dernier des données sur les marchés mondiaux du fret aérien en juin 2024. Ses conclusions font ressortir une «forte croissance annuelle continue» de la demande.
Cette année, trois pays – la Bulgarie, les Palaos et la Russie – se sont hissés de la catégorie des économies à revenu intermédiaire de la tranche supérieure à celle des économies à revenu élevé.» Ce sont là les pays qui rejoignent cette année la catégorie des économies aux revenus élevés.
Grosse frayeur mondiale vendredi dernier quand soudainement le monde informatique s’est fait l’écho d’une panne immense qui, dans la journée, a commencé à s’étendre à nombre de pays n’épargnant pas des secteurs économiques névralgiques et provoquant ainsi des désagréments sociaux très importants.
Le FMI vient de faire une mise à jour des perspectives de l’économie mondiale. Si les prévisions de croissance présentées en avril dernier sont confirmées, il n’en est pas de même du phénomène d’inflation qui vient surprendre les auteurs de ce rapport qui invite plutôt à une prudence quant aux réponses à lui réserver à l’avenir.