Complètement à la merci des chauffeurs clandestins, dont l’activité, comme chacun le sait, est versatile, les habitants de Cap Falcon réclament des autorités qu’un ou deux bus leur soit alloué pour réguler peu ou prou cette situation qui les exacerbe.
A l’initiative d’Avicenne Club, un club estudiantin, affilié à la faculté de médecine de l’université Oran 1, 13 artistes du domaine médical exposent leurs œuvres au Musée d’art moderne d’Oran (MaMo), depuis mardi.
Dans son discours prononcé à l’ouverture des travaux de ce 10e Séminaire de haut niveau sur la paix et la sécurité en Afrique, le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ahmed Attaf, a affirmé que l’Algérie consacrera son prochain mandat au Conseil de sécurité de l’ONU à œuvrer à renforcer l’influence du continent africain dans les prises de décisions liées aux dossiers y afférents.
A Oran, la place des Victoires représente le point de chute par excellence, voire le passage obligé de tous les promeneurs et autres passants oranais.
Considéré en effet comme l’un des sites archéologiques les plus importants du littoral algérien, Tipasa a été inscrite en 1982, soit il y a plus d’une quarantaine années de cela, au patrimoine mondial de l’humanité grâce à son mausolée royal de Mauritanie (plus connu sous le nom de «Tombeau de la chrétienne»), cet monument funéraire imposant datant de plus de 2000 ans et situé dans la commune de Sidi Rached.
C’est aujourd’hui à 15h que sera donné le coup d’envoi du Salon de la photographie, premier en son genre à Oran, qu’abrite le palais de la culture Zeddour Ibrahim El Kacem.
En tout, ce sont 19 morts par noyade qu’on a déploré cette saison estivale 2023 selon les chiffres que vient de communiquer la Protection civile.
C’est un public nombreux qui s’est rendu à la cinémathèque d’Oran, vendredi dernier, pour rendre hommage à Pierre Chaulet à travers le film documentaire que lui a consacré le cinéaste Saïd Mehdaoui, sorti cette année même et répondant au titre éloquent Le citoyen Pierre Chaulet. Un titre sans équivoque, qui se veut une réponse cinglante à ces maladroits qui affublent les personnes d’origine européenne ayant pris fait et cause pour l’indépendance algérienne de la dénomination «d’amis de l’Algérie» alors qu’ils sont des Algériens à part entière. Débutant par un échange de mails entre le Pr Chaulet et Saïd Mehdaoui - à l’époque où ce dernier lui avait proposé de faire un film retraçant sa vie - le film revient sur les moments les plus marquants de la vie de Pierre Chaulet et de son épouse Claudine, du choix qu’ils avaient fait pour l’Algérie algérienne, puis à la période post-indépendance, alors qu’il était devenu un éminent médecin, de son combat farouche pour éradiquer, une fois pour toute, la tuberculose de l’Algérie. Plusieurs témoignages, de moujahidine, d’amis, d’historiens, de confrères et de disciples de Pierre Chlaulet sont disséminés tout le long du documentaire de 63 minutes, en plus de fabuleux extrait d’une interview filmée que le défunt avait donnée en 2011 - un an avant sa disparition - et le tout ponctué de scènes fictionnelles dans lesquelles les comédiens El Amine Mouffok et Nada Aissani endossent respectivement les rôles de Pierre et de Claudin Chaulet. Il est sans dire que le film a été fortement apprécié par l’assistance au point que cette dernière, à la fin de la projection, a réservé une standing ovation au réalisateur Saïd Mahdaoui, présent sur les lieux. Un riche débat s’en est suivi, où de nombreuses personnes ont pris la parole. Notons enfin que les mémoires de Pierre et Claudine Chaulet ont été publiés ces dernières années aux éditions Barzakh dans un livre écrit à quatre mains et préfacé par Rédha Malek, sous le titre Le choix de l’Algérie. Deux voix, une mémoire. Akram El Kébir
A l’initiative du Gras (Unité de recherches en sciences sociales), un colloque international «sur les crises au quotidien» est organisé depuis hier au niveau de l’amphithéâtre Talahite de l’université Docteur Taleb (ex-IGMO) à Oran.
C’est bel et bien un concert de rentrée que le théâtre d’Oran a abrité, jeudi dernier, à la grande joie des mélomanes. Un fabuleux concert d’opéra a mis sous le feu des projecteurs deux chanteurs lyriques de grands talents : la cantatrice Aurore Ugolin et le ténor Phillipe Do.
La faculté de médecine relevant de l’université Oran1 Ahmed Ben Bella a abrité, samedi dernier, le cours inaugural de l’année académique 2023-2024.
Depuis lundi et pour une durée d’au moins trois jours, le tramway d’Oran s’arrêtera au lycée Les Palmiers, ne desservant pas les stations de Cité volontaire Enset, université IGMO, ainsi que celles d’Es Senia, au nombre de quatre : Moulay Abdelkader, Senia Centre, Senia Sud et Senia terminus.
Un total de 423 835 élèves, tous paliers confondus, devra prendre, aujourd’hui, le chemin de l’école, à Oran. Cette année académique 2023-2024 compte en tout 216 367 élèves du cycle primaire qui seront dispersés à travers 6865 établissements, avec une moyenne de 32 élèves par classe.
La Protection civile vient d’établir son bilan de ses interventions sur le littoral oranais, lors de la saison estivale 2023 qui vient à peine de s’écouler.
La cathédrale d’Oran abrite, depuis hier samedi, le 1er Festival international des jeux d’échecs, un événement qui devra s’étaler tout au long de la semaine, jusqu’à jeudi prochain.
L’auteur-compositeur et interprète Nassim Dendane, alias DenDana, donne rendez-vous à ses fans pour deux concerts exceptionnels à Alger et à Oran.
Une opération coup-de-poing a été donnée, hier matin à Oran, pour démolir les baraques de marchandises illégales qui ont gagné ces dernières années, toutes les bordures des différentes entrées de la cité Dar El Hayet.
On peut noter un drôle de contraste entre l’animation de folie qui prévaut à l’est d’Oran en nocturne (où on a l’impression que la ville ne dort jamais) et le centre-ville qui, lui, fait grise mine, avec ses rues de Larbi Ben M’hidi et de Khemisti, presque désertes dès 22h, si ce n’est les quelques bistrots qui font de la résistance en restant ouverts jusqu’à minuit.
Après avoir passé un mois de juillet bouillonnant d’activités culturelles, entre le festival du raï et celui de la chanson oranaise, les journées du théâtre méditerranéen et autres projections d’avant-première de films algériens, les Oranais ont eu droit à un mois d’août plutôt calme où, si l’effervescence estivale était au rendez-vous, les évènements culturels ont brillé par leur absence.
On sentait bien, ce jeudi, que le public, présent au théâtre la Fourmi, serait composé quasi-exclusivement de connaisseurs et de fans de Raïna raï.