17 ans après sa disparition, la popularité de Cheikha Rimitti est restée intacte à Oran comme en a témoigné, mercredi dernier, le public venu nombreux à la salle de cinéma Maghreb pour assister à un concert-hommage que l’Institut français d’Oran, en collaboration avec l’ONCI, lui a rendu.
Adjuvar, club scientifique et culturel du département de pharmacie de l’université d’Oran, a organisé, samedi dernier à la salle de cinéma El Maghreb (ex-Régent), la cérémonie de remise des diplômes de la promotion 2022 au profit des docteurs en pharmacie.
Depuis samedi dernier, la quatrième édition des journées des sciences sociales battent leur plein à l’université d’Oran, avec pour thème : «Le marché de la connaissance : diagnostic et perspective».
Cette exposition, dont le vernissage a eu lieu durant le ramadan, propose, à travers plus d’une quinzaine de tableaux contenant des peintures semi-figuratives, un voyage éblouissant dans les rues d’Oran, notamment Droj Habiche (rue de Gênes) de Sidi El Houari, mais encore Alger et sa Casbah et Paris et sa butte Montmartre.
Mohamed Bahloul est décédé, jeudi dernier, à l’âge de 68 ans, à la suite d’ une longue maladie. Ce Professeur de sciences économiques à l’université d’Oran était celui qui avait fondé, en 1992, l’IDRH (Institut de développement des ressources humaines), qui a pris ses quartiers d’abord à l’avenue Loubet, ensuite à l’avenue Sidi Chahmi et depuis 2008 à Canastel, à l’est de la ville.
Histoire de se remémorer les formidables moments d’ébullition qu’avait vécus Oran les mois de juin et de juillet 2022 à l’occasion de la tenue de la 19e édition des Jeux méditerranéens, le MaMo (musée d’art moderne d’Oran) a abrité, avant-hier après-midi, une exposition de photographies revenant sur les temps forts ayant marqué cette manifestation sportive.
Jeudi dernier, les spectateurs présents au théâtre de la fourmi (Oran) ont eu droit à un véritable voyage musical proposé par un duo d’artistes au talent avéré : Jasmina Petrovic et Amar Amarni.
El khasser y khalass, tel est le nom de la toute première pièce du comédien et metteur en scène Djawed Bougrassa, qui a joué, dimanche soir dernier, à l’Institut français d’Oran. faveurs du public ces derniers jours.
Intense, riche en émotion, ayant parvenu, sans coup férir, à marquer d’une pierre blanche la vie culturelle oranaise, suscitant même dans l’esprit des habitués des événements culturels «un avant et un après 8 avril 2023».
Le public s’en est laissé bercer, envoûté par les différents sons émanant des violons, mandolines, oud, quetra, et manipulés avec brio par les musiciens de cette association oranaise, autant les anciens que les nouveaux élèves.
Ce soir, à partir de 21h, les âmes charitables sont appelées à se rendre à l’Établissement hospitalo-universitaire de l’USTO, plus précisément au centre de transfusion sanguine, pour participer à une grande opération de don de sang.
Sorti en Espagne le 25 novembre dernier, ce film documentaire a connu auprès du public un certain engouement, notamment dans son pays d’origine, mais aussi dans plusieurs pays arabes où il a été projeté.
«Un ramadan à Oran sans sorties culturelles ? Makanch men’ha !», sommes-nous tentés de dire tant chaque année à l’avènement du mois sacré, la vie culturelle oranaise reprend des couleurs.
A la grande joie des riverains, le jardin de la roseraie a rouvert ses portes au public après une fermeture de plusieurs semaines.
Chaque année, l’avènement du mois sacré du ramadan rime forcément avec la diffusion, à la télévision, de sitcoms rigolos (ou qui tentent de l’être) et de feuilletons mélodramatiques, qui tiennent en haleine, pendant une trentaine d’épisodes, les familles scotchées devant leur téléviseur, ne consentant à profiter de l’ambiance nocturne ramadanesque, qu’à l’arrivée du défilement du générique de fin.
Quelle ambiance du tonnerre que celle de jeudi dernier à Oran quand le groupe Dendana a tout bonnement enflammé les planches du Théâtre régional face à un public déchaîné au-delà de toute expression.
Samedi dernier a eu lieu, à l’Institut français d’Oran, le vernissage de l’artiste-peintre Aya Bennacer pour son exposition «Peau inversée», et cela dans le cadre du mois consacré aux droits des femmes.
L’effondrement partiel d’un immeuble, à la rue des frères Niati, dans le quartier de Plateau a mis en émoi les habitants d’Oran.
L’effondrement partiel d’un immeuble, à la rue des frères Niati, dans le quartier de Plateau a mis en émoi les habitants d’Oran. Cela dit, à l’heure où cet article est mis sous presse (17h), mis à part deux blessés légers (une femme âgée de 65ans et un enfant de 9ans), qui ont été conduits à l’hôpital, il n’y a pas eu des victimes à déplorer.
Samedi dernier a été donné, à la Cinémathèque d’Oran, le coup d’envoi des Assises régionales sur l’industrie cinématographique en Algérie, qui se dérouleront, également jusqu’à la fin du mois, dans quatre autres wilayas du pays, à savoir Constantine, Biskra, Béjaïa et Tipaza.