En présence de sa réalisatrice, Jacqueline Gozland, le film documentaire revenant sur la vie et la musique de Reinette l’oranaise, «Port des amours», a été projeté mardi dernier à l’Institut Français d’Oran en présence d’un public nombreux. Réalisé en 1992, soit il y a de cela 31ans, ce documentaire, réalisé pour le compte de la chaine ARTE, a déjà été projeté à Oran, il y a quelques décennies de cela.
C’était jeudi dernier que le coup d’envoi de la 14e édition du Festival de la musique et de la chanson oranaise a été donné en présence d’un public nombreux ayant rempli tous les balcons du Théâtre régional d’Oran Abdelkader Alloula.
Lors d’une conférence de presse, donnée dimanche dernier, au siège de la Radio oranaise, cette dernière est revenue avec force détails sur le déroulement du programme de cette 14e édition qui se veut riche malgré les moyens du bord, c’est-à-dire malgré un budget pour le moins limité.
Depuis dimanche dernier, la place Port Saïd, au centre-ville d’Oran, accueille près d’une quarantaine d’élèves de l’école des beaux-arts qui s’affairent, vaille que vaille, à la réalisation de fresques, dessins ou œuvres graphiques en vue de concourir avec pour l’obtention du premier prix d’une compétition organisée par la Direction de la jeunesse et des sports (en coordination avec l’association des activités culturelles et artistiques au profit des jeunes) et dont on devait connaître les résultats hier après-midi.
Ces dernières semaines, les mélomanes d’Oran se pâment d’admiration pour un collectif musical qui vient de naître et s’impose déjà sur la scène artistique. Il s’appelle Vengo et est constitué de plusieurs groupes et musiciens.
Plus que quelques semaines, et Oran abritera les Journées du théâtre méditerranéen. Il s’agira en fait de la deuxième édition, après celle, expérimentale, de l’année dernière, qui a eu lieu en marge des Jeux méditerranéens.
Véritable espace «d’émulation intellectuelle», le Centre de documentation économique et sociale est une véritable caverne d’Ali Baba pour les lecteurs compulsifs oranais tant les livres, en pagaille, sont légion l C’est aussi un des fiefs attitrés du monde universitaire, autant les étudiants que les enseignants, qui y viennent notamment pour rédiger leurs thèses de fin d’étude.
Depuis vendredi dernier, et ce pour une durée de vingt jours, les usagers du tramway d’Oran devront se faire à l’idée que le terminus, côté est, se fera à l’université de l’USTO Mohamed-Boudiaf et non à la gare routière «Sidi Maarouf».
Par ce tour de chant, qui les a menés dans plusieurs villes algériennes, notamment Alger, Constantine, Annaba et Tlemcen, ils ont parvenu à ambiancer comme il faut la soirée de jeudi dernier et permettre au public, venu nombreux, d’avoir un petit aperçu, par le truchement de la musique, de ce qu’est la culture rwandaise.
Raï is not dead, film documentaire en six épisodes de Hadj Sameer et Simon Maisonobe, a été projeté, lundi dernier, à l’Institut français d’Oran.
Pour la première fois de sa carrière, Louisa Nadour, cette poétesse franco-algérienne qui n’est plus à présenter, a rencontré son public lors d’un bref séjour oranais.
Surprise : alors que la 14e édition de la nuit blanche était attendue à Oran le premier samedi du mois d’octobre — comme cela se fait chaque année —, elle s’est vu cette année avancer de quelques mois pour se tenir en juin.
A l’occasion de la visite du ministre des Transports dimanche dernier à Oran, Youcef Chorfa, il a été procédé au lancement des travaux d’extension du port d’Arzew, ceux relatifs à la création de deux quais, toujours à Arzew, spécialisés dans la réparation des navires et enfin la réception de l’extension du port d’Oran, dont les travaux ont été confiés au groupement algéro-chinois Chec-Meditram.
L’artiste et comédienne de théâtre Nadia Djebili est décédée, hier à Oran, à l’âge de 55 ans.
L’étau va-t-il enfin se desserrer sur l’Entreprise publique de transport urbain d’Oran ? C’est en tout cas la volonté que semble afficher la Direction de cette société étatique, qui n’a pas manqué de saisir l’opportunité de la venue, dimanche dernier, du ministre des Transports, Youcef Chorfa, pour l’interpeller et lui soumettre un plan d’action en vue de redorer le blason à ces fameux bus que les Oranais appellent «ETO».
Se focalisant sur deux villes, Oran et Béchar, cette étude a été réalisée récemment par un groupe de chercheurs pluridisciplinaires, parmi lesquels on compte Dahmani Sabrina, Hachem Amel, Benabeb Aïcha et Tadjeddien Abdelaziz, et s’est donné pour objectif de «tenter de cerner l’état de la santé reproductive des migrantes subsahariennes en Algérie».
17 ans après sa disparition, la popularité de Cheikha Rimitti est restée intacte à Oran comme en a témoigné, mercredi dernier, le public venu nombreux à la salle de cinéma Maghreb pour assister à un concert-hommage que l’Institut français d’Oran, en collaboration avec l’ONCI, lui a rendu.
Adjuvar, club scientifique et culturel du département de pharmacie de l’université d’Oran, a organisé, samedi dernier à la salle de cinéma El Maghreb (ex-Régent), la cérémonie de remise des diplômes de la promotion 2022 au profit des docteurs en pharmacie.
Depuis samedi dernier, la quatrième édition des journées des sciences sociales battent leur plein à l’université d’Oran, avec pour thème : «Le marché de la connaissance : diagnostic et perspective».
Cette exposition, dont le vernissage a eu lieu durant le ramadan, propose, à travers plus d’une quinzaine de tableaux contenant des peintures semi-figuratives, un voyage éblouissant dans les rues d’Oran, notamment Droj Habiche (rue de Gênes) de Sidi El Houari, mais encore Alger et sa Casbah et Paris et sa butte Montmartre.